Mission commune elfe

Bien, comme je l'ai posé dans " question divers " je propose une bonne bataille entre elfes, maintenant que je suis inscris. Qu'en pensez vous frères elfes ?

j'ai officiellement annoncé que j'aurais peu de temps pour écrire, donc je suis navré de te dire non, et alego aussi a la GB a faire, enfin on verra ce qu'il en pense mais pour moi c'est pas le bon moment.

Moi je m'arrange pour faire un détour de l'Anorien pendant quelques jours pour ensuite revenir donc ça ira pour moi je m'occuperais du contexte etc.... grâce à toi ar' j'y arriverais

alors bonne chance pour votre mission les gars.

Voilà la mission commune de Noldri et Argetlam :

-Lieu de la bataille : Lisière de Fangorn (les ourouks arriveront par une plaine)

Contexte :
Phase 1 :
Partie 1:
Argetlam est envoyé voir Dame Galadriel afin d'être averti que Théoden a besoin de l'aide des Elfes afin d'arrêter les nombreuses troupes qui sortent d'Isengard, en ces moments, Théoden a besoins que les elfes arrêtent une escorte pour Fangorn qui s'y rendent pour des plans de déforestation. Argetlam va ensuite se rendre en Anorien pour me prévenir car selon Théoden les troupes de Sarouman sont nombreuses et Argetlam avait beosins de renfort.

Partie 2 :
Noldri et Argetlam se rencontrent et Argetlam raconte la mission donné par Dame Galadriel. Noldri et Argetlam partent ensuite pour le Sud de Fangorn.

Partie 3 :
Des éclaireurs wargs vont s'attaquer aux renforts elfes sur le chemin en nous prenant en embuscade. (bataille jusqu'à la tombée de la nuit.)

Phase 2 :
Partie 1 :
En cours de route plusieurs Rohirims vont se joindre aux elfes, qui seront envoyés par Théoden d'Edoras puis reprise du chemin.

Partie 2 :
Monté d'un campement temporaire dans Fangorn, descriptions des plans et répartition des troupes et formations de plusieurs troupes.

Phase 3 :
Partie 1 :
Des éclaireurs ont repéré les ourouks, préparatif et mise en place des troupes.

Partie 2 :
Embuscade sur les ourouks (l'embuscade peut rater, à voir plus tard)

Partie 3 :
Les ourouks gagnent du terrain et commencent à prendre du terrain par la forêt. Argetlam et Noldri abattent quelques ourouks tout en fuyant, puis ils seront sauvés par une charge des rohirims (ils auront pris du retard dans la forêt)

Partie 4:
Salutation et chacun repart (Argetlam en Forêt sylvestre et moi en Anorien (pour la GB) )

Ennemis : -150 ourouks (de simples éclaireurs armé d'épée courte et de petits boucliers et d'armure en cuir)
-20 chevaucheurs de Wargs (bouclier, lances) servis d'éclaireur pour les éclaireurs à partir de la forêt donc ils seront en avance.

Alliés :-15 Rohirims armée de lances et de bouclier.
-Argetlam, 15 archers de Fondcombe, 5 guerriers elfes.
-Noldri, Haldri, 20 cavaliers elfes, 30 guerriers épéistes, 40 archers Noldors. (Les autres resteront en Anorien trop fatigué du voyage.)

Voilà

bonne chance, oreilles-pointues !

Voici le prologue :

Trois jours après notre raid sur les Ourouks, Talor, responsable de la défense de la Forêt Sylvestre m'envoya chercher. Il était le général du camp, et avait bravé la mort de nombreuses fois. Il était capitaine à la guerre de la Dernière Alliance, aux côtés d'Elrond. Le messager rentra dans ma tente. Je discutais avec Tàri de la manière dont il avait tranché la tête d'un Ourouk, et comme toujours, il exagèrait :
- La moitié de la tête s'est envolée ! S'exclama t-il
- Mouais, dis-je en faisant la moue, les trois quarts tant qu'on y est !
Le messager entra et attendit l'autorisation de parler. Comme nous nous étions arrêtés de parler, il prit la parole :
- Le général Talor vous demande tout de suite, annonça t-il
Avant que j'ai pu ouvrir la bouche, Tàri répondit à ma place :
- On arrive, dit-il
Le temps de m'habiller et de m'armer, et j'étais dehors. Le crépuscule tombait, et un groupe de musique jouait une mélopée attirait les libélules. Ces dernières, de toutes les couleurs, se fondaient dans le paysage, de telle manière que ce camp paraissait tout droit sorti d'un rêve. On arrivait à la tente du général, gardé par deux guerriers elfes. Je les saluais, et tandis qu'ils me rendaient mon salut, je pénétrais. Tàri était déjà là. Le général étudiait une carte qui indiquait les positions Orques à lisière de Fangorn. Je toussotais pour attirer son attention. Il releva la tête, et souria à ma vue.
- Votre raid sur les Ourouk est un succès total, Argetlam ! Toutes mes félicitations, et à vous aussi Tàri ! Dit-il tout joyeux.
- Merci général, répondîmes en cœur, pourquoi vous nous avez demandés ?
- Droit au but ! S'exclama Talor, Bien, votre numéro de trouble-fêtes a attiré l'attention de Saroumane, et il a décidé de passer à l'offensive.
- Ce n'est pas déjà fait ? Demandai-je
- Non. Ce groupe d'Ourouk n'est qu'une maille de filet. Imaginez ce groupe, mais dix fois plus important, et dix fois plus nombreux ! Je reprends, Saroumane à envoyé des hordes d'Ourouk dans les plaines du Rohan, et notamment à la lisière de Fangorn.
- On doit les éliminer ? demanda Tàri
- Oui. Mais vous ne serez pas seuls. En plus de vos soldats, un autre régiment d'elfes se joindra à vous. Je n'en sais pas plus.
- Et...qui va nous informer du reste ? Demanda Tàri
- Dame Galadriel, répondit calmement Talor
J'explosais de rire. Je pouvais pas croire que Dame Galadriel nous enverrait nous, des sergents se battre contre des régiments d'Ourouk.
- Dame Galadriel ? Elle est ici ? Demandais-je tout en me retenant de pouffer de rire
- Non, mais vous irez la voir en Lorien, répondit Talor, d'ailleurs vous partez dans cinq minutes.
Une fois sorti de la tente, Tàri me reprocha d'avoir éclaté de rire. Je lui expliquais que c'était pas des sergents qui allaient mettre en déroute des régiments d'Ourouks. Il répliqua que nous allions avoir des renforts, et lui dit en explosant de rire qu'il y aurait plus de tête à « décoller ». Il partit se préparer en renfrognant sa colère. Il devait être pas loin de une heure, et nous avions passé le gué de la Rivière noire. Nous nous appétions à franchir les portes de la Forêt quand nous croisâmes un loup sauvage. Levant le bras, mes soldats s'arrêtèrent net, et retinrent leur souffle. Le loup se mit à grogner et à montrer les crocs. Connaissant les loups sauvages, ils étaient sensibles aux paroles elfiques. Alors, je m'approchais doucement, sans savoir ce que le futur me réserverait, et parla en elfique :
- àR Ti Stèngo àmisöte ! Ce qui signifie «  nous venons en paix ! »
Le loup avait apparemment compris, car ses yeux devinrent doux, et transmirent un flux de tristesse, vécu des horreurs du monde d'aujourd'hui.

Après cela, nous obliquâmes vers le Sud, après avoir traversé une seconde fois la Rivière Noire. Nous courrions vite et à découvert, car à l'Ouest se dessinait les Mines de la Moria, et, en conséquent, la cité des Gobelins. Nous fîmes une pause aux gués de l'Aneien, où nous nous reposèrent une bonne heure. Après trois jours de course, nous arrivâmes en vue de la Lorien, puissante forêt ancienne. Nous pénétrâmes alors dans la profondeur des arbres, et nous marchâmes durant une heure avant de trouver la Cité de Galadriel, Caras Galadhon. Un elfe nous indiqua un logement, et nous permit de nous laver pour être présentable devant Dame Galadriel. Après nous être lavé, changé, et recouvert de parfums, chacun saisit ses armes et les portât de manière la plus digne. Enfin, nous arrivâmes en vue du palais d'Argent. Le palais se divisait en plusieurs parties, la première – où nous étions- se dessinait un vaste hall, et par un escalier central par lequel le trône des Rois siègait. De part et d'autres de ce trône, un dédale de couloirs qui devait mener aux suites royale, sans doute. Mon exploration fut interrompu, par un bruit sourd devant moi : Dame Galadriel descendait, accompagné de Celeborn, Seigneur de la Lorien. Je m'agenouillais humblement. Cet instant sembla durer une éternité. J'apercevais de biais Dame Galadriel se diriger vers moi. Alors, elle me parla :
- Debout, Argetlam Fëanor, Fils de Maglor et Aracáno ! Annoncia t-elle
Je me relevais, et osait la regarder dans les yeux. Elle fit de même pour tous les autres elfes. Au majeur droit, elle portait Nenya, l'Anneau de Diamant, offert par le Seigneur des Ténèbres. Alors, après moultes coutumes et courtoisies, échangé des paroles avec Celeborn sur ma mère et mon père, nous passâmes à l'objet de ma venue:
- Saroumane envoie d'Isengard, des régiments frais d'Ourouks. Déjà là-bas, nous possèdons de forces elfiques, insuffisantes malheureusement. Votre objectif est simple : vous devez éradiquer, de quelconque manière ces hordes Ourouks. Pour cela, vous serez les renforts de troupes sur le terrain. Vous irez en Anorien les rejoindre, vous y trouverez leur Capitaine, puis, ensemble, vous obliquerez vers le Sud-Ouest, vers Fangorn. Théoden est le commanditaire de cette opération, pour cela, il enverra des Rohirrims vous prêter main-forte pendant le combat.
- Bien, ma Reine, répondis-je, et...ces elfes, connaissons-nous leur nombre ?
- Pas exactement, avoua t-elle, mais vous n'aurez pas de mal, avec l'appui de la Forêt de Fangorn.

Et avant que je puisse comprendre, elle m'assigna un clin d'œil avant de remonter vers sa suite avec Celeborn. Ce soir-là, nous jouèrent de la flûte et tout autre instruments avec les elfes sympathiques de la Lorien. En allant me coucher, je repensais à cette dernière chose : demain, nous partirons.

PHASE 1 ARGETLAM

Je me leva de moi-même. Dans la tente, tout le monde était encore endormi. Il devait être tôt. Je m'étirais en sortant de la tente. L'aube approchait, et un soleil rouge se voilait à l'horizon, telle une tête sanguinolente. J'étais vêtu d'un modeste pagne, et d'une robe elfique offerte la veille. Je déçidais de laisser dormir mes hommes et me dirigeais vers les cuisines. En chemin, je croisa quelques elfes, et de nombreux mages à l'entraînement. Pour aller aux cuisines, le passage par les champs d'entraînement était inévitable. Ce qu'on appelait « champs d'entraînement » n'était qu'en fait une vaste cour. Là, de nombreux épéistes confirmés s'entraînaient déjà, accompagnés de leurs montures ou, parfois, d'archers. Ils me saluèrent avec respect. Je m'engouffrais dans la cuisine, tandis qu'une bourrasque de fruits chaud me réconforta de l'air frais de Caras Galadhon. Il y avait quelques matinaux, mais aussi Celeborn qui discutait avec un capitaine archer. J'allais me chercher des fruits chauds et du lembas et c'est alors qu'il m'aborda-Celeborn-
- Oyé Argetlam, quel bon vent t'amène en une heure si matinale ? Me demanda t-il joyeusement
- Seigneur, dis-je en m'inclinant, je viens faire des forces, avant de partir avec mes hommes. Eux, dorment encore. Je les laisserais donc dormir un peu plus.
- Tu feras un bon chef de guerre Argetlam, répondit-il, je te souhaite bonne chance, ainsi que Dame Galadriel.
- Seigneur...répondis-je en m'inclinant
Je repartis vers la table avec mon déjeuner. Tout en mangeant, je me ravissais à l'idée de re-tester mes compétences de bretteur, et encore plus, aux côtés d'autres elfes. Il était maintenant six heures, et par petit groupe de trois ou quatre, mes hommes prirent place à mes côtés. Après avoir déjeuné, nous levèrent le campement, et nous nous préparâmes pour le départ. Aracáno, luisante comme au premier jour, attendait ses épreuves quotidiennes et mon arc d'ébène, fabriqué dans un Kharlan, l'arbre le plus grand de la du Milieu. En terre Sylvestre, on en voit rarement. Ici, c'est l'arbre qui est utilisé pour toutes les maisons. Mes flèches, renouvelées la veille, portaient au bout de chaque pointe, une plume d'oiseau des mers du Sud. Cadeau de Galadriel. Mon habituelle armure d'argent, mes bottes et mes gants, eux aussi d'argent avaient été graissés et brillait, telle une nouvelle armure. Mes guerriers constataient que les entailles perçues la veille, avaient été comblées par les forgerons de Caras Galadhon. Mes archers aussi, constatèrent, la solidité de leurs arcs, et leurs flèches avaient été renouvelées. Nous nous mîmes à trotter, puis avant de franchir le seuil de la Cité d'Or, me retournait et apercevait, du haut de son balcon, la main levée de Galadriel, en signe d'adieu.

Il était maintenant dix heures du matin, et nous avions faits une centaine de kilomètres, suivant le cours de l'Anduin. Galadriel nous avait offert des pirogues, pour atteindre plus vite notre but. Aux chutes de Rauros, nous mettrons pied à terre, puis nous obliquerons vers le Sud, avant de traverser le redoutable fleuve Entalluve, la Rivière des Ents. Puis, suivant le cours des montagnes blanches, nous arriverons en Anorien, et tout cela, en moins d'une semaine, normalement. Nous étions six pirogues. Pour une pirogue, quatre archers et un guerrier, et nous nous serrâmes pour faire une place à Tàri. Nous traversions le champ du Celebrant, grande plaine verdoyante et à découverte. A l'ouest, la forêt de Fangorn, notre futur champ de bataille se dessinait, imposante. A l'est, Dol Guldur se montrait impénétrable. Devant nous, le fleuve suivait son cours. On ne ramait plus, on laissait le fleuve nous guidait. Le Limeclair se jetait dans l'Anduin, créant un courant plus fort. Aux alentours de midi, nous fîmes une halte au bord du plateau. L'est Emnet, cette plaine avait été souillée par le passage de toutes créatures maléfiques que le monde ait connu. Orques, Ourouks, Trolls et ouargues avait pourri cette terre, autrefois verte et claire. Nous mangeâmes les mets que les cuisiniers de Galadriel nous avait préparés : fruits chaud et froid, lembas, eau et eau-de-vie parfumée. Tout en mangeant, diverses questions furent posées sur nos frères que nous allions aider. Le déjeuner se passa normalement, puis nous reprîmes la route. Alors que nous traversions Les Méandres Sud, un spectacle s'offrit à nos yeux, à l'est : Un village, du moins ce qu'il en restait, avait été incendié, les villageois massacrés, et les vivres pillés. Nous mîmes pied à terre pour aller explorer les ruines de ce village. Ce dernier se composait d'une allée principale, avec les magasins, puis d'autres ruelles vrillaient vers toutes les directions. Des têtes au bout des piques, des nourrissons abattus, des cadavres brûlés, les maisons détruites. Mon attention se porta sur un casque, non loin d'ici :
- hé ! Interpelai-je mes hommes, regardez.
- Quoi ? Demanda Tàri, qu'est ce que...
Il s'arrêta de respirer, un casque d'Haradrim était posé sur le sol, à quelques pas d'un cadavre.
- Les porcs...murmura Filäe
Nous partîmes à la recherche de survivants dans le village. Je rentrais dans ce qui semblait ressembler à une taverne, et soudain un coup de poing surpuissant m'envoya valser sur une table. Suffoquant, je me relevais et fit face à mon adversaire : un Haradrim déserteur. Avec un petit rire sadique, il dégaina sa lame et attaqua mon flanc droit. J'esquivais, et dégaina Aracàno et me mit en position défensive. L'Oriental, surpris, prit sa lame à deux mains et tenta de l'abattre sur ma tête. Trop lent. Je saisis ses mains, parant l'attaque. Baissant mes mains, il me donna un coup de pied dans le flanc gauche, me faisant perdre l'équilibre, et il retenta de me fendre le crâne. Faisant un pas à droite et retournant Aracàno, je l'enfonçais dans le ventre de l'Oriental et refit face à mon adversaire. Se crispant de douleur, il relâcha sa prise sur son arme, et s'effondra par terre. Essuyant Aracàno, je la remis sur mon dos. J'observais mon assaillant : il était grand, peut-être deux mètres, et il était solidement bâti. Il portait une lame courte, et une faible armure. Tàri, alerté par les bruits, accouru dans la taverne, mais ne sembla pas surpris du cadavre. Il murmura juste :
- Ses copains viennent le chercher...
- Comment ? Demandai-je surpris
Mais ce n'est pas lui qui me répondit : au loin, un cor étranger sonna. Mon coeur se mit à battre plus fort. Les Haradrims étaient plus forts et plus malins que des Ourouks. On sortit ensemble de la taverne, un des guerriers détacha de son dos l'étendard de la Forêt Sylvestre et dégaina sa lame. Des maisons pouvaient servir d'abris. On pouvait tendre une embuscade.
- Certaines maisons sont en état de supporter des archers, dis-je, quatre archers par maison dans ce rayon !
Tout en désignant les maisons, je donnais mes instructions aux guerriers. Ils planteront la bannière Elfe au milieu de la rue, au milieu de nos archers postés dans les hauteurs...
Ensuite, ils huileront le tour de la bannière, sans en verser sur la bannière, et une fois les Orientaux dans le cercle, nous allumerons le cercle. Tout le monde se mit en place, Tàri se plaça dans la taverne, prêt à les prendre à revers. Nous étions cachés, j'étais avec Filäe, et deux autres archers. La troupe d'Haradrims et d'Orientaux pénétra dans le village. Ils étaient une quinzaine, et ils avaient un cavalier avec eux, sûrement leur chef. Ce dernier approcha de la bannière Elfe et cracha à son piquier. Il parla alors à ce qui pourrait paraître son second. Aussitôt, six Orientaux s'approchèrent du Drapeau. Alors , tout en encochant ma flèche, je gardais les yeux rivés sur le cercle d'huile. Filäe enflamma la flèche. Je relâchais la corde. La flèche enflammée siffla à travers le vent et se ficha sur le sable, dans l'huile. Le résultat fut immédiat : l'huile s'embrasa, prenant aux pièges les six Haradrims. Le second arma son arbalète, mais aussitôt, un autre groupe d'archer décocha sa volée de flèches, faisant deux victimes, dont le second. Paniqués, les six Orientaux pris au piège dans le cercle de feu, tentèrent de sauter par-dessus les flammes. Mais il en furent dissuadés par une flèche de Filäe, qui se ficha dans le cou du plus grand d'entre eux. Alors, les restants des Orientaux s'enfuirent avec leur chef, laissant à leur sort les prisonniers. C'est à ce moment que Tàri et ses guerriers sortirent de la taverne. Il saisit sa lance, et l'envoya dans le cœur de leur chef, qui fût envoyé valser hors de son cheval. Surpris, les Haradrims chargèrent. Mais les guerriers se mirent en formation de lignes, et firent tournoyer leurs lames, tranchant les têtes des derniers fuyards. Le feu apaisé, les derniers s'enfuirent en courant, mais se stoppèrent à la vue de nos archers, descendus depuis là. Encerclés, ils ne se décidèrent pas à charger, ou à abandonner. Ils déposèrent leurs armes, mais l'un d'entre eux feinta et chargea. Toute la ligne décocha, tuant le chargeur mais aussi ceux qui s'étaient rendus, malheureusement. Empilant les Orientaux, ils les brulèrent, et relâchèrent le cheval du chef. Ils revinrent à la rive, et reprirent leur chemin. Le combat avait duré une heure et demie, retardant notre arrivée aux chutes de Rauros, où passerions la nuit.

La suite du voyage se déroula normalement. En levant leur camp pour la nuit, ils admirèrent les statues des Rois, stoppant le passage aux étrangers du Gondor. Filäe et moi sommes partis chercher du bois pour le feu, tandis que Tàri levait les tentes avec les autres elfes. Je m'étais lié avec eux, particulièrement Filäe, qui m'avait déjà sauvé une fois. Notre expérience était la même, mais Tàri avait cents ans de plus que moi, pas des moindres différences. « Ça fait beaucoup de bougies sur le gâteau » lui avais-je dit, «  mais plus de cadeaux » m'avait-il répondu avec un sourire. Nous revînmes au camp, les bras chargés de bois pour le feu. Le soir, nous nous fîmes des blagues sur les nains, sans que j'en prenne part.
- Hé les gars ! Interpela un archer, quelle est la différence entre un elfe et un nain ?
Et un autre répondit :
- 1m70 environ ! S'exclama un autre
Et ils explosèrent tous de rire, puis celui qui avait répondu en proposa une autre :
- Règle du cache-cache nain ? Demanda t-il
- Pas plus de cents derrière une souche d'arbre !
Et ils explosèrent tous de rire. Je ne pus m'empêcher de pouffer : c'était bien trouvé !
Après quelques musiques, nous nous endormîmes, à la chaleur du feu. Le lendemain matin, nous abandonnèrent les pirogues, et nous nous enfonçâmes dans la forêt touffue de Sarn Gebir. Après deux heures de courses à travers les plaines, nous arrivâmes en vue de l'Entalluve. Après l'avoir franchi, nous fîmes une pause. Il était trois heures de l'après-midi. Nous prîmes la décision de ne pas s'arrêter jusqu'au campement elfe, car nous pourrons nous reposer là-bas. Nous courrions sur l'Eastfold, apercevant de loin des Ouargues blanches des montagnes. Nous traversâmes le Glanbir, et suivirent le cours de la Grande Route de l'Ouest. Enfin, à une heure du matin, le camp elfe était en vue. Nous étions arrivés en quatre jours.

Ouais continue comme ça t bon mais si tu continues à te foutre de la gueule de mon peuple... jferais une bonne descente dans le nord et j'ai une idée et un pk...

Une descente dans le nord ?

c'est la deuxième fois qu'il fait ça, alors je l'ai pas fait remarqué...

Que pensez vous de ma phase 1 ?

très bien pour une première, cependant je pense qu'a ton stade tu n'aurais pas du en faire une, normalement on attend au moins plusieurs missions avant de faire une commune

Oui je comprends