Les Guerres de la Terre du Milieu
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La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Mission commune d'Adrian et Teger

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ar-pharazon
Adrian
qv3me
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Comment trouvez-vous notre bataille?
Géniale!
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fantastique!
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Bien.
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Pas mal, mais sans plus.
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bof...
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ridicule.
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Nulle!
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qv3me
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
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qv3me


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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:03

Je ne pouvais en supporter d'avantage! Comment cet homme pouvait-il manquer d'autant de respect aux soldats qui formaient la puissance d'attaque d'Isengard et de la Main Blanche ?! Je dégainais mon sabre et lui fonçais dessus. Il venait de sortir sa lame de cavalier et para mon premier coup avec une telle facilité que j'en fus presque déconcentré. Mes coups étaient aussi rapides et violents que le pouvais. Ils auraient été mortel pour n'importe lequel de mes ennemis commun, mais celui-ci était plus haut gradé et avait bien plus d'expérience que moi. Tous mes coups étaient esquivés et il ne cherchait apparemment même pas à contre attaquer. Je le vis passer sa dans son dos et me rendis compte, mais trop tard, que ce n'était pas une erreur tactique mais un leurre. Alors que je cherchais une faille à exploiter grâce à ce faux mouvement, j'eus juste le temps d'apercevoir sa main cachée derrière son dos sortir une claymore et la diriger sur moi. Je fis un bond en arrière pour l'esquiver et me rendis compte que je venais de donner à mon adversaire non seulement un moment de repos, mais aussi une bonne opportunité de contre-attaque. Il en profita justement pour se jeter sur moi et frappait avec ses deux armes. J'esquivais avec peine et souvent, de justesse. Je bondis pour esquiver son épéequi manqua de me faucher les jambes et parais à la dernière minute sa claymore qui rata son objectif : mon cou. Je me retrouvais acculé contre un mur, toujours en parant du mieux que je pouvais. Au moment ou j'allais tenter de riposter, son épée de cavalier bloqua ma lame et sa claymore se retrouva à un centimètre de ma gorge. Alors que je pensais que ma dernière heure était venue, il fit ce qu'aucun homme n'avait fait envers moi : il recula sa claymore et la rangea. Il fit de même avec son épée et partit avec le sourire aux lèvres. J'étais tellement abasourdis que je ne pouvais presque plus parler.

- Vous êtes finalement peut être digne de mener les ourouks…

Il descendit les escalier avec le pas du gagnant et me répondit sans se retourner.

- Préparez vos troupes pour demain, je verrais quelle place leurs assigner...

Il se dirigea vers son camp et me laissa là. Je n'en revenais toujours pas qu'il m'ait épargné la vie. Je croyais que toute personne qui avait une opportunité de tuer un ourouk le faisait tout de suite. Mais... peut être n'aurais-je pas cette chance deux fois avec cet homme.

Le lendemain, Je me réveillais plus tôt que d'habitude. J'étais heureux qu'aucun rêve ne soit venu me déranger dans mon sommeil. J'allais vers mes troupes et les réveillais en criant. Barrackh se réveilla en sursaut et la grosse bulle qui sortait de son nez en ronflant éclata avec un bruit horrible.

- Debout là-dedans! Je veux que tout le monde soit équipé et réveillé dans cinq minutes. Exécution!

Trughh arriva vers moi le premier. Bien qu'un peu somnolant, il était déjà en bien meilleure forme que la nuit dernière.

- Qu'y a t-il Capitaine ? Nous partons pour une mission de reconnaissance ? L'ennemi arrive ? Que se passe t-il ?

- Le commandant Adrian nous attend pour faire le compte de nos forces. Il veut voir combien nous sommes pour évaluer les meilleures positionnements que nous pourrons prendre lors de la bataille.

- Alors vous avez réussi à découvrir qui était ce commandant Adrian ? Et alors ? Quel est-il ?

- C'est un homme que Saroumane tient sous plus haute estime que nous. Qui plus est, c'est un très bon guerrier. Il a faillit me tuer hier. Je ne sais pourquoi mais il m'a épargné ce sort. Soit il avait encore besoin de nous, soit il ne voudrai pas s'attirer les foudres de Saroumane, sauf si le Magicien Blanc tient plus à lui qu'à nous.

Trughh était perplexe est avait les yeux grands comme des soucoupes. Il n'avait apparemment pas l'habitude d'entendre de ma bouche dire qu'un guerrier était si puissant et il ne revenait pas que je dise qu'il faillit me tuer. Nous partîmes donc au lieu de rendez-vous. Une fois là-bas, j'ordonnai à mes troupes de se mettre en formation. Je remarquais un piquier qui dormait presque sur sa lance. Je me dirigeais vers lui et allais lui sonner les cloches.

- Alors on est fatigué ? On voudrait peut être aller se reposer un moment pendant que les autres tiennent debout ?

Il se réveilla en sursaut et fut son visage pris un air apeuré quand il me vit devant lui. Il bredouilla quelques mots d'explication et d'excuse.

- Je...je...je suis désol...désolé! Je n'...n'ai pas vu que...je m'end...m'endormais.

- Tu es nouveau dans mon bataillon à e que je vois. Tu n'as pas encore de main noire. Je suis de bonne humeur et tu ne connais pas encore mes consignes, ça passera pour cette fois. Mais n'espère pas un coup de charité la prochaine fois!

Le soldat baissa le regard et respira rapidement et avec force. Je retournais vers mon second et vis Adrian arriver. Je me mis au garde à vous et lui présentais mes troupes.

- Je dispose de trente piquiers, quarante épéistes et le même nombre d’arbalétriers, cinq des monstres que vous avez testé m’accompagnent aussi ainsi qu’une baliste et une mine et surtout, la dernière création du maître.

Je lui désignais Barrackh qui, il faut le dire, était impressionnant avec son armure lourde, son immense épée. Je vis ses yeux s'agrandir un peu plus lorsqu'il le vit. Puis, il m'ordonna de le suivre et j'obéis. Nous allâmes vers la porte et nous postâmes au sommet.

- Votre baliste serra positionnée ici, de manière à pouvoir attaquer leur bélier ou trolls. La mine serra aussi disposée à cet endroit, au cas ou la porte serrait brisée et qu’il faudrait arrêter leurs progression. Vos piquiers seront derrière la porte avec les miens tandis que guerriers et tirailleurs défendront les murs…

Je le regardais et me demandais pourquoi il voulais faire cela. Défendre les murs ? Je ne comprenais pas l' intérêt de cette opération si iles ennemis ne pouvaient que attaquer la porte. Je lui exposais ma question.

- Qu’avons-nous à craindre sur les murs, ils ne peuvent attaquer que la porte, non ?

Il me regarda avec une petite lueur violet dans les yeux. C'était arrivé une fois à Saroumane alors qu'il me parlais et je lui avais fait le réflexion. Il m'avait alors expliqué que cela arrivait lorsque quelqu'un se réjouit d'en savoir plus long qu'une autre personne. Cela voulait dire que ma question était soit stupide, soit il allait m'apprendre quelque chose de nouveau. J'espérais au moins qu'il ne prendrait pas ses grands airs.

- Les haradrims luttent souvent avec des sortes de grappins fait pour monter à l’assaut des murailles, me répondit-il poliment. Les crochets sont accrochés à des cordes et se placent entre les créneaux, les ennemis n’ont plus qu’a se hisser.

Je compris et hochais la tête pour le lui prouver. Il faudra réellement qu'un jour, je quitte Isengard pour aller apprendre dans la Terre du Milieu et me perfectionner. Il y avait tant de combattants, tant de tactiques de combat et d'ennemis que je n'avais pas encore vu!

- Et vous, ou lutterez vous ?

Je ne pus me retenir de poser cette question. Un collègue ourouk m'avait rapporté un jour qu'on lui avait demandé d'aider un chef orc en difficulté et qui n'avait plus de troupe. Alors que les combats faisaient rages, le sergent orc était resté hors des combats, se contentant de regarder, et avait tiré toute la gloire des victoires remportées par les ourouks.

- Je serrais sur les murs avec mes unités d’élites, je placerais 800 piquiers devant la porte, dont 100 qui sont mes soldats propres, il y aura 500 tirailleurs pour harceler l’ennemi et enfin 700 épéistes seront sur les remparts afin de lutter contre les ennemis. Il est probable que la porte finissent par lâcher, nos piquiers devraient pouvoir ralentir fortement leurs progressions et anéantir les cavaliers et monstres…

Je retournais la tête vers l'horizon et imaginais déjà des milliers d'hommes criant et chantant leur hymne de guerre, près à nous foncer dessus pour nous exterminer.

- Malgré ce plan et notre valeur, vous craignez pourtant que nous soyons vaincus. Que faudrait il faire pour remporter la victoire d’après vous ?

Il porta sa main à son menton et posa son pouce et son index aux deux jointures de sa bouche. Surement n'avait-il pas envisagé ma question et réfléchissait à une réponse qui puisse être claire et nette.

- Si nous parvenons à tenir les murs tout le temps, la victoire est possible. Grâce à votre troll, nous pourrions bloquer la porte si nos piquiers venaient à céder pour ensuite nous replier dans les caves. Là-bas nous pourrons les anéantir les uns après les autres. Leur nombre ne les aidera plus. Si nous sommes forcer de nous replier, il faudra qu’avec vos rescapés vous alliez protéger Saroumane. Sa mort signifierait la fin d’Isengard.

Je hochais la tête et repartis vers mes guerriers. Je vis Adrian s'en aller à grands pas droit sur l'Orthanc. Surement voulait-il soit des conseils pour la bataille, soit des explications sur mon troll. Je compris alors que lorsque Saroumane avait dit << J'ai un commandant auquel je veux donner ces trolls pour une raison urgente. >> Il parlait surement du commandant Adrian. Je souris en sachant la surprise qui lui était réservée. Sans doute serait-il heureux de contrôler lui aussi des monstres de destruction comme ça. Je rejoignis mes troupes et expliquais à mes soldats où ils devront se placer et quel sera leur rôle. Je me mis ensuite à entrainer mes épéistes. Une fois que j'eus fait le tour de chaque guerrier, cinq minutes chacun, je m'occupais des arbalétriers. Je leur appris des techniques aussi bien de bases que avancées. Des choses comme << Un épéiste avec un bouclier pourra vous protéger contre nombre de danger >> ou << retenir sa respiration avant de tirer vous permettra d'augmenter mortellement votre précision >> . Une fois la nuit pointant ses ténèbres, je partis me coucher dans ma tente et dormis.

Le lendemain, je me réveillais doucement et en pleine forme. Je n'avais plus fait de rêves troublants depuis un bon moment et j'étais prêt à continuer l'entrainement de mes soldats. C'est alors que j'entendis les mots que je redoutais tant.

- Les ennemis sont là!!

Je sautais hors de mon lit et me dépêchais de m'équiper. Le temps que je mis pour mettre mon armure me parut interminable. Je pris mon sabre, mis mon arc sur mon dos et me précipitais au dehors. Quand je sortis, des ourouks sortaient des caves et des tentes. Une quais panique générale se répandait. Alors que je cherchais mes troupes, Trughh vint à moi. Il avait de petits cernes sous les yeux et il semblait complètement pris au dépourvu.

- Capitaine! Les ennemis sont à notre porte! Que faisons nous ?

- Va avec les troupes et positionnez-vous sur le mur Ouest! Je te rejoindrai sous peu.

Il courus vers mes soldats et les emmena vers le mur. Je courus vers les remparts en me frayant un chemin dans la débandade d'ourouks qui se dirigeaient aussi vers les murs ou vers la porte pour se préparer à une éventuelle charge de cavalerie. Alors que j'arrivais près du rempart Est, un chant de guerre me vint aux oreilles. J'entendais des milliers de pieds frapper le sol tandis que les soldats criaient dans une langue qu'il m'était impossible de comprendre. J'arrivais sur le Mur et me trouvais derrière Adrian qui discutait avec un autre ourouk. L'idée me vint que c'était son second. Mon hypothèse fut confirmée par son vocabulaire et son ton d'intonation lorsqu'il lui parla.


- Deux milles pour chacun, ça vous va seigneur Adrian ?

- Je crains qu’il ne faille en laisser un peu pour les autres.

Il se retourna et sursauta presque en me voyant. Il ordonna à ses troupes de se mettre en position et je vis ma baliste être hissée sur le mur. Les piquiers se mirent devant la porte et je vis le grand nombre d'arbalétriers que nous possédions se placer sur la longue surface des remparts. J'aperçus dans le tas de soldats le piquier que j'avais ramené à l'ordre la veille. Je me rendis compte qu'il devait en ce moment regretter que je ne l'ai pas abattu lorsqu'il s'était endormi sur sa lance. Je vis les ennemis qui ne cessaient d'avancer. Après avoir attendu plusieurs heures, nous vîmes qu'ils formaient un cercle autour du bastion. Je devrai plus tôt dire un demi cercle, car si ils formaient un parfait cercle, ils seraient derrière Isengard sur les Montagnes Brumeuses. Le bélier et les trolls se placèrent devant la porte, à une distance de quelques centaines de mètres. Les arbalétriers mirent leurs carreaux, les épéistes sortirent leurs épées et les piquiers mirent leurs lances à la verticale, sachant qu'ils n'avaient rien à craindre pour le moment. Le chant de guerre de la Main Blanche commença. Les ourouks criaient de rage et d'envie de combat. Les arbalétriers tapaient du pied, les piquiers frappaient le sol de leurs lances et certains épéistes se martelaient la poitrine en signe de défit et d'intimidation. Un détachement d'une cinquantaine de cavalier s'approcha des portes. Leurs casques étaient jaune-or et leurs armures variaient du brun au rouge. Un porte-étendard se trouvait à leur tête. Adrian appela sa monture qui se trouvait dans les fosses et elle accourut aussi rapidement que si elle se trouvait avant l'appel à dix mètres de nous. Le commandant fit signe à son second et moi de nous trouver aussi une monture. Nous nous trouvâmes rapidement un ouarge et le suivîmes vers les portes. Elles s'ouvrirent nous laissant seuls face à l'armée ennemie. J'avais l'impression que cette dernière allait charger sur la porte et que nous ne pourrions plus la fermer tant la vague d'hommes de l'Est serait grande. Nous avançâmes en formant un petit triangle, Adrian se tenait à l'avant, et nous nous postâmes devant les cavalier ennemis. Le porte-étendard humain s'avança vers nous, son cheval marchant lentement et accentuant bien ses pas, comme si il se pavanait ou avait été dressé pour provoquer. L'homme nous salua de la main et prit la parole.

- Le seigneur Sauron nous envoie prendre possession d’Orthanc pour qu’elle devienne un territoire haradrim. Si vous refusez de vous rendre,vous serrez massacrés.

Adrian s'approcha de lui et lui répondit avec bien moins de politesse que celle qu'avait fait preuve l'ennemi.

Cette forteresse restera aux mains de l’Isengard, quoi que vous fassiez. Et si vous semblez si sur de votre victoire, soyez assuré que quant bien même vous l’emporteriez, vous ne serriez même plus assez nombreux pour la conserver face à une centaine de cavalier du Rohan !

L'oriental serra les lèvres et une lueur rouge s'alluma dans son regard qui fixait le Commandant avec provocation et défis.

- La vermine de l’Isengard serra réduite à néant avant la fin de la journée, soyez en sur, vous qui êtes esclaves d’un vieillard soumis à notre maître! Vous devriez être à genoux devant nous et non nous narguer.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:04

J'émis un grognement menaçant et entendis le second d'Adrian faire de même. Comme quoi, nous avons beau ne pas être du même groupe et avoir le même entrainement, nous respectons tous deux le Magicien Blanc. C'était la deuxième fois que j'entendais Saroumane se faire traiter de vieillard, encore que la première fois, il y avait un minimum de respect. C'en était bien trop pour moi. Je dégainais mon sabre et vis le deuxième ourouk en faire de même. Adrian dégaina aussi et s'avança. Les cavaliers ennemis firent de même. Le porte-étendard, en revanche, n'eut pas le temps de sortir son épée, gêné par son drapeau, et n'eut sans doute pas non plus le temps de voir le commandant Adrian sortir ses deux lames et les abattre sur la seule zone charnelle qui pouvait être atteint avec un coup assurément mortel : son cou. La tête de l'ennemi dégringola de ses épaules et roula à terre. Son corps s'écrasa au sol et son cheval partit au triple galop rejoindre les ennemis. Le second d'Adrian et moi éperonnâmes notre ouarge et chargeâmes sur les rangs adverses. Ma monture sauta sur le premier cavalier oriental que je croisais et l'arracha de son cheval. Puis il bondit sur celui d'un autre ennemi et lui déchiqueta la gorge. Le pauvre cheval tomba à terre, une énorme mare de sang se formant en partant de son cou. Un oriental me chargea. Je fis voler sa lance au loin et le décapitais en un coup d'épée. Un deuxième soldat me fonça dessus. J'esquivais sa lance et lui donnait un coup du revers de mon sabre. Il tomba à terre et mon ouarge l'abattit en broyant sa tête, le casque y compris. Une lance m'arriva droit dessus. Je me baissais pour l'esquiver et elle alla se planter dans le dos d'un oriental qui attaquait Antarès. Je sortis mon arc et tirais rapidement une flèche sur le cavalier sans arme. Elle se planta dans son bras et l'homme hurla de douleur. Je donnais un coup de talon à ma monture qui se dirigea vers l'oriental. Je sortis à nouveau mon sabre et lui coupait son dernier bras valide. Puis, je revins sur lui et l'achevais en enfonçant ma lame dans son armure. Cette dernière n'était pas faite pour résister à pareil épée et la mienne transperça sa protection comme si c'était du beurre. L'homme poussa un grand soupir et mourut. Un autre cavalier me chargea. Au moment où il allait m'empaler, ma monture fit un bond de coté et je lui assénais un grand coup dans le dos. Il fut si violent que sa colonne vertébrale céda et son buste se retrouva à regarder l'arrière de son cheval. Il tomba et sa monture repartit vers les rangs ennemis, tirant l'homme inanimé, resté attaché par un étrier. Au moment où j'allais attaquer un autre ennemi, Adrian ordonna le repli et je lui obéis. Alors que je me dirigeais vers les portes, un cavalier voulut me bloquer le passage, je voulus le décapiter mais son cheval fit un pas de coté et le bout de ma lame atteignit son artère carotide droite. Trois giclées de sang sortirent et l'homme tomba surs son cheval, le sang ne cessant de s'écouler au sol, laissant une trainée rouge derrière son cheval qui repartait. J'arrivais vers les portes et vis alors que beaucoup de cavaliers me poursuivaient pour venger les morts horribles de leurs frères. Adrian fit un signe de la main à un ourouk qui se tenait sur les murs. Au moment où je me croyais pris, une volée de flèches s'abattit sur eux et les fit battre en retraite, bien qu'elle n'en tua pas beaucoup. Je poussais un grand soupir de soulagement en entendant une deuxième volée et le bruit des ennemis se faisant massacrer de nouveaux les cavalier de l'Est alors que j'entrais dans le bastion. Nous franchîmes tous trois les portes et nous fûmes acclamés par les ourouks-haïs qui levaient leurs armes ou qui se frappaient la poitrine. Un porte-étendard était mort mais était-ce vraiment leur commandant ? J'en doutais fort. Un commandant ne perdrait pas son temps à aller faire les pourparlers avec l'ennemi. De plus, les chefs portent très rarement le drapeau de leur patrie. Ils préfèrent laisser cela à d'autres hommes et se concentrer sur le combat. J'allais reposer mon ouarge et filait rejoindre Trughh sur le mur Est. Tous mes soldats m'applaudirent et crièrent leur enthousiasme.

- Alors ça Capitaine, je n'ai jamais vu un combattant capable de faire telle prouesse. Et ce dernier coup avant de vous replier était vraiment extraordinaire!

- Ne restes pas sur ces petites actions. Si Adrian s'était lancé dans la bataille, tu aurais vu qu'il y a maintes guerriers biens meilleurs que moi en ce monde. Maintenant, les ennemis vont surement lancer l'assaut. Je me battrai avec vous. Je veux que vous teniez cette position et que vous abattiez tous les hommes de l'Est qui voudraient monter au mur.

Je tournais le regard vers Adrian et vis qu'il fronçais les sourcils. Je cherchais où se posait son regard et je vis un grand homme avec un casque en pointe. Il possédait une armure qui était presque éblouissante et un sabre pendait à chacun de ses flancs. Il tenait aussi un grand fouet qu'il fit claquer. Le cor de l'Est sonna et les ennemis avancèrent alors droit sur les murs. Je demandais alors à mon second :

- Que dirais-tu d'un concours ? Nous compterons le nombre d'ennemis que nous vaincrons et ferons un bilan à al fin pour voir qui a été le meilleur.

- Bien volontiers Capitaine, répondit-il en souriant. Voyons si je peux vous vaincre.

Des hommes en turban et avec des armures d'or étaient en première ligne. En voyant leurs crochets, je compris qu'il s'agissait d'haradrims. Je vis Adrian courir en direction d'Orthanc. Voulait-il se replier ?! Non! Je ne pouvais y croire. J'aperçus alors Saroumane au sommet d'Orthanc. Surement allait-il pour prendre des nouvelles. Le Magicien était appuyé plus que jamais sur son bâton. Je supposais qu'il ne s'attendait vraiment pas à ça. Mes pensées se révélèrent exactes quand je vis Saroumane se retourner et Adrian apparaitre à ses cotés. Les archers de l'Est étaient en deuxième ligne et se préparaient à tirer, eux aussi avec des turban et des armures d'une couleur or qui reflétait la lumière du soleil. Les cavaliers, trolls et soldats orientaux se plaçaient loin devant la porte tandis que le bélier se mettait à avancer lentement. Les archers haradrims tirèrent une volée de flèches qui en fit rien d'autre que de se fracasser sur nos murs. Je ris à gorge déployée, sortis mon arc et dit à mes soldats de leur envoyer « un cadeau de bienvenue en Isengard » . Les cordes claquèrent, les carreaux volèrent et les soldats haradrims s'écroulèrent. La flèche que j'eus lancé alla se planter dans la tête d'un soldat en première ligne et j'entendis d'ici son cri, mêlé à celui de nombreux autre soldats, au moment où les projectiles atteignirent leurs buts. Je vis de nombreuses taches de sang se répandre sur le sol et eus eu sourire en pensant que la victoire se révèlerait peut être plus facile que prévue. Les survivants tentèrent de ramper jusqu'à leurs rangs, mais mouraient soit d'hémorragies, soit à cause du sang qu'il perdaient.

- Je suis déjà à un Trughh

- Quelle coïncidence, moi aussi. Me répondit-il avec un alrge sourire.

Il est vrai que j'avais oublié qu'il possédait aussi un arc maintenant, et qu'il n'était pas difficile de toucher un ennemi dans une telle marrée humaine. De nombreux arcs gisaient sur le sol. Des centaines de cadavres étaient à terre. Je pensais qu'un bon diner de victoire était en perspective. Je fus ramené sur l'instant par un nouveau son de cor. Des milliers d'épéistes ennemis chargeaient vers nos murs, épées levées et criant de rage pour la mort de leurs alliés. J'entendis Adrian s'adresser à sa partie de mur.

- Dégainez vos lames, fiers ourouks et ne faites pas de quartier, ce jour est le votre, fils de l’Isengard, l’occasion pour chacun de vous de dévorez ses premières entrailles humaines !!

Je restais quelques instant à le regarder. Il leur parlait comme si il s'agissait d'humains, et non pas de bêtes à tuer. Je compris enfin qu'il était digne de confiance. Puis je parlais à ma propre portion de mur.

- On va peut être les laisser s'amuser tous seuls ?! Tuez-moi cette vermine les gars! Je veux que vous défendiez ce mur au péril de votre vie! Le survivants pourront se régaler des cadavres restants après la bataille! N'ayez aucune pitié! Que les arbalétriers tirent à volonté et que les épéistes se battent avec toute la rage des ourouks! Que le sang coule à flot!!!

Le soldats crièrent à la fois de rage et de joie. Tous les ourouks-haïs d'Isengard se tapaient la poitrine et criaient leur grand chant de guerre. Un énorme bruit métallique se faisait entendre qui pouvait surement couvrir le bruit des fosses si elles tournaient encore. Je regardais tout autour de moi. Les piquiers étaient en position derrière la porte, Les épéistes attendaient le contact avec l'ennemi et les arbalétriers avaient leurs armes chargées et attendaient que l'ennemi soit à porté. Je ne vis pas mon troll. Je me demandais où il pouvait bien être. Peut être était-il parti se cacher, ou avait-il rejoint les autres trolls d'Adrian ? Au moins, j'espérais qu'il survirait, j'aurais surement encore besoin de lui; si je survivais à cette bataille. Un tir de ma baliste me ramena au temps présent. Elle avait raté de peu le bélier, mais avait atteint les orientaux à son flanc droit qui volèrent au loin. Hélas, les ennemis morts furent rapidement remplacés par d'autres. D'habitude, mon arme de siège était plus puissante que ça. On verra ça plus tard. Je pris mon arc et tirait sur la corde, prêt à tirer sur le premier soldat oriental ou haradrim à porté. Je poussais un dernier soupir avant de lâcher ma flèche << Il est temps de voir lequel des deux camps est le plus digne de servir Sauron. L'issue est incertaine, mais quoi qu'il en soit, la bataille commence. >>

Je lâchais ma première flèche qui atteignit un soldats en plein dans la gorge. Les arbalétriers tirèrent tous une salve qui fut dévastatrice. Les ennemis tombèrent, mais ils étaient parvenus plus près du mur qu'avant. Les archers orientaux tirèrent une volée qui abattit plusieurs ourouks. Les archers ennemis étaient maintenant assez près des remparts pour représenter un danger potentiel. Les ourouks poussèrent des cris de rage et envoyèrent une nouvelle salve qui fut encore une fois dévastatrice. Néanmoins, ce servant des archers comme boucliers, les haradrims étaient parvenus au pied des murs et lancèrent leurs grappins. Les crochets s'agrippèrent aux rebords et les soldats ennemis commencèrent à grimper aux murs. Ils étaient hors de portée et ne pouvaient être atteints par nos tirs pendant leur ascension. Je sortis mon épée et attendait de combattre. De nombreux crochets arrivaient de partout. Trughh et moi avions beau les couper, il en revenait sans cesse de nouveaux. Des flèches arrivaient sans cesse pour abattre nos soldats sur les murs, malgré les pertes de plus en plus colossales des archers ennemis. Les ourouks tombaient en bon nombre. Je vis les premiers ennemis atteindre le sommet des remparts. L'un deux arriva juste devant moi. Je lui assenais un coup qui lui transperça le ventre avant qu'il n'ait pu sortir son sabre. Un autre homme arriva. Je lui envoyais un coup de poing, qui lui fracassa surement le nez suite au bruit que j'entendis, et l'éjecta hors des murailles. Les épéistes se battaient avec bravoure et ardeur, mais les ennemis arrivaient en si grand nombre et les remparts se remplissaient tellement que beaucoup d'hommes se retrouvaient à bas des murs. Les arbalétriers ne cessaient de tirer et causait des ravages dans les rangs humains. Je vis le bélier avec un carreau dans le flanc et qui vacillait, prêt à tomber. Je savais bien que ma baliste était plus précise qu'on ne le croyait lors des ses premiers tirs. Je me baissais pour éviter un coup de hallebarde et coupait en deux l'homme qui se trouvait devant moi. Un rocher éclata contre la paroi, suivi d'autres encore. Les trolls martelaient nos murs et tentaient de faciliter la montée des haradrims. Un ourouk reçu l'un des projectiles et fut projeté au loin, se retrouvant écrasé entre le sol d'Isengard et le rocher. J'ordonnais aux arbalétriers de tirer sur les trolls pour les exterminer au plus vite. Je fonçais rejoindre Trughh qui se trouvait à présent à l'autre bout du mur. Je chargeai droit sur un oriental et lui démembrais les bras avant de le pousser en bas des remparts. Je glissais sur le cadavre d'un haradrim, mais ce geste me fut salutaire. J'aperçus à ce moment seulement qu'un haradrim me suivait et cette glissade m'évita de recevoir un coup de sabre qui visait ma tête. Je me retournais vivement et envoyait un coup de pied dans les parties intimes de mon ennemi. Chose étrange qu'il n'ait pas de protection à cet endroit. Il tomba à genou en suffoquant de douleur et j'en profitais pour me relever et enchainer avec un coup de genou, cette fois-ci derrière le menton. Je donnais tant de rage dans ce coup et sa tête partit si rapidement en arrière que que sa nuque en fut brisée. Alors qu'il restait inanimé à genou, un dernier coup de pied l'emporta dans la marrée humaine d'ennemis qui ne cessait de se mouvoir. En courant, je donnais un coup d'épaule à un oriental qui retourna en bas plus rapidement qu'il n'était venu en haut. Alors que je shootais d'un coup de pied un autre ennemi qui se trouvais devant moi, un de mes protèges-tibias incrustés de piques se planta dans la jambe de mon ennemi. Il en hurla de douleur et je profitais qu'il se tenait là, à souffrir sans bouger, pour le décapiter. J'atteins enfin mon second qui venait de fendre le crane d'un haradrim et de le renvoyer en bas. En me voyant, il s'écria:
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:07

- À combien en êtes-vous Capitaine ? Pour ma part, ce dernier était mon septième!

- Moi, mon prochain adversaire fera ma dixième victime! Je vais aller prêter main forte au commandant Adrian, crois-tu pouvoir tenir seul cette partie mur ?

Il parut un peu surpris, mais il hocha la tête en signe d'affirmation et se relança dans la bataille. Il venait de remettre à bas des murs un autre ennemi qui avait eut la malchance d'arriver à ce moment là. Je descendit les escaliers et passait derrière les piquiers pour arriver au mur Ouest. Je vis des haradrims attaquer la baliste et ses ingénieurs. Je fonçais sur eux et les décapitais par derrière avant même qu'ils ne puissent me voir. Adrian me cria de défendre la baliste car nous en aurons surement encore besoin. Je hochais la tête pour prouver que j'acceptais et abattais tout ennemi qui s'approchait de l'engin de siège. Je vis les ourouks qui continuaient à se battre sans perdre ne serait-ce qu'une once de férocité et de rage. Tout ennemi atteignant le mur ne pouvait tenir longtemps face à ces fiers guerriers. Un haradrim arriva sur le mur et je le vis être réexpédié par le même chemin qu'il avait pris pour monter, mais avec un bras en moins. Comment le commandant avait-il pu croire que nous perdrions ? Bien sûr, les ennemis étaient bien plus nombreux que nous à leur arrivée et le sont encore maintenant, mais nous avons l'avantage d'avoir les meilleurs guerriers. Nos arbalétriers tuaient bon nombre d'ennemis à chaque tir. Rien ne pouvait protéger les soldats ennemis de la puissance de projection d'une arbalète additionnée à la probabilité de perforation des munitions d'Isengard. Je vis Adrian courir le long de mur et couper un bon nombre de cordes. Des cris indiquèrent que les soldats qui les utilisaient n'était pas très content de l'initiative qu'avais pris leur commandant ennemi. Je vis le bélier s'approcher dangereusement de la porte. J'ordonnais aux ingénieurs de la baliste de tirer.

- Si vous me ratez ce tir, je vous jure que vous passerez un sale quart d'heure, que ce soit moi qui vous corrige ou non!

Les ourouks titrèrent et le carreau vola droit sur sa cible. L'engin de siège vola en éclat et les hommes qui le poussaient moururent. Je poussais un cri de joie en voyant le bélier rouler à . J'entre-aperçus Adrian qui regardais aussi le bélier tomber au sol. Je me retournais et vis juste à temps un haradrim avec une armure maculée de sang et armé d'une dague fortement aiguisée brandir cette dernière pour couper la corde servant à recharger la baliste. Je lui coupais le bras et lui donnais un coup d'épaule. Les piques qui ornaient cette dernière s'enfoncèrent dans la chaire de l'homme qui hurla de douleur. J'en profitais pour ramasser le poignard qu'il avait lâché et le lui enfonçait dans l'artère carotide gauche. Au moment où je l'enlevais, les trois derniers battements de coeur de l'homme relâcha trois giclées de sang qui se répandirent sur le mur ou arrosèrent certains soldats ennemis qui grimpaient. Je relâchais le cadavre qui glissa sur le sol. La surface du mur trembla à ce moment et je vis alors les trolls qui jetaient des pierres sur la porte. Bien que celle-ci soit solide, je craignais qu'elle ne puisse s'effondrer. Les colosses chargèrent alors sur la porte pour l'enfoncer. Je pus percevoir dans le vacarme de la bataille la voix d'Adrian qui ordonnait de tirer sur les trolls. J'obéis et ordonnais aux ingénieurs d'abattre les trolls. Un premier projectile vola et s'enfonça dans la chaire du monstre qui hurla de douleur et s'écroula à terre. Je vis aussi les soldats d'élites d'Adrian s'approcher d'une portion de mur sans ennemis et tuer un troll d'une multitude de flèches. Le colosse usa de ses dernière forces pour sauter sur la porte et asséner ses deux poings dessus dans un bruit sourd. Une secousse se fit sentir sur la surface du mur. J'ordonnais aux ingénieurs de la baliste de tirer à nouveau et le carreau fusa dans les airs pour aller transpercer . Il tourna sur lui-même en balançant ses bras n'importe où et s'écrasa au sol avec un cri de lamentations. Je me retournais et vis deux soldats haradrims me charger, leurs sabres lever et prêts à me transpercer. Je fis une roulade sur la droite et portais un coup qui fut malheureusement paré et une contre-attaque puissante s'en suivie. Les deux ennemis attaquaient l'un après l'autre, portant des coups à droite et à gauche comme si il ne s'agissait que d'un seul combattant armé de deux épées. J'eus beaucoup de mal à parer à le fois l'un et l'autre. En voyant les armes qui se trouvaient sur le sol, j'eus alors une idée de la façon dont je me débarrasserai de ces deux rats de l'Est. Je me penchais pour esquiver un coup et en profitais pour ramasser la dague d'un haradrim qui gisait à terre. Je sautais en arrière pour me retrouver éloigné de mes deux adversaires et lançais de toutes mes forces sur les soldats. Elle fila et se planta dans le bras d'un ennemi. Le temps qu'il enleva l'arme de son bras, j'eus le temps de bondir et de le décapiter. Sa tête roula à terre et son corps tomba en avant, touchant le sol avec un bruit mou. Je parais alors une série d'assauts que lança mon second adversaire. Il fit alors passer son épée d'une main à l'autre, en signe de défi. Je rageais à cause de cet affront et me préparais à riposter. Une bouteille passa alors entre nous deux et éclata sur la baliste qui se trouvait juste à coté. Une explosion se produit qui nous fit tomber à terre. Comme je me tenais tout près de l'engin de siège, je fus le plus touché sur le moment par le brasier qui venait de s'allumer. Je me trouvais à genou, les mains posées sur les yeux. Les flammes de cette arme maudite avaient brulées mes yeux. Je ne pus compter le temps qu'ils prirent pour me redonner la vue. Lorsque je pus à nouveau entrevoir quelque chose, j'aperçus mon ancien adversaire à terre, le corps rongé par les flammes. Son voile avait du prendre feu et le brasier s'était répandu sur tout le reste de son corps. Mon casque m'avait sauvé la vie. Si je ne l'avais pas porté, ma tête aurait entièrement pris feu. Je n'avais plus qu'à souhaiter que les dégâts se soient limités au niveau de la fente pour les yeux. Je vis aussi les deux ingénieurs de la baliste entrain de courir dans tous les sens. L'engin de siège était en flamme et se consumait petit à petit. Les arbalétriers ne cessaient toujours de tirer sur les ennemis qui se trouvaient en bas des murs. Combien pouvaient-ils encore être ? Je ne préférais pas le vérifier maintenant. Je vis aussi la cape de Adrian qui gisait au sol et qui brulait. Aurait-il été consumé par le brasier et serait tombé dans les rangs ennemis ? Je ne pouvais le croire. Cela signifierait que je devrai prendre le commandement et je n'était vraiment pas en état de le faire. Un feu brulait sur les bords des remparts. Il devait sans doute avoir été plus ardent quelques minutes plus tôt. Je fus rassuré en voyant Adrian éteindre les dernière flammes du brasier en leur marchant dessus. Un craquement se fit alors entendre. Je portais mon regard vers la porte et poussait un hurlement qui sortit aussi faible que celui d'un semi-homme. Les monstres continuaient de marteler la porte et les piquiers derrière cette dernière tremblaient de terreur. Ils ne savaient pas vraiment ce qui pourrait arriver par cette sortie et le redoutaient. Ils tenaient leurs lances tendues vers la porte. J'aperçus dans le désordre de la bagarre Adrian qui courrait vers l'arche de la porte. Je me relevais et voulus lui porter secours quand un soldat ennemi sauta vers moi et manqua de me fendre le crane à cause d'une de mes roulades. Il se releva et se stoppa net en voyant mon visage. Je ne me posais pas de questions et profitais de son inattention pour l'embrocher de ma puissante épée. L'homme émit un cri plaintif et tomba à terre. J'entendis un nouveau bruit métallique et sourd et vis les portes s'effondrèrent. Les trolls entrèrent alors et chargèrent les piquiers. Adrian versa le contenu d'une marmite qui se trouvait au-dessus des monstres et l'un deux hurla de douleur. Il tomba sur le dos et mourut. Les survivants écrasaient, dévoraient ou éjectaient les piquiers qui osaient leur barrer la route. Les piques se plantaient dans leurs chaire mais ne leur faisaient mal que si ils étaient en grand nombre. Adrian sauta sur l'un des colosses et ne cessa de lui donner des coups de lames profondes. Le troll poussa un puissant cri et s'écrasa sur une dizaine d'ourouks. Les ourouks se battaient avec ardeur et rage, mais s'épuisaient par fois. Les épéistes tenaient de moins en moins les murs et profitaient de la moindre pause dans l'attaque ennemie pour souffler, même si ce n'était qu'une dizaine de secondes. Les arbalétriers causaient toujours la mort et n'hésitaient pas à donner des coups de pieds ou d'arbalètes pour repousser les haradrims trop proches. Je ne pouvais m'empêcher de me mordiller la lèvre inférieure. Maintenant que la porte était ouverte, c'était pour les ennemis comme une invitation à entrer dans Isengard. Ils n'allaient pas se gêner pour entrer et détruire tous ennemis sur leur chemin. J'entendais justement les sabots des cavaliers ennemis qui battaient le sol en chargeant vers la porte. Je vis qu'ils étaient en formation de triangle, la formation parfaite pour enfoncer les lignes adverses. Leurs armures, leurs sabres et leurs hallebardes luisaient dans la lueur du soleil à son zénith. Cela faisait une éternité que nous nous battions et toujours aucune défaillance dans les rangs ennemis. On aurait juré que leurs troupes ne cessaient de croitre. Les cavaliers de l'Est passèrent la porte et s'engouffrèrent par la faille du mur, telle une marée d'or renversant tout sur son passage. Ils enfoncèrent les lignes de piquiers et se battirent jusqu'à leur dernier souffle. Les piquiers ne combattaient pas comme à l'ordinaire, pour le sang et la guerre. Aujourd'hui, ils se battaient pour leur vie et celle de leur Maitre. Un autre éclair de lumière dorée m'apparus et je tournais la tête cette fois hors des murs du bastion. Les fantassins orientaux chargeaient vers nous. Il y en avait au moins un bon millier et demi. Nos troupes diminuaient trop rapidement à mon goût. La victoire pourrait-elle nous échapper ? J'étais entre la confiance de Saroumane et les propos d'Adrian. Je ne savais où me mettre. Les cris de la bataille me sortirent de mes pensées. Les fantassins ennemis n'étaient vraiment plus loin de la porte. J'aperçus un grand guerrier basané devant les autres soldats. Il était tout habillé de tissus et ne portait aucune protection. Sans doutes était-il le chef des haradrims. Il ne portait pas même d'armure, de protèges-épaules ou tibias. Il allait sans doute se faire tuer rapidement. Il était armé d'une épée très étrange et d'un poignard aiguisé. Il chargea le premier. Au moment où il arrivait au niveau des lances, il fit une vrille sur le coté et trancha la tête d'un ourouk. Il jouait à le fois de son épée orientale et de son poignard, effectuant des vrilles, des sauts spectaculaires, des roulades et autres acrobaties inhumaines. Je me demandais où il avait bien pu apprendre à combattre ainsi. Il n'y avait aucun ordre, il en faisait en fiat que taper au bonheur la chance autour de lui. Je me retournais et décidais de laisser cet ennemi à Adrian, peu importe où il se trouvait actuellement. Je longeais le mur en tuant les haradrims que je pouvais croiser en chemin. Je décapitais un d'entre eux qui se trouvait le dos tourné, je poussais un autre qui alla s'écraser en bas des remparts et coupais deux ou trois cordes pour ralentir le flot d'ennemis. Un soldat m'arriva droit dessus et rata de peu ma joue. Je le saisis par le cou et commençais à resserrer mes doigts. L'homme envoya alors un grand coup de poing qui fit voler mon casque sur la surface du mur. Mon nez commençait à saigner. Je plaquais le dos de l'haradrim contre moi et lui saisi l'arrière de la tête. Je fis alors tourner dans le sens contraire sa tête et son corps. L'un et l'autre se séparant, un « crac » se fit entendre et je lâchais ma victime. Le soldat glissa de mon torse et s'écroula sur le mur. Un nouveau ennemi arriva, je parais avec facilité son attaque sur la gauche et le transperçais de ma lame. Un autre arriva qui tenta une attaque sur mes jambes. En me donnant un coupe de pied, il s'empala le tibia droit sur mes protection. Je soulevais mon épée et la laissais tomber sur la tête du haradim. Le coup coupa son foulard qui parti dans un coup de vent. Je vis alors que le visage de l'homme était celui d'un jeune. Voilà pourquoi les ennemis étaient si nombreux, mais pourtant si aisés à tuer : c'était beaucoup de jeunes recrues. Ils pensaient rentrer chez eux, plein de gloire et ayant prouvé leur force, mais au final, il ne repartiraient pas de leur destination. Je me relevais, me retournais et esquivais à temps une hallebarde. Ils étaient jeunes, nouveaux dans leurs armées mais pas tout à fait si mauvais que ça. Je coupais en deux l'arme de mon adversaire et, en deux moulinets de mon épée, lui coupais les deux bras. Le jeune homme tomba à terre en criant de souffrance. Je levais ma lame et le décapitais d'un seul coup. Une fontaine de sang jaillit de son coup ouvert par au-dessus et il vacilla en arrière avant de tomber à bas des murs. Je regardais tout autour de moi : les arbalétriers continuaient de tirer sur les ennemis, mais maintenant des tirs partaient pour atteindre des soldats ennemis à l'intérieur et à l'extérieur des remparts. Les épéistes peinaient de plus en plus à repousser les ennemis des murs et les piquiers se débrouillaient du mieux qu'ils pouvaient pour tuer les épéistes qui se mêlaient à leurs rangs. Ils étaient en importante infériorité numérique mais se battaient comme des wargs enragés. Rien en semblait pouvoir leur résister. Je réussis à retrouver Adrian. Il était dans le flot d'hommes de Rhun et semblait être un peu en difficulté. Un cri de joie se fit alors entendre. Je regardais sur l'autre mur et vis que les haradrims avaient vaincu nos défenseurs sur une bonne portion de mur et s'attaquaient maintenant aux survivants. Mon second menait la défense contre les nouveaux assaillants. Je remis mon casque et interpelais tous les épéistes qui se trouvaient sur mon coté de mur.

- Abandonnez les remparts et suivez moi! Nous devons protéger la porte!

- Mais capitaine! Si nous abandonnons les murs, nous sommes condamnés!

- Et je vous assure que si nous perdons notre Commandant, nous sommes aussi condamnés! Suivez-moi et je ne veux aucun trainards! À L'ATTAQUE!
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:08

Je descendis les escaliers suivis de tous les autres épéistes du mur où je me trouvais. Nous courions à toute allure, prêts à mourir pour protéger Isengard et Saroumane, le Grand Maitre de la Main Blanche. Alors que nous hurlions en chargeant l'ennemi, je vis Trughh qui se trouvaient sur l'autre mur, attaquant lui aussi les soldats orientaux en les prenant sur flanc. Ainsi, nous avions laissé les deux murs sous la seule protection des arbalétriers. Le mur Ouest allait vite tomber et le Mur Est le suivrait surement peu de temps après. Les chocs furent brutaux. Les ourouks-haïs fondaient dans les rangs ennemis et ne cessaient de combattre tant qu'il leur restait un souffle de vie. Les hommes de l'Est étaient en difficulté. Ils avaient les piquiers devant eux et un flot d'épéistes sur les flancs. Un cri provint de derrière nos troupes. Des mots dans une langue qui m'était étrangère furent prononcés par l'un des commandants ennemis et les soldats orientaux repartir se mettre en sécurité sur les murs contrôlés par leurs alliés. Ils battaient en retraite! Allaient-ils s'enfuir et abandonner le siège ? C'était peu probable. Les haradrims restaient sur les murs tandis que les autres ressortaient de l'enceinte du bastion. Adrian ordonna aux ourouks de se rassembler et aux piquiers de se mettre face à la porte. Les arbalétriers survivants avaient fui les murs et s'étaient rassembler près de nous. Leurs pertes étaient catastrophiques : il n'en restait qu'une centaine, voire moins. Les haradrims étaient plus de cinq centaines sur nos murs. Ils attendaient un nouveau signal pour relancer une attaque. Les remparts étaient assombris par les cadavres et les soldats ennemis. Leur prochaine attaque serait décisive. Ils frapperaient vite et fort. Les chevaucheurs de wargs étaient toujours dans les caves. Ce qui permettrait de faire une éventuelle sortie pour affaiblir les rangs adverses. Je me demandais ce que pouvait faire Barrackh et les trolls d'Adrian ? Il devait les garder pour une contre-attaque à laquelle les hommes de l'Est ne s'attendraient pas. Je m'approchais d'Antarès et Adrian nous rejoint. Il était en sueur et il avait un peu de peine à respirer. Aurait-il pris un mauvais coup ? J'espérais en tous cas qu'il ne verrait pas ma blessure aux yeux.

- Alors, comment trouvez vous la situation, plaisante non ?

Antarès sourit. Moi, je serrais les dents. Que pouvait-il y avoir de plaisant à voir ses troupes décimées et sa vie sur le point de se terminer ?

- Nous nous sommes bien défendus, ils ont perdu la majorité des leurs troupes mais restent trop nombreux pour nous. Nous allons être obligés de soit leurs reprendre les murs, soit battre en retraite sans quoi nous serrons massacrés.

- Reprendre les murs semble impossible. Ils sont en supériorité numérique et ils n’auront aucun mal à nous repousser étant donné la taille des escaliers. Nous mourions tous les uns après les autres, la retraite est la seule possibilité…

Comment avais-je pu dire une chose pareille ? Cela ne me ressemblait pas du tout d'être défaitiste. Adrian poussa un grand soupir et allait me répondre, quand un grand cri se fit entendre. Nous cherchâmes tous d'où il pouvait provenir et nous tournâmes vers Orthanc. Nous vîmes Saroumane qui se tenait au sommet de se tour, tenant fermement son bâton au-dessus de lui et prononçant une invocation ou quelque rituel sombre. Sa voix était encore plus grave et plus sombre qu'à l'ordinaire. Ses yeux étaient fermés. Il les ouvrit d'un seul coup, cessant de réciter sa formule et s'écria :

- Vous ne me vaincrez pas si facilement, maudits esclaves!

Alors qu'il finissait sa phrase, il brandit son bâton vers les murs et une boule de feu jaillit de l'extrémité de son sceptre pour aller exploser sur les ennemis. Les ennemis poussèrent des cris de terreur. La magie de Saroumane était puissante. Je savais que nous pouvions lui faire confiance! Le projectile éclata sur les remparts. Plusieurs haradrims valsèrent dans les airs avant de retomber en se cassant les os. Ceux qui échappaient aux projectiles se bousculaient pour s'enfuir. Certains étaient atteints par un fragment de feu et mourraient calcinés. Le Magicien Blanc poussa un grand rire funeste et rugit, ne cessant de lancer des boules de feu énormes partout où les ennemis se trouvaient bien serrés. Il devait être ivre de sa puissance ou fier de vaincre ces vermines de l'Est.

- Vous allez tous périr!

Les ennemis tombaient comme si des milliers d'archers lâchaient sans relâches des volées de flèches dévastatrices. Un énorme bruit se fit entendre et d'énormes rocs furent projetés dans le ciel. Je me tournais et vis que la mine avait explosé. Les débris de la baliste et du mur s'envolèrent pour retomber sur ce qui se trouvait en dessous d'eux. Plusieurs débris tombèrent parmi les nôtres. Une cinquantaine de piquiers furent broyés par les terribles débris. Une pluie de projectiles enflammés, vraisemblablement des roches, tombaient sur nous. Maintenant, les ennemis avaient trois voies d'accès pour entrer : les murs, la porte brisée et le trou béant dans le mur Est. Adrian, suivis de ses soldats d'élite, fonça vers les caves en ordonnant de se mettre à couvert et de se replier. Je courus aussi vers les fosses mais Adrian, qui se trouvait à coté de moi, me saisit l'épaule gauche et je sursautais sur l'instant.

- Prenez une cinquantaine de soldats et aller défendre ce vieux fou, si il meurt, ce serra la fin !

Je hochais la tête et partis vers Orthanc. Je prenais tous les soldats qui passaient près de moi, Je croisais soudain Antarès. Je le stoppais et lui ordonnais de me suivre.

- Venez avec moi! Il faut que vous m'aidiez à protéger Saroumane. Prenez vos archers d'élite, nous en aurons besoin.

- Je n'obéis qu'au Seigneur Adrian et au Magicien Blanc.

Je le pris par le cou et le soulevais de terre. Il en s'attendait pas à ce que je possède une telle force. Je le regardais, mes yeux brulés dans les siens. Il resta la bouche ouverte quand il vit l'état de mon visage. Il faudrai vraiment que je me regarde après cette bataille.

- Pour une fois qu'il faut agir, vous n'allez pas faire le supérieur aux autres! Si vous me suivez pas, je ne crois pas que votre cher commandant apprécie le fait que vous ne m'ayez pas aidé à protéger Saroumane. Mettez-vous dans le crane que si il meurt, tout Isengard tombe avec lui. Alors suivez-moi ou vous en prendrez pour votre compte!

Je le lançais sur le coté et sautais pour éviter un rocher brulant qui nous arrivait dessus. Je courus pour rejoindre Orthanc et jetait un coup d'oeil derrière moi. La pluie de rochers s'apaisait mais continuait à faire des victimes. Des dizaines et des dizaines d'ourouks mourraient à causes de ces projectiles. Antarès ne m'avait pas suivi. Il était retourné vers les cavernes. J'arrivais au sommet des marches de l'escalier et regardais vers les portes. Les ennemis lançaient leur attaque décisive. Ils e ruaient vers les passerelles et vers la tour aussi. J'ordonnais la fermeture des porte alors que des flèches commençaient déjà à siffler tout autour de nous. Les portes allaient se fermer complètement quand j'arrêtais la manoeuvre. Un groupe de quarante soldats ourouks courraient à toute vitesse vers Orthanc. Je reconnus Antarès à leur tête. Ils s'engouffrèrent dans la petite embrasure qui restait et pénétrèrent dans la tour. Je réordonnais la fermeture et les portes se rejoignirent. Elles se fermèrent dans un grand bruit. Je fis le compte de ce que nous avions pour nous défendre. Une trentaine d'arbalétriers, une vingtaine d'archers et septante épéistes, Antarès et moi. Ce n'était que très peu mais nous devrons nous contenter de cela.

- Barricades les portes! Si elles tombent, nous serons fichus!

Une dizaine d'ourouks partirent dans la tour pour chercher tout ce qui pourrait servir à coincer encore plus les imposantes portes. Je regardais les derniers survivants et m'arrêtais devant Antarès et lui dis avec un ton sarcastique :

- Alors, vous avez changé d'avis ?

- Non, j'ai juste obéis aux ordres du Seigneur Adrian.

Je poussais un soupir et repartis voir les troupes. Je vis alors Trughh qui était assis, se tenant le bras gauche.

- Trughh, qu'est-ce que tu fais là ?

- Le commandant Adrian m'a dit de venir ici. Il a insisté sur le fait que vous auriez besoin de moi.

- Il est vrai que j'aurais besoin de toi, autant pour ton talent que pour ton soutien morale. Que t'est t-il arrivé ?

- Une flèche de ces maudites vermines de l'Est m'a transpercée le bras quelques instants avant notre charge sur les soldats orientaux. Mais je survirai, me dit-il en me lançant un sourire Au fait, je suis à seize victimes.

- Et moi à vingt-trois. Continu comme ça et tu me rattraperas.

Je repartis et montais les marches. Je voulais voir Saroumane et surveiller ceux qui cherchaient quelque chose pour barricader les portes. Je montais les nombreuses marches et arrivais dans la salle du trône de Saroumane.

- Alors, comment trouvez-vous la situation Maitre? On dirait bien que Le Maitre du Mordor vous a trahit.

- C'est impossible! Il s'agit surement de soldats s'étant rebellés contre Sauron et ayant voulu nous vaincre, Sauron ne peut nous trahir!

- Avez-vous quelque chose dans la Tour qui puisse nous aider à barricader les portes, tonneaux, armes, bâtons...?

- Croyez-vous que je m'encombre de pareils sottises ? Je n'ai rien qui puisse vous aider.

- Ces sottises comme vous dites auraient pu nous sauver la vie. Mais j'ai une autre question à vous demander : pouvez-vous me guérir ?

J'en levais mon casque et il découvrit mes yeux brulés par la bombe des corsaires. Saroumane haussa un sourcil.

- Comment avez-vous eu cela ?

- Une bombe de ces maudits corsaires d'Umbar m'a explosé devant le visage. J'ai eu tout de même plus de chance que l'adversaire qui m'affrontait au moment de l'explosion.

- Je crains ne rien pouvoir faire pour vous. Ces soulards mélangent tellement de choses dans leurs cocktails qu'il est très difficile de trouver un remède pour chaque mixture mise dans ces beuveries, et je n'en ai pas le temps maintenant.

- Comment pouvez-vous me laisser comme ça!

Mais le magicien ne montra aucun sentiment ni aucune expression. Il se contenta de regarder par une fenêtre et de me lancer une dernière phrase.

- Capitaine, je crois que voilà le moment que je voie de mes propres yeux votre valeur.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:09

Alors qu'il terminait sa phrase, un grand bruit se fit entendre. Je regardais dans l'escalier et vis les soldats que j'avais envoyé chercher des objets pour barricader les portes redescendre en courant. Je me précipitais à leur trousses et arrivait devant la porte. De puissants coups la faisaient vibrer sur ses gonds. Les ennemis allaient bientôt entrer et ils avaient encore des trolls. J'ordonnais aux arbalétriers et aux archers de se préparer à lâcher leurs flèches dès que la porte s'ouvrirait. Les épéistes se tenaient juste devant eux pour les défendre. Les soldats à distances seraient primordiaux. Heureusement, la salle juste après la prote était assez vaste pour nous y mettre tous, mais aussi assez étroite pour empêcher facilement les ennemis d'entrer. Les portes commencèrent à s'ouvrir et une grande lance apparue entre deux, un troll était entrain de s'en servir comme levier pour libérer le passage. Les portes s'ouvrirent et un troll pénétra dans la tour. Le bout de son arme était taché de sang et ses yeux en réclamaient encore. Les archers et arbalétriers tirèrent sur le troll en visant la tête et fient mouche. Les carreaux et flèches se plantant dans la chaire du géant, il vacilla sur lui même et s'écroula en arrière. Les orientaux entrèrent alors. Leurs armures étincelantes, leurs hallebardes aiguisées et leurs boucliers leurs donnaient fière allure. Ils entraient dans la tour tel un torrent dans un bras de rivières nouvellement creusé. Nous devions tenir la position aussi longtemps que possible. Nos boucliers étaient pointés vers eux, nos lames prêtes à découper nos ennemis et notre coeur prêt à tout pour défendre le Magicien Blanc. Le choc des deux camps fut brutale. Le premier soldat qui m'attaqua vit sa lame voler en éclat sous le coup puissant de mon épée et sa tête roula à terre après mon deuxième coup. Un nouvel attaquant arriva sur moi. Il tenait à chaque main un sabre et était vêtu d'une armure légère. Il bondit sur moi et je sautais sur le coté pour l'esquiver, ses sabres passants à quelques centimètres de ma tête. Je chargeai sur lui, donnant de tous cotés des coups de ma puissante épée, mais l'homme parait les parait à chaque fois aussi facilement qu'Adrian. Je donnais encore un coup d'épée et frappais alors l'homme de mon bouclier. Ne s'attendant pas à ça, il para mal le coup et tomba en arrière. Je posais un pied sur lui et enfonçais la pointe de mon bouclier dans son armure légère. Elle y entre et lui perfora l'estomac. Il rejeta un crachat de sang et mourut. Je me relevai et retournai dans la bataille. Les ourouks se battaient violemment et avec ardeur. Antarès ne se contentait pas de tuer mais il broyait littéralement ses adversaires. Je me demandais quel entrainement Adrian avait bien pu lui faire suivre pour qu'il devienne aussi puissant. Mais les combattant de l'Est ne cessaient d'affluer et nos soldats commençaient à avoir besoin d'un peu de repos. J'ordonnai le repli vers les escaliers. Nous pourrions les bloquer là-bas. Mes soldats se replièrent, les arbalétriers et les archers continuant de tuer les soldats qui arrivaient, et les épéistes combattant ceux qui étaient déjà dans la tour. Au moment où j'atteignais les marches, un troll armé d'un grand marteau entra dans la tour. Il était grand et féroce, plus encore que Barrackh. Ce devait être un Olog-haï de Mordor, plus puissant sûrement que ceux que Saroumane avait créé. Pour sauver mes troupes, j'allais faire un sacrifice qui me faisait mal au coeur. Je reculais mon bras et le lançais en avant de toutes mes forces. Mon bouclier se détacha de mon bras et alla se planter dans le ventre du monstre qui émit un hurlement de rage. Les ourouks ne reculèrent alors plus mais fuirent carrément vers les escaliers. Le marteau se leva et s'abattit juste sur les derniers ourouks qui n'avaient pas réussi à atteindre les marches à temps. Ils furent écrasés sous le poids de l'énorme masse. Le troll enleva son arme qui obstruait le passage et les orientaux commencèrent à gravir les escaliers. Les arbalétriers et archers, qui s'étaient retirés en premiers et avaient atteint l'étage de la salle du trône de Saroumane commencèrent à tirer sur les soldats ennemis qui affluaient. La mort se répandit sur nos ennemis et beaucoup périrent grâce à cette tactique. Les épéistes arrivèrent à coté des autres troupes et formèrent un bloc que nul ne pouvait passer sans périr. Le groupe s'ouvrit pour laisser passer Antarès et moi. J'ordonnais que les épéistes d'élite d'Adrian soient postés à l'arrière du bloc. J'expliquai après à Antarès que j'avais un plan qui marcherait sûrement. Les escaliers étaient bloqués par les ourouks qui attendaient de pied ferme l'ennemi qui arrivait. Les premiers orientaux qui parvinrent au groupe moururent rapidement, Car ces rats de l'Est avaient réveillé l'esprit de rivalité et de compétition des ourouks. Ils avaient commencé à se croire les plus puissants de la Terre du Milieu, pensant que personne ne pouvait rivaliser avec eux, tout comme moi. Mais Adrian m'avait prouvé que bien des êtres avaient une puissance supérieur à celle des ourouks, même si elle n'était pas naturellement venue. Le combat sur les murs et al mort des nombreux compagnons d'armes des ourouks-haï avaient réveillé cet esprit de rivalité, et décuplé aussi la force des combattants d'Isengard. Maintenant, ils ne se battaient plus pour le plaisir de tuer, mais pour la vengeance de leurs compagnons, et surtout, pour leur survie. Et n'importe quelle créature qui est acculée et en grand danger de mort, même un simple orc, peut devenir très dangereux à ce moment là. J'arrivais vers Saroumane qui était assis sur son trône, attendant la victoire ou la mort. J'allais regarder par la fenêtre pour faire un bilan des troupes ennemies. Quelques soldats orientaux étaient encore dehors devant les portes, le reste était dans la tour ou dehors près des portes brisées, attendant eux aussi l'annonce de la victoire ou de la défaite. Il devait y avoir dans la Tour quelques centaines d'hommes, mais nous pourrons les contenir. J'aperçus alors des soldats qui pénétraient dans les excavations et j'entendis d'ici les bruits du combat dans les caves. Je rentrais dans la tour juste à temps pour éviter une flèche qui me rata d'une vingtaine de centimètres. Saroumane s'était levé, il brillait presque et son bâton tremblait presque dans ses mains. Il se tourna vers moi et me parla d'une voix forte et autoritaire.

- Capitaine, ramenez vos soldats derrière moi et laissez les ennemis arriver. Je suis prêt à les repousser.

J'hochais la tête et allait donner l'ordre à mes troupes. Antarès commençait à se demander si je ne devenais pas fou, mais il obéit quand même. Toutes les troupes arrivèrent et se placèrent derrière le Magicien Blanc. Les épéistes se tenaient avec leurs boucliers en avant, prêts à charger si les ennemis attaquaient et les archers et épéistes se tenaient derrière eux, prêts à tirer à mon ordre. Des bruits de pas se firent entendre et les premiers ennemis arrivèrent. Ils se placèrent devant la porte, bloquant toute possibilité de sortie possible, à part le saut depuis le balcon. Un haradrim qui saignait du visage se fraya un passage et se mit devant les autres. Je reconnus mon bouclier sur l'un de ses bras et j'émis un grognement. Ses cheveux étaient collés sur son visage par la sueur et le sang, ses yeux lançaient des éclairs et ne laissaient ressortir que la haine et la rage. Son armure était frappée en de nombreux endroits. Il leva son sabre, cria un ordre dans la langue des suderons et chargea le premier, ses hommes le suivant. Saroumane brilla alors encore plus qu'avant. Le sol trembla un peu et il frappa le sol de son bâton, se mettant à genou en effectuant ce geste.

- Mourrez, maudits esclaves! Jamais vous ne me prendrez, moi et mon empire!

Ce disant, il poussa sa main gauche en avant, paume tendue vers ses ennemis et une explosion s'effectua. Les soldats ennemis furent propulser et moururent avec de grands cris. L'explosion fut si violente qu'elle nous fit tous tomber à terre. En levant la tête, je vis la peau de l'haradrim qui avait chargé le premier être littéralement désintégrée par la puissance de l'onde de choc. Mon bouclier se détacha de son bras qui n'était plus qu'un squelette, se brisa en milliers de fragments et se consuma. Ainsi fini l'utilisation et la carrière du bouclier que j'avais trouvé dans un petit village de Rohan, sans doute avait-il été celui d'un des premiers ourouk-haï et il n'aurait pu avoir de destin plus noble que de celui qu'il venait de d'accomplir : protéger son maitre et son nouveau utilisateur. Ainsi, le grand bouclier à pointe frappé de la Main Blanche, puis de la Main Noire, nom que l'on donne aussi à celle de Sauron qui lui fut amputé, disparu après avoir combattu tous les ennemis qu'il aurait pu rencontrer en Rohan : elfes, rohirims, rôdeurs, ents, wargs, trolls et même des soldats de l'Est. Il lui restait encore maintes créatures à combattre, tels que des nains, des hommes de Gondor et autres êtres vivants de la Terre du Milieu, mais à présent son temps était fini. Je me relevai, et regardai là où, quelques instant au paravent, il y avait encore des soldats de l'Est. Des corps jonchaient près de la porte de la salle et un squelette aussi. Les orientaux, terrorisés par la puissance de Saroumane, avaient quitté la Tour et étaient redescendus. J'ordonnais alors aux soldats de se remettre en position dans les escaliers et d'attendre. Je retournais au balcon et regardais au dehors. Les ennemis commençaient à rentrer à nouveau dans la Tour. Je regardai alors à l'Est et eut une vision qui me redonna espoir : une petite forme sombre se dirigeait vers nous. C'était sûrement les renforts qui arrivaient, un peu tard, mais mieux vaut tard que jamais. Je retournais vers mes troupes et changeais l'ordre du bloc. Les épéistes d'élite d'Adrian se tenaient maintenant à l'avant.

- Maintenant, descendez les escaliers jusqu'à arriver à la porte, nous devons reprendre le contrôle de la Tour!

Le bloc commença à avancer, les archers et arbalétriers suivant derrière. À peine avais-je donné l'ordre de démarrer que les premiers soldats de Rhun qui remontaient furent en vue. Je suivais le bloc derrière les arbalétriers et archers, Antarès à mes cotés, et me délectais de voir les soldats de Rhun mourir face à nos ourouks déchainés. La formation continua d'avancer, tuant tous ennemis qu'elle rencontrait et arriva enfin près de la porte. Là, le troll armé de son marteau attendait et frappa en plein milieu de notre bloc. Dix ourouks furent alors aplatis par le poids de l'arme. Les archers et arbalétriers tirèrent alors et le troll recula. Il voulu sortir de la Tour, mais à reculons, c'était impossible. Une deuxième volée l'abattit et il s'effondra dans la salle.

- Fermez les portes! Nous devons tenir jusqu'à ce que les renforts atteignent l'anneau d'Isengard.

Nous fermâmes alors les portes et attendîmes quelques instants. Un mugissement se fit alors entendre, un mugissement de troll. C'était mon troll, je reconnaissais son cri.

- Ouvrez-les! Nous devon sortir.

- Mais, les renforts ne sont aps encore arrivés et les ennemis sont...

- Ouvrez! C'est un ordre de votre supérieur!

Les ourouks ouvrirent alors les portes d'un seul coup. Les haradrims et orientaux qui se tenaient devant les portes furent propulsés et deux volés de flèches partirent de la Tour. Tous les ennemis qui se tenaient sur les marches de l'escalier périrent alors. La sortie d'Orthanc fut si belle et si impressionnante que les ourouks qui y survécurent parlèrent toujours d'elle pour impressionner les jeunes recrues ou les orcs, les haradrims qui avaient réussi à fuir la bataille racontèrent que la Tour avait libéré une puissance plus grande encore que la Tour de Minas Morgul et qu'elle avait balayé tout autour d'elle à des lieus à la ronde. J'évaluais la situation en un clin d'oeil : Adrian avait aussi effectué une sortie depuis les excavations et combattait les ennemis qui voulaient lui barrer la route; Barrackh et d'autres trolls exterminaient les ennemis devant les caves; les chevaucheurs de wargs se trouvaient dans les rangs ennemis, leur sortie ayant raté et se battait à l'aveuglette; les commandant ennemis étaient toujours devant la porte principale et commençaient à avancer eux-même dans la bataille, se rendant compte que la victoire pouvait leur échapper. La priorité était de sauver le commandant et après, de s'occuper des généraux ennemis. Trughh me rejoignit sur les marches et hocha la tête, il était prêt à me suivre partout, même dans la mort.

- Compagnons d'arme ourouks-haï, vos frères sont morts sur les murs de leur propre bastion, les portes de votre royaume ont été fracassées et les rats de l'Est vous ont fait reculé au plus profonds de votre antre, mais vous êtes encore vivants! Ne vous battez plus pour le plaisir et pour la gloire, mais pour la vengeance et la survie! Le sang coulera à flot, les boucliers tomberons, les flèches voleront et les épées s'entrechoqueront, mais notre espoir ne tombera pas tant que vous vivrez! Vous êtes la puissance d'Isengard, prouvez-le maintenant ou jamais! Le sol sera rouge, et vos lames souillées, maintenant! La mort ou la victoire! Mort aux vermines de l'Est! À MORT!

- À MORT!
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:10

Les ourouks hurlèrent. Enfin, leur puissance était réveillée, elle allait frappée vite, fort...et faire mal à leurs ennemis! Je m'élançais dans la bataille, les épéistes me suivant, Trughh à mes cotés. Le moment de nous battre plus que pour notre survie que pour notre gloire et notre plaisir était venu. L'instant de la décision finale, celle où la puissance d'Isengard et de l'Est allaient s'affronter à mort et sans aucune pitié, là où la mort était à portée de l'un des deux camps, et allait en saisir un pour l'emporter avec elle, était venu. Nous chargeâmes tous, épées levées, boucliers en avant et notre cri d'attaque résonna dans toute la vallée, jusqu'aux guets de l'Isen. Les archers et arbalétriers nous suivaient doucement, semant la mort dans les rangs ennemis. Nous atteignîmes les ennemis et enfonçâmes ses rangs, tel une masse d'arme dans un bouclier. Notre puissance frappa l'ennemi qui en fut déboussolé. Le premier adversaire que je rencontrais para mes deux premières attaques, mais le troisième coup le coupa en deux. Nous avions ouvert les failles et nous battions en plein dans les rangs ennemis, quand un cor sonna et l'espoir me revint. Tous, nous tournâmes la tête vers les portes fracassées et vîmes un groupe de cavaliers noirs les passer. Le doute se mêla avec l'espoir dans nos esprits, jusqu'à ce que les éclaireurs apparaissent derrière eux. Alors, le chef des cavaliers pointa de sa lame les orientaux et haradrims, et ils chargèrent sur eux, tel un aigle piquant sur sa proie, et rien ne leur résista. La bataille était gagnée pour nous! Malgré la puissance numérique qu'avaient les hommes de l'Est, ils furent massacrés. Aucun ne pu fuir, mais le Seigneur des Ténèbres avait alors des espions qui virent la bataille, et lui rapportèrent ce qui s'était passé. Lors du rapport, des hommes de l'Est entendirent en partie ce qui s'était passé et crurent à une puissance venue des fonds des âges. Les commandants ennemis réussirent à ramener leurs soldats à la raison et à les faire combattre. Les haradrims et orientaux restant combattaient maintenant avec vaillance et puissance, rivalisant de talent avec les ourouks, mais nos troupes étaient prêtes à venger leurs compagnons d'arme tombés et les souffrances imposés à leur patrie. Les commandants ennemis furent alors entourés de leurs troupes d'élites, tous armés de deux sabres et d'une armure lourde. Le chevalier noir attaqua un groupe de soldats isolés des gardes d'élite, suivi de nos chevaucheurs de wargs restant et les extermina tous. Nous encerclâmes les commandants et un grand cri se fit entendre : Nous vîmes Saroumane en haut de sa Tour, exerçant sa magie qui en nous avait pas encore été montré. Alors, un grand éclair s'abattit sur les ennemis qui ne se trouvaient pas dans le groupe des élites, suivi d'autres plus petits, frappant toujours des ennemis et tuant tous les fuyards. Les hommes de l'Est avaient cru la victoire leur, et voilà qu'il tombait sous les attaques de combattants presque surpuissants, de trolls puissamment armés de de magie destructrice. Il ne restait plus que les commandants et leurs gardes d'élites, entourés de toute part. Adrian alla rejoindre ses troupes d'élites alors que je regroupais les épéistes restant. Le mystérieux chevalier noire attendait pour la charge finale qui nous donnerait la victoire. Adrian sortit sa lame, suivi de nous tous. La victoire ne pouvait plus nous échapper, à moins d'une attaque portée par une autre armée avec à ses cotés Sauron lui-même. Adrian lança la charge, alors que sa vitesse arrivait à son apogée, une flèche vint lui frapper le thorax. Je vis un chef haradrim équipé d'un arc qui rangeait ce dernier dans son dos. Je vis alors son aire ahuri lorsque Adrian ôta la flèche qui était incrusté dans son armure. Alors, emplit de rage, il chargea à nouveau, ses soldats le suivant de près. Sa première attaque frappa à mort son ennemi. Moi et mes épéistes chargeâmes à notre tour. La fête n'était pas que pour lui, mais pour nous tous. Le chevalier noir et ses troupes pénétrèrent le flanc droit et semèrent la mort dans leur sillage. Je frappais un premier adversaire dans la tête, son crâne fut pourfendu. Maintenant que mon bouclier ne me gênait plus, les coups que je donnais, tenant ma lame des deux mains, pouvaient être plus rapides, et surtout plus puissants et mortels. Une haradrim attaqua alors par derrière. Je me retournai et esquivait de justesse son coup. Je lui coupais alors les jambes et l'achevais une fois qu'il fut au sol. Je vis alors Adrian à , un homme de Rhun derrière lui. Je me précipitais vers lui, donnant des coups d'épaule partout où un ennemi me bloquait le passage. J'arrivais alors derrière l'oriental qui sauta dans ma direction pour esquiver un coup d'Adrian. Je levais mon épée et l'abattis dans le dos du commandant. Il tomba à genou, ne comprenant pas ce qui lui arrivait et s'étala, face contre , son sang se vidant rapidement et il mourut ainsi. Adrian reçut un coup de pied dans la mâchoire. Je voulus allé mais un haradrim arriva. J'esquivais avec peine ses attaques au double sabre, puis je contre-attaquais à la première faille visible. Je réussi à faire voler l'un des ses sabres. J'attrapais alors la deuxième épée qu'il tenait encore dans les mains. Je lui envoyais alors trois coups de poings, puis un coup de la tête si puissant qu'il recula de plusieurs pas. Je l'attrapais alors par le col, le soulevant, et je lui mordis l'épaule. Il émit un grand cri de souffrance, et je lui arrachait alors la tête de son corps. Sa tête était dans ma main, le sang s'égouttant en formant une grosse flaque au sol, la colonne vertébrale se balançant de droite à gauche. Je la lançais sur un haradrim qui hurla de terreur et voulut s'enfuir, mais reçut un coup d'épée d'Antarès qui le décapita. Je me tournais vers Adrian au moment où un << Attention! >> se fit entendre. Il avait un sabre incrusté dans sa cotte et reçut encore une flèche dans le ventre. Le deuxième commandant ennemi l'attaquait. Une deuxième flèche partit. Le cavalier noir arriva alors et le décapita. Les derniers haradrims périrent sous la lame des ourouks. Je tombais à terre et m'assis. Ma lame était recouverte de sang et j'avais une sérieuse entaille sur le bras. Mais je ne pouvais m'empêcher d'arborer un sourire. Ainsi se termina la bataille pour la domination d'Isengard. Trughh me rejoignit et nous restâmes assis.

- Alors capitaine, comment avez-vous trouvé la bataille ?

- Mon ami, j'ai bien cru que nous allions y passer. J'ai retrouvé espoir lorsque j'ai aperçus les renforts qui venaient de l'Est. Je suis bien heureux que nous n'ayons pas fini notre carrière aujourd'hui, car j'ai encore à me perfectionner. Et j'espère un jour pouvoir affronter Adrian en combat singulier et être à la hauteur du défis.

- Au fait, mon compte est à quarante-huit maintenant.

- Tu en devineras jamais, le mien aussi.

Nous rîmes quelques secondes. Je me levais et allait vers Adrian qui venait de finir un entretien avec le chevalier noir. Il se tourna vers moi et je cru quelques secondes, dans l'aube levant, voir là un des Rois d'antan, beau et aimable lors des rencontres, puissants, impénétrable et terrible dans la bataille.

- Vous avez bien combattu l'ami, la victoire est finalement notre. Dit-il avec un sourire.

- Vous avez été brillant, surtout pour un homme. Dis-je en hochant la tête.

Il repartit vers son camp. Alors qu'il s'en allait, je pensais dans ma tête << Puissiez-vous ne jamais trouvé la mort autrement qu'en honneur, car vous êtes bien là l'un des plus grands hommes que j'ai jamais rencontré >>

Je m'en retournai alors vers mon camp. Le restant de mes troupes était venu m'accueillir et hurla alors que j'arrivais. Ils fêtèrent notre victoire. Barrackh était aussi là. Il avait plusieurs flèches encore plantées dans le ventre et une lance dans le bras. J'allais me reposer. Alors que je dormais, une soudaine idée me vint à l'esprit : les nains sont réputés pour être de féroces guerriers, ce sera donc vers ces fières combattants que nous irons combattre. Là-bas, je suis sûr de trouver des combattants assez forts pour m'améliorer et essayer de rivaliser avec Adrian. Le lendemain, je me levais alors que le soleil était à son zénith. J'avais du dormir beaucoup pour retrouver mes forces. Je regardais le résultat du massacre de la veille. Des orcs avaient déjà commencé à jeter les corps dans des fosses pour nourrir les wargs, les trolls ou pour les jeter au feu. Je descendis aux fosses pour voir la défense qu'Adrian avait effectué. Des corps d'ourouks et d'hommes de l'Est, des hallebardes et piques d'Isengard étaient au sol, les passerelles étaient encore glissantes de sang et elles semblaient peu stables. Des trolls avaient du passer dessus et avoir rendu fragiles les cordes qui les retenaient les passerelles aux plafonds des fosses. J'arrivais au sol et entendis un hurlement de douleur. Je m'approchais d'une fosse et vis un warg avec une lance dans la patte arrière droite. Sharcoux s'occupait des autres loups et ne semblait pas vouloir lui venir en aide.

- Eh, pourquoi laisses-tu ce warg périr seul alors qu'il peut être sauvé ?

- Les loups en bonne santé sont prioritaires. Je ne veux pas perdre mon temps avec un warg qui n'est bon qu'à geindre.

J'eus l'impression d'entendre Saroumane lorsqu'il me parlait de Barrackh. Je serrai les dents et regardais à nouveau la créature souffrante. Je reconnus alors le loup sur lequel j'avais chargé avec Antarès lorsqu'Adrian décapita le porte-étendard des hommes de l'Est. Il était plus gros que ceux que Sharcoux nourrissait, la tête plus grande aussi et les pattes bien musclées. Il m'avait sauvé la vie, à moi de sauver la sienne.

- Si il te dérange tant que ça, est-ce que je peux le prendre ? Il me serrait utile pour bien des travaux futures je pense.

- Fais comme tu veux, du temps que je peux retourner à mes wargs sans avoir se ridicule loup pleurant dans les jambes.

Je descendis alors dans la fosse et m'approchais du warg. Il grogna et me montra ses crocs blancs et jaunes en signe d'avertissement. Il n'avait pas confiance en moi apparemment. J'arrivais vers lui et allais à ses pattes arrières. Je cassais la hallebarde et la retirait en faisant attention à ne pas lui faire mal. Il remua un peu ne fit rien de plus. Une fois l'arme retirée, j'allais vers les cadavres jetés aux fosses et j'en sortis un corps d'haradrim. Je le triais jusqu'au warg et le lançais dans son enclos. Il le renifla et, l'attrapant par le coté gauche, il le secoua de droite à gauche avant d'en retirer un énorme morceau. Je repartis vers mon camp et me mis à essuyer mon équipement qui était encore souillé de la bataille d'hier. Je pris un tissu d'haradrim que je trouvais à terre et l'utilisait pour enlevé le sang de mon épée. Mon arc n'avait rien, mais mon armure comportait de nombreux chocs. Il faudrait que je la ramène à l'armurerie pour la réparer. En pensant à l'armurerie, mon bouclier me revint en mémoire. Avant ma prochaine mission, il faudrait que je demande aux ocs de m'en reforger un. Une idée me traversa alors l'esprit. Mes soldats porteront dorénavant le même bouclier que moi, cela leur donnera de la puissance. Truggh entra dans ma tente.

- Je viens au rapport Capitaine: Saroumane nous a redonné tous nos effectifs. Nous sommes prêts à partir en mission.

- Parfait, nous partirons bientôt pour un long voyage, je le sens Trughh.

- Ah bon ? Et où partirons-nous Capitaine ? Nous irons au Sud-Est combattre de nouveaux orientaux ou haradrims ?

- Non Trughh, nous irons à l'Est en effet, mais au c'est au Nord-Est que se situe notre destination. Il y a là-bas des combattants qui méritent qu'on s'intéresse à eux, des adversaires qui nous rendrons plus forts et qui nous amélioreront, mieux que quelconque entrainement. Nous partons pour les Montagnes Grises, le temps est venu pour nous d'affronter des ennemis plus coriaces que ceux que nous avons rencontré jusqu'à maintenant : des nains!

The End

Voilà Ar, tu peux enfin noter Very Happy Et puisqu'on m'a proposé une récompense, je choisirai le warg qui m'a porté lors de mon premier combat dans cette bataille. Il est musclé, gros et puissant. Laughing


Dernière édition par qv3me le Sam 28 Mar - 22:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:32

ok , dans deux jours tu as ta note
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeVen 27 Mar - 22:33

Merci patron! Very Happy
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeSam 28 Mar - 13:47

au moins sa valait le coup d'attendre, perso j'aime beaucoup.


taille: 18.5/20 ( très bien)
orthographe: 9/10 ( de petites fautes mais c'est normal)
action: 18.5/20
histoire: 18/20
note générale: 18.5/20


parfait très bonne mission commune à tous les deux, je vous félicite.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeSam 28 Mar - 14:42

Youpi! ça me fait 4 points pour passer en commandant! Merci Ar Very Happy

Maintenant, je passe officiellement en Grand Guerrier Very Happy
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeSam 28 Mar - 21:05

et tu as le droit à un objet en récompense. objet que tu nomme dans ton texte cela va de soit.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeSam 28 Mar - 22:20

Comme je l'ai dit plus haut : je choisirai le warg qui m'a porté lors de mon premier combat dans cette bataille. Il est musclé, gros et puissant.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeSam 28 Mar - 22:28

oki, pour moi c'est ok, attendons l'accord d'un des modos.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 11:58

Je lirais ca dés que j'aurais un peu de temps,content que tu ai finis par terminer ton texte Very Happy
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 13:21

tu verra que Qv a fais un très bon texte, aussi bien que le tien.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 19:45

Voila,fin de la lecture,la partie dans Orthanc était intéressante et les divers états d'esprits de Teger faciliteront notre futur combat,dommage que quelques fautes d'inatention et de syntaxes gachent un peu le récit mais rien de bien grave et puis avec une telle longueur,ca arrive Wink
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 20:41

C'était pas la peine d'attendre mon accord pour les notes vous savez...
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 20:47

c'étais surtout pour la récompense qu'on voulais ton accord.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitimeDim 29 Mar - 22:18

Merci les gars Smile j'espérais bien ne pas vous décevoir pour ma première mission commune.
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MessageSujet: Re: Mission commune d'Adrian et Teger   Mission commune d'Adrian et Teger - Page 4 Icon_minitime

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