mission commune des elfes

bonjour a tous alors les elfes font une mission commune que voici


Lieu : fangorn



scénario:

phase 1 :

partie 1 :chacun recois un message lui disant d'intercepter une armée ourouk dans fangorn ( on ne sait pas sa destination mais elle pourrait attaquer un royaume sylvestre) a première vu il y aura des alliés. shami si trouve et reçois lui aussi un message.

partie 2: mon second et shami se trouve puis elio et enfin alego ( combat avec trente ourouks)

partie 3 : on compte les soldats et les capitaines se répartissent les troupes

phase2:
partie1 les ourouks viennent d'être vu, c'est les préparatif de l'embuscade.

partie 2 : embuscade

partie 3: le combat est féroce et les elfes commencent a perdre du terrain

phase 3 :
partie 1 : moi et mes troupes restants arrivent et aident les derniers elfes

partie 2: victoire sur les ourouks

partie 3: chacun repart chez lui


ennemis: 275 ourouks+25 berseks


210 elfes ( 25 cavaliers+ 40 archer+ 70 guerriers+ 25 piquiers + 50 elfes élites ( 40 archers/épéistes + 10 épéistes) + 4 jeunes ents

alégo : 2 ents + 10 épéistes d’élites + 20 cavaliers + 50 guerriers + 30 archers noldor+ 20 piquiers.

Shami : 10 guerrier + 5 cavaliers + 5 archers.

Ellenden : 39 noldor ( élite)+ avalon + 2 jeunes ents.

Elio : 10 épéistes + 5 piquiers + 5 archers


voila le scénario est vite fait mais bon.

Ellenden se trouvait en lorien, encore dans ce beau et calme pays ou tout ce qui se trouve à l’extérieur semble avoir disparu, les elfes sont heureux, ne craignent pas l’ennemi alors qu’il est tout proche, qu’il se rapproche et qu’il devient plus menaçant envers les elfes, plus qu’il ne l’a jamais été depuis bien des siècles. Le chef noldor se trouvait avec sa femme, et il voyait son fils grandir de plus en plus, il venait d’avoir deux mois et il se portait bien. Sa fille et le jeune elfe s’étaient marié, et voulait avoir un enfant, Ellenden n’était pas contre, cependant il ferait plus vieux désormais. Les vétérans noldors étaient eux aussi avec leurs familles, comme toujours ils n’en oubliaient pas le combat pour autant, et deux fois par semaine, ils s’entraînaient, jusqu’au jours ou un messager arriva, de la par du grand roi Celeborn :

« Ellenden, vous êtes mandés pour défendre les royaumes elfes, une armée ourouk-haï va nous attaquer, intercepter-la.
_ Je réunis mes elfes et nous partons.
_Vous aurez des alliés la-bas, chacun défendant un royaume, les ourouks doivent traverser fangorn.
_Merci et au-revoir. »

Ellenden était encore déçu, il devait toujours partir mais c’était son devoir, les vétérans étaient à cotés de lui et ils appelèrent tous les nouveaux, qui en apprenant la nouvelle allèrent préparer leurs armes. Les elfes furent prêts au bout de trois heures, les deux ents eux aussi étaient la, seul le capitaine , son second et les cinq vétérans manquaient.
Ils abandonnèrent leurs familles et ils rejoignirent leurs amis. Ils se mirent en marche très rapidement, pour ne pas perdre de temps. Ellenden repensa à ce que lui avait dit le messager, pourquoi les ourouks passe t-il par fangorn, ils sont fous. En tous cas ils devraient être nombreux. Les elfes parcoururent rapidement une centaine de kilomètres lorsque le crépuscule tomba. Avalon parla à son chef :

« Nous devrions envoyer des éclaireurs, on ne sait jamais.
_Tu veux t’en charger ?
_Oui, avec des elfes car tout seul si je rencontrer des ennemis, personne ne pourra vous le dire.
_Prends dix jeunes recrues, elles te suivront sans poser de question et prend un ent, avec lui, les arbres ne vous feront rien.
_D’accord capitaine. »

Avalon se prépara, Ellenden appela les noldors et leurs expliqua la chose, l’ent ne dit rien et attendit le second, certains noldors furent déçues mais personne ne parla et tous obéirent et quand Avalon sortit, ce fut dix elfes armés et un ent qui se trouvaient devant lui. Ils partirent sur-le-champ, sans plus attendre. En direction du sud, l’on vit les armures elfes qui brillaient puis elles disparurent, comme le grand ent.

Les autres elfes dormirent en sûreté. Ils se remirent en marche dès l’aube, Avalon avait déjà presque dix heures d’avance et on était qu’a un quart du voyage. Les noldors avancèrent lentement, se préparant à un assaut gobelins ou orcs, mais rien n’arriva, ils purent profiter du beau paysage, et au moment ou les elfes arrivaient a proximité de fangorn, Avalon arriva à la lisière sud, seul en attendant les autres. Ellenden décida d’entraîner ses elfes, il fit mettre des cibles de bois, avec un fruit au milieu, le but était de tirer dedans. Les noldors rigolèrent en voyant cela, rien de plus simple. Mais le chef expliqua une chose :

« Voici une cible, vous devez vous mettre au rocher la bas, qui se trouve à vingt-cinq mètres, puis vous allez devoir bouger, sautez et tout autres en continuant à tirer sur les cibles. Je vais commencer à le faire, puis les anciens et enfin vous les nouveaux, on va voir si c’est si facile. »

Ellenden alla au rocher, puis prit une flèche, les cibles se trouvaient très loin, mais pas pour un elfe, l’eldar avait fait placer des obstacles tout autour des cibles, et il tira, la flèche se planta en plein milieu évitant des plaques de bois, des branches et des petits bouts de rocs. Puis il commença a tourner autour, il courut pendant deux minutes, sautant par-dessus les rochers, faisant des roulades pour éviter des branches tout en tirant en même temps, a la fin il n’avait louper que trois flèches sur les quinze tirer, elles c’étaient plantées sur les extrémités de la cible. Pas assez précis donc, même le chef elfe n’y arrivait pas totalement. Puis ce fut au tour des vétérans, eux qui avaient combattu dans des dizaines de batailles. Ils firent donc l’entraînement et ils loupaient tous entrent quatre flèches et sept flèches, ce qui était beaucoup trop a leur goût. Les nouveaux essayèrent, et la, se fut une catastrophe, ils loupèrent les trois-quartes de leur tir, et les anciens se moquèrent d’eux.

« Alors vous qui rigoliez, fit Ellenden , cet entraînement a été fait par Avalon, c’est le seul a ce jour qui l’es met tous au centre, et c’est pour cela que tous le monde le respecte, il nous as tous aidez a nous améliorer, même pour moi, même si a l’épée je suis le plus fort.
_Chef si on faisait un concourt ?
_Pas aujourd’hui, on a une bataille, mais je vous jure que dès qu’elle sera fini, on le fera. »

Les noldors firent un petit camp, et ils les jeunes se reposèrent, tandis que les vétérans et le chef eurent une discussion :

« Comment pouvez vous promettre un concourt alors que pas la moitié d’entre eux ne survivront ?
_Je sais, mais plus de la moitié restera en vie, j’espère, et je leur ai dit cela pour ne pas les démoraliser, imaginer vous si j’avais dit que l’on avait perdu d’avance.
_Certes, cependant il ne faut pas leur donner de faux espoir, en a vécu assez de combat pour le savoir.
_Justement, on doit les entraîner encore un peu avant de rejoindre ce cher Avalon, car si on arrive trop tard je pense qu’il serra le seul encore debout.
_Nous sommes d’accord, mais on a des alliés a première vue, alors j’espère qu’ils seront fiable.
_Des elfes seront toujours fiable mon ami, fit Ellenden, maintenant a demain, on a une longue route. »

Les elfes dormirent donc, et au lendemain matin, ils s’entraînèrent, et non ne continuèrent leur chemin, cette fois-ci c’était a l’épée que les elfes allaient les entraînés, et a rien d’autres.
Les vétérans prirent des épées en bois puis formèrent la ligne entre deux rochers, e qui ne pouvaient laisser passer que dix ennemis.

« Voici notre ligne, fit Ellenden, impénétrable, qui doit en aucun cas tomber avant que les autres noldors de derrière a l’arc est dégainés. Alors vous les nouveaux vous allez nous attaquez, des épées de bois on été mise a votre disposition, vous allez aussi porter ces gros morceaux de bois au niveau du corps, je serais l’archer et quand une de mes flèches toucheras votre torse alors vous serez morts ! Est-ce bien clair !
_Oui ! Chef ! »

Les vingt-quatre nouveau prirent les épées et mirent leurs protection, il savait qu’Ellenden n’allait pas les louper. Pour le chef prit son arc, son carquois et une épée en bois et se plaça donc derrière la ligne des vétérans.

« Chargez ! »

Les nouveaux attaquèrent, Ellenden décocha une flèche, touchant un noldor trop découvert, puis une autre et encore deux autres avant que les premiers ennemis improvisés arrivèrent devant eux. Les anciens contrèrent les attaques ennemis, puis ils contre attaquèrent, ils tuèrent treize jeunes avant de charger, le chef a l’épée les suivit, ils se mirent en cercle et attendirent les ennemis qui s’éternisaient, mais qui chargèrent quand même. Ellenden dut éviter l’attaque de deux jeunes novices, qui voulurent lui donner un coup au niveau de la poitrine et des cottes, Ellenden contra l’attaque du premier puis fit une roulade entre les deux soldats avant de se retourner et de les frapper tous les deux en un seul coup au ventre, ils lâchèrent leurs armes, puisque logiquement ils étaient morts. Et un dernier novice arriva provoquant le chef des eldars au combat qui le mit à terre en moins de quelques secondes.
Les autres vétérans avaient eu aussi éliminer tous leurs adversaires, sans aucunes victimes.

« Alors c’est nos soldats, fit un vétérans, et bien on est mal, on a eu que des blessé au bras et encore, imaginez si c’étaient des ennemis a notre place et non des noldors.
_Il a raison, fit un autre, croyez vous que nous combattons comme si vous étiez des novices ? Bien sur que non, on se bat comme si des hommes du mal nous attaquaient, faites de même. »

Ellenden n’ajouta rien et demanda aux elfes de recommencer, ce qu’ils firent , pendant une journée ils s’étaient entraînés durement et a la fin , grâce a l’avantage numérique des nouveaux ils réussirent a vaincre les vétérans et le capitaine.

« Bien , très bien, cependant on a plus le temps de s’entraîner, reposez vous et demain on repart très vite. »

Les elfes donc, allèrent dans leurs tentes et dormirent pour la plupart très bien, mais l’ent réveilla Ellenden, il entendait d’autres ents, qui se parlaient entre eux, les alliés c’étaient rencontrez et le combat venait de commencer, et les pertes étaient énormes, si on ne les aidait pas, ils seraient tous morts. Alors Ellenden rassura l’ent et dormit, puis le lendemain matin il partit suivit de ses elfes et se dépêchèrent, et quand ils arrivèrent après un jour de marche, ils durent en effets se battre.

Mais au moment ou je vous parle, Ellenden est avec les derniers survivants, les capitaines alliés et son second qui voulait savoir pourquoi son chef était arrivé plusieurs jours en retard.

A gauche d’Avalon se trouvait un elfe nommé Eliomir, un grand blond assez carré, qui avait une blessure au bras gauche. Cet elfe ne parla pas beaucoup, a part lorsque la bataille fut fini, et la, il cria contre Ellenden qui le calma.
A droite d’Ellenden se trouvait un autre elfe blond, qui portait une petite couronne et qui avait eu une éraflure lors des combats, et lui aussi était un peu en colère lorsque le combat fut terminé.
Enfin en face du capitaine se trouvait un elfe bien plus imposant que les autres, muni d’un arc, et d’une cotte de maille ainsi d’une épée, il fit de grand ravage aux ennemis, C’est lui qui apparemment aurait du tous les commander. Il s’appelait Noldri, Ellenden avait du respect pour lui, et c’était réciproque, les troupes du noldor avaient sauvé les dernières unités présentes, et pour cela il fut remercié,
Cependant seul un des quatre ents présent, et celui-ci était commander par Noldri, un point pour lequel Ellenden avait du profond respect pour le grand elfe.
Et enfin a droite de Noldri se trouvait son second nommé Haldri celui-ci ressemblait un peu a Haldir mais il était en tout point différent, beaucoup moins forts mais il devait quand même être assez puissant pour que des hauts-elfes le respectent, eux qui comme les noldors étaient la pour se battre contre les forces des ténèbres qui avaient briser les rêves de leur race et qui ne suivait que les puissants guerriers.

Mais Ellenden aussi avait des questions a posé, qu’est-ce qui c’était passé, pourquoi les elfes avait-il eu autant de pertes et pourquoi les ennemis étaient encore très nombreux lors de son arrivés. Avalon s’apprêta à tout lui dire.

« Alors, le jour ou moi et les novices avons du partir. »
Cet expression parut destabiliser les autres elfes, eux qui ne jugaient leurs elfes mais ils laissèrent le second continuer.
« Nous avons marcher pendant une journée avant d’arriver devant Fangorn, l’ent parut heureux , et nous invita a rentrer dans cette forêt mystérieuse.
_Oui, moi et les autres l’avons trouvé mystérieuse nous aussi, fit Ellenden, en coupant la parole, excuse moi, vas-y reprend.
_Bon, alors nous nous sommes aventurer dedans, les arbres étaient très bizarre, on croirait qu’ il bougeait, mais après tout il bougeait et on le savait, puisque les ents viennent de cet endroit, et nous avons donc marcher longuement, pendant plusieurs heures et sans l’ent jamais nous n’aurions pu nous rendre au sud de la forêt, quand nous y sommes arrivés, nous avons vu d’immenses plaines se profiler devant nous, de grandes herbes , et au loin, très loin nous virent déjà des ennemis, trente éclaireurs ourouks arrivèrent vers fangorn, et nous étions seul. Alors nous avons espérer que vous arrivés dans quelques heures, puisque les ennemis étaient a plus de huit de marche, et nous avons attendu armes a la main et l’ent a coté des arbres. Puis l’on entendit un bruit venant de la forêt, là nous nous retournâmes et virent Hindreäl et ses elfes, au nombre de vingt, cinq cavaliers, cinq archers et dix épéistes, très furtifs. »

Avalon raconta leur présentation :
« Bonjour amis elfes, !
_Bonjour a vous, que venez vous faire dans Fangorn ? Demanda Hindreäl.
_On nous as appeler pour vaincre une armée ourouk-haï qui viendrait par ici. Je m’appelle Avalon et chef de ce contingent et vous ?
_ Je m’appelle Hindraël , mais alors c’est vous les renforts ?
_En partie, un autre ent et trente des nôtres sont a quelques jours d’ici.
_Alors je crois qu’on es finis. Si vous êtes les seul renfort nous sommes tous morts, les ennemis seront plus d’une centaine.
_E alors, on a vaincu bien plus.
_Je n’y crois pas. Normalement il devrais y avoir plus d’alliés.
_Tant pis, on ce débrouilleras seul. »

Le sergent était perplexe mais ne dit rien, Avalon lui aussi était déçu, vingt elfes inexpérimentés, c’est ce qu’on appelle du renforts ? Et bien la mort serait peut-être la seule chose qu’il pourrait gagner avec cela. Les elfes se dirigèrent vers une petit endroit de la forêt, sans arbres autour, ils discutèrent longtemps les uns et les autres, et plusieurs soldats du sergent étaient déjà partis, voir si il y avait d’autres alliés ou si Ellenden était arrivés. Ils attendirent longtemps avant de voir arrivés un autre sergent elfe, encore un… Avec encore vingt inexpérimentés pire que les novices. Avalon salua l’elfe qui lui répondit, disant son nom et après cela plus aucune phrase de lui avant bien longtemps. Il s’appelait Eliomir, il commandait dix épéistes , cinq piquiers et cinq archers , l’autre lui commandait lui aussi dix épéistes et cinq archer mais avait cinq cavaliers. Ce qui nous faisait un total de vingt épéistes , dix archers et cinq cavaliers inexpérimenté plus les dix noldors et l’ent. Hindraël sembla content, des renforts , enfin, il fit une remarque qui irrita Avalon :

« Vous voyez, déjà vingt elfes de plus, nous sommes cinquante. Combien d’elfes votre chef amène-t-il ?
_Lui même plus vingt-neuf noldors.
_C’est tout ? Il a presque autant de soldats que moi, il ne doit pas être très élevé hiérarchiquement ?
_Il est capitaine et les dix soldats que vous voyez valent bien tous les vôtres ! »

Le jeune elfe ne répondit pas et les novices furent heureux de la réponse d’Avalon et cela remonta leur moral, il savait que leur chef avait confiance en eux. Et ce fut la première fois que Eliomir reparla, calmement il fit comprendre au noldor que ses troupes le suivraient, mais que si elles étaient encore mal jugée, il s’en n’irait.
Les elfes continuèrent leur discussion, maintenant tous savais d’où venais l’autre , Eliomir de Fondcombre, Hindraël d’ici même et ils apprirent qu’Avalon venait de la lorien. Ils allèrent se coucher quand Avalon se rappela des éclaireurs, il fit passer le mot aux autres capitaines qui le suivirent devant la partie sud de la forêt, les noldors tous prêts et l’ent a coté, juste derrière des buissons attendant leurs ennemis. Les autres elfes eux venaient tous d’arriver, armes a la main, caché dans la forêt, ils attendaient eux aussi les ourouks. Tous les archers prirent leurs elfes , y compris les noldors.

«Noldors, montrer leur ce que signifie se battre !’

Les noldors crièrent et attendaient leurs ennemis, qui arrivèrent, des éclaireurs tous ce qu’il y a de plus banal, sans armure armés seulement de grandes épées carré et d’arc. Ils s’arrêtèrent devant les arbres et le chef parla :

« Nous devons rentrez la dedans , les orcs en ont peur mais pas les ourouk-haï ! »

Ses paroles eurent un effet immédiat sur les ourouk-haï, ils se sentaient infiniment puissant et lorsque le chef se retourna il put voir les noldors sortirent, Avalon tira, la flèche alla se planter en plein milieu de la tête du monstre de l’Isengard et les autres noldors tirèrent eux aussi, tuant sept éclaireurs.

« Regardez, des elfes, mangeons les ! »

Les ennemis chargèrent, ils se prirent rapidement une deuxième volée qui leur fit huit pertes , ce qui emmena leurs effectifs a descendre a quatorze. Les elfes de Fondcombre et de Fangorn attaquèrent eux aussi, une volée de dix flèches atteint les ourouks, ne leur faisant que trois pertes. Et les cinq cavaliers chargèrent, suivit des vingt épéistes. Leur charge ne fit que cinq morts, mais toutes les créatures de Saroumane avaient été mise par terre et les épéistes ne durent que les abattre. Leur sang noir salit le sol du Rohan et les jeunes elfes crièrent de joie alors que pour Avalon ce n’était rien, perdre trente ourouks pour une armée, baliverne, il sait très bien que lors d’un assaut ce ne sont pas les éclaireurs qui importent mais les grands berserkers ou les ourouks en armures. Il craint donc le pire. Les elfes repartirent dans la forêt mais cachèrent les ourouk-haï puisque si l’ennemi savait qu’ils avaient été abattus, ce serait la fin.
Ils retournèrent donc au camp improvisé lorsqu’un grand elfe arriva, avec troupe immense.

« Bonjour a tous, mon nom est Noldri.
_Salutations confrère elfe, firent les trois autres chefs.
_Je vois que nous sommes tous la, nous sommes donc alliés pour cette bataille.
_Seul mon capitaine n’est pas présent, fit Avalon, je ne sais pas ce qu’il fait mais bon avec vos troupes on aura finit le travail avant qu’il arrive.
_D’ailleurs combien amené vous de soldats? Demanda Hindraël
_Cent-trente guerriers me suivent. »

Les autres restèrent tous bouche bée mais Avalon parla :

« J’espère que vos elfes savent se battre, car les ennemis seront très nombreux.
_Je n’emmène pas seulement des elfes, mais aussi deux ents. »

Cette fois-ci tous le monde arrêta de parler, et les deux ents arrivèrent, celui d’Ellenden poussa un grand cri de joie et les ents allèrent un peu plus loin pour ne pas être dérangé.

« Bien, maintenant allons nous asseoir, fit Noldri, cette racine a l’air très confortable.
_Vous avez raison, fit Eliomir, maintenant comptons toutes nos troupes.
_Nous avons pour l’instant cent-soixante et un elfes, plus les trois ents. Et les vingt-neuf autres noldors qui devraient arriver dans quelques jours et un autre ent, déclara Avalon.
_Soit au total, cent-quatre-vingt-dix elfes et quatre ents. Bel armée, fit Hindraël
_Oui, mais préparons nous, alors votre chef est à plusieurs jours de marche et vous n’avez pas vu d’ennemis encore ?
_Si, fit Eliomir mais pas la peine de s’inquiéter. » Hindraël était du même avis.

« Et oui, les ennemis approchent, fit Avalon, dans un jour au maximum ils seront la, mon capitaine et les autres ne seront pas encore arrivé.
_Au moins en voici un qui connais l’ennemi, fit Noldri.
_Alors aux armes, firent les deux sergent, préparons nous.
_Ils ont raison mais déjà il faudrait que les deux jeunes soit aidés, a vingt ils ne tiendront que quelques secondes, fit le second de Noldri qui venait juste d’arriver.
_Que proposez vous ? Demanda Avalon.
_Qu’on leur donne des troupes.
_Je propose que Eliomir soit accompagné par vous , Avalon et vos noldors et l’ent.
_Pas de problème, firent les deux intéressés.
_Toi Haldri, tu vas aller avec Hindraël, tu seras accompagné par dix de nos archers et les haut-elfes.
_Entendu, fit le second.
_D’accord, fit Hindraël »

Les elfes donc se répartissaient, Avalon suivit Eliomir et les soldats se présentèrent mutuellement, de jeunes soldats qu’Avalon aurait bien voulut entraîner avant les combats.
Il ne vit plus les autres avant le lendemain, il apprit aussi que Noldri venait de la forêt noire, tous ces endroits, Ellenden y était allé, Fondcombre il n ‘y a que quelques mois, pareil pour la Forêt noire et pour Fangorn.
Des elfes avaient été postés en éclaireurs, et les noldors s’entraînèrent en compagnie des haut-elfes, qui a l’épée battait à plate couture les noldors pourtant troupes d’élites.


« Je veux bien m’entraîner contre un haut-elfe pour voir, et même contre vous Noldri, fit Ellenden coupant ainsi la parole a Avalon.
_Sa fait deux fois chef, fit le second en rigolant.
_Je sais et sa va continuer ainsi. »

Pendant peut-être quatre heures, rien ne se passa puis les éclaireurs revinrent, nous affirmant que les ourouks arrivaient, nous sommes tous allés voir et la, nous fûmes stupéfait, trois-cent ourouks étaient la, nous avons pu analyser leurs troupes. Soixante-quinze d’entre eux étaient des piquiers qui allèrent faire des ravages contre nos trente cavaliers, puis il y avait vingt-cinq berseks, cet vision qui m’effraya, je savais comment les berseks se battaient et seul les haut-elfes et les noldors avaient une chance, il y avait aussi cent-vingt épéistes et quatre-vingt albaletrier, les guerriers ennemis étaient tous recouvert par les armures noires de l’Isengard sauf pour les monstres bien évidemment, et ils étaient commander par un grand ourouk que Noldri réserva pour lui. En nous déclarant que lui, chef des elfes pouvait se battre contre le chef des ourouks ce que j’approuvais.

Ellenden parla encore coupant la parole a Avalon :
« Heureusement que j’étais la parce que cet …
_Taisez vous chef, vous m‘énervez et énervez les autres. »

Avalon reprit son récit mais certains aspect de celui-ci ne seront dit qu’a Ellenden lui même.

Les unités du mal toute noire masquait les plaines si bien qu’a la place d’une vaste praire se tenaient d’immense fourmis noires envahi par la haine et par la soif de sang. Voulant nous détruire. Les ents eux aussi restèrent abasourdis par le nombre d’ennemis, mais ils ne perdaient pas espoir comme certains, qui crièrent de fuir et appelaient a l’aide. Ils furent vite remis après les claques des noldors et des elfes de noldri qui eux aussi avaient pour la plupart l’habitude de ces combats en infériorité numérique.
Noldri cria :

« Elfes ! Vous êtes ici pour sauvez vos frères ! Vous allez peut-être devoir combattre jusqu'à la mort ! Et alors ! Vos famille survivront grâce a vous, et vos frères ! Et tous les elfes ! Alors combattez avec moi. »

Les elfes crièrent , leur moral au plus haut niveau, Noldri avait l’âme d’un grand chef, et les elfes regagnèrent vite espoir. Tous prêt a la mort pour sauvez leur peuple et laissant quelques elfes de Hindraël a la lisière pour les prévenir de l’avancée ennemis. Les elfes préparèrent un plan, comment vaincre ces ourouks affamés et prêt a tous pour détruire les grands royaumes.
Les êtres sylvestres se préparèrent donc, les grands chefs se regroupèrent, et ils se questionnèrent, fallait-il charger tout de suite, un débat eu lieu :

« Il faut les attaquer, les ents devant et nous après, nous pourrons les défaire vite , proposa Eliomir.
_Bien sur, fit Noldri, cependant les pertes seront énorme, et les chances de victoire faible même si nous sommes cent-quatre vingt .
_On tir plusieurs volée avant qu’il n’entre dans la forêt puis on charge sa vous vas ? Demanda Hindraël.
_Trop de pertes a mon goût, fit Avalon, vous arriverez a tuez les ennemis certes, et encore il faudra être chanceux. Très chanceux.
_Pourquoi dites vous cela ? Demanda Noldri.
_Parce que ce sont des ourouk-haï, je pense que vous en avez tous combattu et savez comme moi leur valeur au combat, ils sont avec leur grandes armures, et ce ne sont pas de petites et vulnérable troupes d’une vingtaine de guerriers. Mais trois-cents guerriers a mon avis entraîné.
_Certes , mais on a des ents qui leur feront beaucoup de mal, jouta Eliomir.
_Peut-être, mais les ents vont tomber plus rapidement que tu le monde peut penser, ils ont une substance crée par Saroumane, une sorte d’huile qui s’enflamme a la moindre étincelle, et les ents sont sensible au feu, très…
_Oui, mais pour moi c’ est la seul solution, si quelqu’un d’autre a une suggestion, qu’il parle. Fit Hindraël.
_Une embuscade, fit une voix assez inaudible.
_Qui a proposer cela ? Fit Noldri.
_Moi, chef, répondit Haldri, je pense que c‘est la meilleur solution.
_Je vote pour l’embuscade, fit Avalon, les noldors en ont fait beaucoup. Face a des ennemis aussi puissants, c’est la seul solution.
_Non ! Bien sur que non, vous voulez qu’on se divise pour les entourer et mourir plus facilement, fit Hindraël.
_Les elfes peuvent être assez furtifs, si les archers ne se loupent pas ont peut faire au maximum une centaine de pertes sans en avoir aucun de notre coté si l’on monte dans les arbres.
_Il restera encore deux-cent ennemis, trop pour les laisser s’enfuir, ajouta Eliomir.
_Alors une grande embuscade puis une charge frontal, proposa Haldri.
_Oui, si tous le monde est d’accord pour sa alors qu’il lève le bras. »

Tous les capitaines levèrent leur bras, mais où allait se durer cet embuscade. Ils se questionnèrent dessus , enfin questionnèrent plutôt Hindraël qui connaissait cet forêt plus que tout les autres.

« Il y a un seul endroit ou les ourouks seraient obligés de passer pour aller dans un des trois royaumes, mais le problème , c’est qu’il n’est pas très propice a l’embuscade.
_Montre le cet endroit, fit Avalon, on verra la bas comment il est.
_D’accord, suivez moi. »

Ils suivirent le sergent qui les amena devant un petit ruisseau infranchissable, il leur fit remonter un petit peu lorsqu’il virent le gué, l’eau n’était haute que d’un mètre, le courant pas assez fort pour faire tomber des hommes ou autres. Sur la rive ou nous nous trouvions, le terrain était formé juste de petits buissons et d’herbes, bien sur les arbres n’étaient pas loin mais au moins cent ennemis pouvaient se tenir la, de l’autre coté c’était un peu moins bien,
Les arbres étaient plus nombreux il n’ y avait que quinze mètre de terre sans obstacle qui formaient une sorte de chemin, les arbres formant un petit voûte. Certes les arbres pouvaient les cacher, cependant sa les empêcheraient de faire une grande charge, car si Avalon avait bien compris, ils se trouveraient sur la rive opposé, en attendant l’ennemi, pour leur tendre l’embuscade, mais cela n’aurait rien changé, c’est comme si on la faisait a la lisière de la forêt, un grand massacre donc, mais Avalon dut se plier au choix des autres. L’espace était assez grand, ils décidèrent donc de diviser leur force en trois partie, l’une au centre la plus éloigné de la rivière au fond du chemin , les deux autres sur les cotés, invisible grâce aux arbres mais beaucoup trop exposer quand même , les commandants revinrent donc où leurs troupes étaient , et les amenèrent a la rivière, les noldors ne voulaient eux aussi pas ce battre ici, mais ils se battraient quand même , car jamais ils fuiraient devant un combat. Mieux mourir que de faire cela.
Les elfes donc se placèrent a leurs endroits respectifs, Noldri au centre, avec tous ses soldats, ses piquiers devant, les archers noldors derrière et les guerriers prêts a charger avec les cavaliers et l’ent un peu en retrait. Noldri se tenait avec ses archers et tous étaient prêts, même si le combat arriverait bien plus tard.
A gauche de lui, Avalon, avec Eliomir se tenait la, avec les noldors et les troupes d’éliomir, ce que ne compris pas Avalon c’est pourquoi tous les archers n’étaient pas mis sur les flancs avec les guerriers alors que là tout le monde était répartie n’importe comment, mais chaque gradé en fut la cause, ne voulant pas être séparé de leurs soldats.
Eliomir était suivit de cinq archers qui se placèrent a coté des noldors, de cinq piquiers et de dix guerriers qui eux se mirent devant les archers, les piquiers un genoux a terre et l’arme en avant, les guerriers debout main sur le manche.
De l’autre coté se trouvait Hindraël, ses elfes étaient revenus de la lisière, les ennemis seraient la dans trois heures. Lui se trouvait avec les dix haut elfes de Noldri qui se mirent devant les dix jeunes noldors prêté par le chef, les dix guerriers de l’elfe de fangorn et les cinq elfes se joignirent a eux, tandis que ses cinq cavaliers étaient en retrait. Les deux sergent se trouvaient avec leur troupes tandis qu’Haldri lui était avec les haut-elfes et qu’Avalon était avec les noldors.

Il avait été décider que deux ents attaque par derrière , ceux-ci c’étaient déjà placé, ne bougeant pas, un des ents était celui commander par Ellenden, et quand tout fut prêt, les elfes se reposèrent un peu, jusqu'à qu’un cri se fit entendre, les ourouks arrivaient, ils avaient senti la chair elfiques, qu’ils aimaient tant. Leur cri se rapprochaient mais le bruit de leur pas était plus audibles, leur pas emmenait avec eux le bruit métallique des armures de l’Isengard.
Quand le premier ourouk approcha, les nouveaux voulurent lui tirer dessus, mais on les retint, il fallait attendre que ceux-ci est d’abord emprunté le chemin, seul une vingtaine pouvait passer et si Noldri chargeait, il pourrait les repousser jusqu’a l’autre rive de la rivière ou les ents pourront s’amuser.
Les elfes attendirent donc, les ennemis approchaient et on pouvaient les voir, grands ils étaient, en armure de la tête au pied, les épéistes avec de grands boucliers, et ils avançaient comme sa, quand le chef, le seul avec les berseks a avoir la tête sans casque les stoppa , il nous avait senti, mais il continua sa route quand même , et il fit passer ses ourouks avant lui même. Ils avaient des torches , la seul chose que l’on pouvait craindre ici était le feu et ils en avaient. Quel catastrophe ! Et quand les ourouks virent Noldri, ils chargèrent sans plus attendre, ils étaient fait pour combattre, et la ils en avaient l’occasion .
Les ourouks étaient rapide même avec leurs armures et leurs gros boucliers, les piquiers étaient devant, leur longues lances de plusieurs mètres était très dangereuse. Noldri baissa son bras, et là, les archers du centre lâchèrent une volée qui fit dix morts, puis ils en lâchèrent une autre qui fut moins efficace seulement cinq ourouks tombèrent car ceux-ci avaient perdu des piquiers et un épéiste, et la deuxième ligne leva vite les boucliers, se protégeant des attaques de l’avant, et ce fut au tour des elfes qui se trouvaient sur le coté de tirer.
Avalon, une flèche dans la main attendit un peu comme les autres, puis au bon moment, il lâcha la corde, la flèche partit a toute vitesse, fulgurante elle vola toute droite en direction de la gorge d’un ourouk qui eu juste le temps de gémir de douleur et de tombé. Les noldors suivirent le geste de leur chef et les dix flèches volèrent et touchèrent les ourouks qui tombèrent, les autres archers firent feu aussi, faisant beaucoup moins de victimes, seulement quinze tombèrent sous les coups des autres .
Tous les archers firent une deuxième volée en même temps qui fut mortel, trente ourouks tombèrent plantés de partout, les corps percés de flèches gênaient les autres qui avaient juste envie de tuer les elfes. Leur chef avait ordonné qu’un mur de bouclier soit former, ce qui laissa bientôt place a une sorte de carré géant impénétrable du moins, pas du haut ni de derrière , mais les albalétriers pouvaient tirer, seul cinq d’entre eux étaient tomber et ils chargèrent leur arbalètes, puis ils tirèrent dans la forêt , sans savoir ou ils tiraient, mais ils firent quinze mort, et les elfes décidèrent de se regrouper au centre, c’étaient la seul façon de ne pas avoir trop de pertes, ils rejoignirent vite le commandant qui fut surpris, deux de ses elfes d’élites étaient tombés, trois noldors, cinq de ses archers et cinq elfes d’Eliomir et d’Hindraël aussi. Les soixante-quinze albalétriers avait fait de grand ravage, mais les elfes n’avaient pas dit leur dernier mot, Avalon tira une flèche en l’air qui retombant dans le casque d’un ourouk, le casque en fut percé et la flèche atteint le haut de la tête, le monstre ne la sentait pas, cependant son système nerveux était touché et il fit de violent geste et tua un de ses alliés avant de se faire lui même tué. Les noldors suivirent leur chef, et décochèrent utilisant toutes leurs flèches a une vitesse fulgurante, trente autres ourouks tombèrent, les flèches au niveau du cou, et parfois des pied mais celle-ci ne furent pas mortel, dommage..
Les autres archers voulurent eux aussi profiter de la non protection qu’ils avaient mais il n’en n’eurent pas l’occasion, les ennemis suivirent le ordres de leur chef et dans le petit chemin une mini-tortue arriva, protéger sur l’avant , les cotés, au-dessus, une formation infranchissable, surtout que les lances étaient prêtes a empaler les elfes , eux qui étaient la, sans aucune possibilité et qui allaient devoir pourtant charger et libérer le chemin, mais les ents étaient intervenu, a l’arrière de l’embuscade, les ourouks s’étaient tous regroupés sur l’autre rive, et les arbres avaient chargés, écrasant sur leurs passage piquiers, épéistes et albalétriers. Les ourouks réagissent vite, ils lancèrent plusieurs torches et enflammèrent leurs flèches, les elfes ne purent rien faire contre cela, mais ils en furent horrifier, les arbres prirent rapidement feu, Avalon et les noldors avaient déjà vu sa mais sa les touchaient toujours, tandis que les autres eux… Certains pleurèrent, d’autres crièrent de rage mais tous voulaient les venger. Les ents donc avaient prit feu mais ils combattaient encore avant de s’écraser sur les ourouk-haï, les ennemis avaient en tous perdu soixante des leurs , mais leurs pertes avaient été en totalité de soixante-dix ennemis, voir plus, Avalon ne se souvenait pas très bien du le chiffre total mais ils avaient diminué de moitié. Alors a ce moment, Noldri fit dégainé les archers, et les piquiers de mithlond devant, ils chargèrent, tous ensemble, le chef ourouk avaient vu cela et il fit placer les piquiers devant, certes ils n’étaient plus que trente mais il savait que ceux-ci formaient un barrage mortel. Les piquiers s’empalèrent mutuellement mais l’avantage fut pour les ourouks de l’Isengard, qui avec leurs longues lances , avaient plus de protection, trois elfes furent transpercé par la même lance, les elfes avaient l’avantage numérique, ils étaient cent-cinquante cinq et les ennemis cent-quarante, pourtant, ceux-ci eurent beaucoup de mal , les ourouks étaient valeureux et lorsque les derniers piquiers tombèrent, leurs lances avaient fait plusieurs victimes et soixante elfe étaient tombés. Puis ce fut au tour des albalétriers d’attaquer, les soldats du bien venait d’arriver au bord de la rivière, et les guerriers du mal avaient forer un mur, les épéistes devant, boucliers a la main et les albalétriers derrière , qui lâchèrent des carreaux surpuissant.
Les elfes perdirent encore vingt des leurs ce qui les amena a n’être plus que soixante-dix, là la situation devenait critique, les ennemis dégainèrent tous , et chargèrent, les noldors et les haut-elfes étaient en première ligne, suivit des autres et le combat fut acharné, les berseks rentrèrent en action, eux qui savaient le plus se battre, les capitaines durent en affronter deux chacun, Avalon réussit a éviter le bout de la longue épée d’un de ceux-ci , puis il dut contrer l’attaque avant de pouvoir lui transpercer le ventre et lui couper la tête. Un autre l’attaqua et réussit a le toucher , mais Avalon ne dit pas son dernier mot, et réussit a vaincre son adversaire, quand un cri ce fit entendre :

« Retraite !!vite !! »

Les elfes avaient perdu trop de soldats, seul cinquante avaient survécu a la charge des berseks et ceux-ci coururent parmi les arbres, les noldors avaient eu une perte , de même pour les haut-elfes qui n’étaient plus que six , tandis que les autres avaient eu beaucoup de mal, les deux sergent avaient eu de la chance de survire, mais Avalon ne put en dire plus, focaliser par son combat.
Les elfes donc avaient quelques minutes d’avance et se regroupèrent un peu plus loin, l’ent était là et les elfes mirent les archers derrière, dont six étaient des noldors, ils ne restaient que des cavaliers qui n’avaient même pas pu charger, les vingt cinq , les six noldors a l’arc, les six haut-elfes qui se mirent devant , cinq épéistes, et huit archers , ils étaient perdu, face aux cent-cinq ourouks, leur sort étaient dors et déjà sceller . Noldri et Haldri étaient avec les haut-elfes, Avalon avec les noldors, les sergents avec les autres et quand les ennemis arrivèrent, les flèches volèrent, enfin le peu de flèches.
Cinq ourouks étaient tombé mais ils s’arrêtèrent. Il y avait encore cent ourouks, soixante albalétrier qui avait prit leurs épées et quarante épéistes. Le chef s’avança suivit des trois derniers berseks.


« Misérables petits elfes, vous allez tous mourir, fit l’ourouk-haï en grognant. Mais je vous propose quelque chose, comme vous êtes sur de mourir, que dites vous d’un combat a mort contre moi et mes amis ?
_ D’accord, fit Noldri, comment allons nous faire ?
_Mes berseks se battrons d’abord, puis sa sera a moi contre celui qui commandes chez vous et mes ourouks chargeront même si le combat est en cours.
_D’accord. Qui veut se battre face au berseks ? Demanda Noldri.
_Moi, fit Avalon en sortant des rangs, suivit après des deux sergent qui voulaient sûrement prouver leur valeur.
_Que le combat commence ! Cria le chef ourouk, chargez monstres ! »

Les berseks foncèrent droit sur leurs trois adversaires, Avalon sauta pour éviter la lame puis coupa un bras d’un des monstres avant que celui-ci ne lui envoie un puissant coup de poing.
Puis Avalon en se retournant, coupa la gorge du monstre qui ne dit rien et qui continua a se battre, il faillit le toucher au niveau des cottes, mais le second fit une roulade et transperça la jambe droite du monstre avant de lui coupez la tête en même temps qu’il se relevait. Il ne put voir les autres combats, mais les deux sergents avaient été un peu blessé.
Quand le chef des ourouks cria , ceux-ci commencèrent a courir, et là , quel bonne surprise, une flèche se planta dans la gorge d’un épéistes, puis une dizaine d’autres tombèrent sous la pluie de flèche qui venait de derrière Avalon, mais qui avait tirer...


Avalon était heureux de voir son capitaine arriver, l’espoir lui était revenu, la victoire semblait possible même si certains n’étaient pas sur de la valeur des noldors. Dans leurs armures dorées ou ce reflétait les faibles rayons du soleil qui traversaient les branches, le crépuscule arrivait et il fallait en finir au plus vite. Le chef ourouk-haï avait prit l’avantage, il avait mis a terre Noldri et ce fut Ellenden qui bloqua la lame , celle-ci se trouvait a quelques centimètres du visage de son allié. L’ourouk était énervé et cria :

« C’était un combat en un contre un ! On était d’accord !
_A bon, fit Ellenden en rigolant, j’étais pas la, donc c’est pour sa »

Le chef cria et attaqua Ellenden , toute sa fureur et sa rage se déchaînèrent sur le chef noldor, les coups surpuissants empêchèrent l’elfe de pouvoir contre attaqué, devant mettre toute sa force pour ne pas être tué , celui-ci recula mais Avalon n’en vit pas plus, il sait seulement que son chef a gagner, car les elfes n’avaient pas eu le temps de se reposer et ils durent se défendre contre la charge des ourouks , qui durent eux combattre l’ent d’Ellenden qui arriva, chargeant écrasant, frappant, exterminant, déjà dix ourouks étaient mort, et l’ent en attrapa deux, les serrant de toutes ses forces, leur brisant les os , le sang coula sur ses mains, enfin plutôt ses branches. Un ourouk lança brusquement une des dernières torches, et tous les autres le suivirent, l’ent flamba et essaya de s’éteindre dans la rivière, mais il ne put l’atteindre et tomba juste avant, il avait quand même tué cinq autres ourouks. Les elfes furent encore plus énervé et les cavaliers chargèrent, Noldri venait de se relever et il ne put empêcher la charge suicidaire des chevaliers. Elancés, ils rentrèrent dans les ourouks, qui au départ ne purent rien faire, mais les cavaliers furent bien encercler et la, la…

Avalon faillit en perdre les mots et comme tous le monde le voyait un peu choqué, il lui laissèrent le temps de se remettre. Le second reprit son récit, une fine larme sur la joue.

Les ourouk-haï firent un grand massacre, quinze des leurs avaient succomber a la charge et le combat s’intensifiait, des casques volaient, des boucliers furent briser, les cavaliers tranchaient la tête de leurs ennemis mais heureusement que les piquiers étaient tous morts, sinon … Ils auraient durer encore moins de temps, quand les ennemis furent sur d’eux, ils tranchèrent les pattes des chevaux , de tous les chevaux, un bain de sang, on ne vit pas ce qui se passa, seulement les cri des chevaux ajouté des cris des elfes et enfin des rugissements ourouk-hai. Tous les cavaliers étaient mort, tous sans exception, et quand les ourouks du milieu approchèrent, ce fut leur bouche plein de sang que l’on pouvaient voir, du sang d’elfes et des chevaux. Les monstres de Saroumane avaient encore envie de sang, les quarante derniers ourouk-haï tous épée a la main donc foncèrent sur les elfes.
Ils se préparèrent, ils pouvaient gagner, les soldats se rentrèrent dedans, les élites en premier, ils faisaient tous des ravages et Noldri les rejoint , a un moment ou le combat n’était pas proche, Avalon déclara au chef :

« Vous voyez, comme quoi même vous ne pouviez le battre.
_Je dois avouer que cet ourouk est très puissant, ne voulez vous pas allez aider votre capitaine ?
_Non, il préféra me tuer plutôt qu’autre chose.
_A ce point ?
_Oui, j’en suis sur. »

Ellenden en entendant cela fut un peu contrarier, a son meilleur ami il n’aurait jamais fais cela, mais bon il laissa son second continuer son récit.


Les haut elfe , épées a la main, bloquaient toutes les attaques adverses, puis frappèrent, tranchant les membres de leurs adversaires avant de les achever , si bien qu’au bout d’un moment, des bras, des jambes étaient par terre détacher du corps. Les noldors avaient chargés, fort de leur entraînement, ils firent eux aussi des ravages, épée a l’avant, ils frappèrent ; exterminèrent leurs ennemis. Avalon évita une lame qui aurait pu le trancher en deux, puis il en évita une autre qui allait le transpercé, il réussit a vaincre ses deux adversaires, mais il tomba sous le coups d’un troisième, une grosse entaille au bras droit, l’empêchant de pouvoir bien utiliser son épée. L’ourouk allait abaisser sa lame, qui petit- a petit tombait, de plus en plus vite, mais elle fut stopper par Eliomir, et l’ourouk surpris vit une lame rentrer dans son ventre et ressortir sans qu’il ne puisse faire quelque chose, Hindraël était la aussi, les deux sergents voulaient eux-aussi se battre et leurs elfes aussi. Les corps tombèrent au sol, et un haut-elfe du succomber au terrible coup d’un de ses ennemis, Le dernier ent s’avança, montrant comment la colère affecte les arbres, il écrasa des ourouks sans pitié , frappant dans les cotes, dans le corps, plusieurs os se brisèrent et soudain, les ourouks s’enfuirent, ils n’étaient plus qu’une quinzaine et le flot des elfes étaient inarrétable. Les elfes les poursuivirent jusqu'à ce qu’ils meurent, et les derniers ourouks avaient succomber sous les flèches elfiques et non par les épées.
Puis les elfes se regroupèrent, voyant l’ampleur des dégâts, les noldors n’étaient plus que quinze, cinq vétérans , les haut-elfes eux étaient quatre, les quelques rescapés des troupes des deux sergent. Les pertes étaient énorme, imaginez, sur les deux-cents dix elfes au total, seul vingt-trois avait survécu, et encore la moitié avait quelques blessures, sur les quatre ents, seul un survécu. Mais l’ennemi était vaincu, c’était le plus important pour tous le monde qui a présent regardèrent en direction d’Ellenden qui revenait, une entaille au bras, son nez cassé, une arcade ouverte et du sang plein sa lame.
Les elfes donc , se reposèrent, et les chefs se réunirent autour de ce petit campement .

« C ‘est vrai qu’on a eu du mal a gagner, fit Ellenden.
_Mais vous n’avez pas parlez de votre combat encore, ni de votre arrivé, fit Haldri.
_C’est exact, je m’en excuse, alors je vais commencer. »

Le chef des noldors donc, fit pareil qu’Avalon.

Il se trouvait avec ses noldors, l’ent a coté était extrêmement nerveux et inquiet, les elfes ne comprirent pas encore pourquoi mais ils venaient de rentrer dans fangorn. La brume était tombée, mais l’ent savait où aller, et nous le suivions, lorsque brusquement, il cria, puis accéléra l’allure, les noldors le savaient, il devait se passer quelque chose de grave, eux aussi accélérèrent, ils arrivèrent à l’entrée du petit chemin, des bruits de combat s’entendaient t tous prirent leurs arcs. Ils approchèrent, es bruits des combats s’intensifiaient, et ils virent des elfes morts, des ourouk-haï. Les noldors n’hésitèrent pas une second, Ellenden avec ses vétérans couraient vers les cris de rage des monstres de Saroumane, et quand ils arrivèrent ils décochèrent leurs flèches. Les nouveaux firent de même et ils firent de petits dégâts aux ennemis qui étaient important quand même. L’ent lui chargea, sans plus attendre la vengeance c’est tout ce qu’il voulait, et il piétina les ennemis avant de se faire tuer lui même, mais le chef des noldors venait de voir Noldri, malmené par le chef ennemi. Ellenden alla s’interposer entre les deux, au moment ou le chef allié allait perdre la vie. L’ourouk cria, mais Avalon avait déjà raconter ce qu’il avait dit, et le combat s’était engagé , la force de la créature était immense, se mouvements rapides , et l’eldar recula, sans cesse, avant de tomber a cause d’une racine, il fit un roulé-boulé sur le coté , puis se releva, sur les genoux, il dut éviter l’attaque de son ennemi, et lui fit une entaille sur l’avant-bras droit. Puis celui-ci continua , cria , rugissant comme les berseks, il frappa de partout, des coups circulaire, d’estoc, des coups verticaux et horizontaux, il fit une feinte et donna un coup de tête a l’elfe qui en eu le nez casser, il recula de trois pas sous la puissance du choc, l’ourouk en profita, frappant directement en direction des cotes de l’elfe qui eu le réflexe de placer son épée au bon endroit, l’elfe contre attaqua, son ennemi semblait fatigué ce qui n’est pas commun pour les créatures comme les ourouk-haï mais bon, l’elfe le frappa, mais son ennemi tenait toujours, puis Ellenden tenta quelque chose, attendit que son ennemi attaque ce qui arriva de suite, puis en un mouvement , désarma son adversaire.
L’elfe était heureux mais le monstre n’avait pas dis son dernier mot, fonçant droit sur Ellenden, il lui donna un coup de poing qui mit l’elfe a terre, son arcade ouverte et sa lèvre aussi, puis la créature noir, prit un petit poignard qu’il avait dans sa botte, il le lança, et l’elfe réussit a l’éviter, plongeant sur le coté, mais son bras avait été toucher, et une longue et fine coupure lui parcourait sur la largeur du bras, presque sur l’épaule. L’elfe couru, fit une roulade et attrapa son épée, l’ourouk l’avait suivit et quand le chef des noldors présenta son épée, il était trop tard, la lame avait transpercé de part en part son adversaire. Ellenden se leva, l’ourouk toujours debout lui attrapa la gorge , la serrant. L’elfe , lui prit le poignet, et lui, lui brisa avant d’en finir . Son combat l’avait épuisé et il fut heureux de voir que les ennemis étaient tous tombé malgré les énormes pertes. Les capitaines sans leur second c’étaient rejoint , et c’est là qu’Ellenden fut blamé :

« Que faisiez vous donc, on a faillit y passer, cira Hindraël.
_Vous nous avez laissez a la mort ! Fit Eliomir.
_La preuve que non , déclara Ellenden, sinon je ne serais pas venu, j’ai entraîner mes noldors, ils n’étaient pas assez fort, et la même maintenant ne le sont toujours pas.
_Quoi ! Tous ce temps perdu pour u entraînement, fit Noldri.
_Et oui, mes noldors doivent être les meilleurs et c’est pour cela que je les entraînent.
_Vous mériteriez que nous vous tuions ; firent les deux sergents.
_Essayer, j’ai déjà tuer le chef ennemi alors vous savez.
_Calmez vous mes amis, fit Noldri, pas la peine, merci d’être venu , sans vous on était perdu. »


Ellenden aida ses elfes et les autres a enterer les corps des elfes, et ils rejoint les autres capitaines et second autour d’un petit rocher qui se trouvait au milieu du campement.
Un bandage au bras, et l’hémorragie c’était arrêté.

« Voilà, j’ai finis mon histoire, fit Ellenden, je suis désoler mais je vais partir, je retourne en Lorien, notre mission est réussite et nous n’avons plus rien a faire ici.
_Adieux alors, fit Noldri , ce fut un honneur de vous connaître.
_Moi de même, vous êtes tous de bons combattants a ce qu’a dit mon ami, vivez longtemps, ajouta Ellenden , avant de partir. »


Les noldors dirent adieux aux elfes, et surtout furent déçus de quitter les grands guerriers haut-elfes, faisant partis de la grande famille des noldors, ces guerriers étaient maîtres dans l’art du combat et Ellenden se prit a vouloir les suivre aux combats, ils espéraient même avoir l’immense honneur de pouvoir en commander. Ils mirent du temps a sortir de Fangorn, certes cet forêt était moins belle que la lorien, mais son mystère et les arbres poussaient les elfes a y rester, mais leurs familles les attendaient, surtout pour les vétérans. Ils mirent cinq jours a rentrer, et un messager vint les voir, il découvrit les noldors, certains des bandages aux niveaux des bras, des jambes, des cotes. Certains avaient de grandes marques au niveaux du visage et du cou, et le messager appela Ellenden et lui demanda ce qui c’était passer :

« La victoire est nôtres, c’est le plus important, nous pensons qu’il voulait attaquer la lorien.
_Bon travail , le roi sera content.
_Je l’espère, mais excusez moi je dois y aller.
_Au revoir capitaine. »

Chacun partit de son coté et Ellenden alla voir sa famille, une mission réussite en plus, des morts, tous le temps des morts, et dire que la tempête fait rage de partout, seul la lorien et Fondcombre sont en sécurité, et encore…

Phase 1 :
Noldri et son armée d’Elfe avaient vaillamment combattus lors des dernières missions, mais pour l’instant, il se trouvait en Lorien et aucune missions ne leurs avaient étés données. Le calme chant des oiseaux réveilla Noldri qui était blessé au bras et à la cheville, il se rendit à l’entraînement quotidien qui se déroulait dans la caserne mais n’était pas très enthousiaste à cause de ses blessures. Cependant, dans les contrées de Fangorn, l’ennemi est partout, il coupe les arbres, brûle les forêts mais les Elfes vont intervenir. C’est là que, justement, des ourouks-haï auraient étés aperçu il y a peut de temps dans la forêt et cela pourrait changer la journée de Noldri car il reçu un message et ce sont ses éclaireurs qui lui apporte à la caserne là où il s’entraînait :

-Bonjour mon capitaine. Cela n’était pas prévu mais vous avez reçu un message, alertant qu’une armée d’ourouk s’approche de la forêt de Fangorn, mais nous ne connaissons pas ce qu’ils devraient y faire. Peu importe vous êtes attendus là bas. Par contre le message signal la venue de trois autres capitaines Elfes, les meilleurs sans doute y compris, vous.
-J’aurais consacré ma journée à autre chose mais puisque le devoir m’appelle, je dois y répondre par ma venue imminente. Je vais aller me préparer à la bataille.
-Très bien, je repars explorer les contrées.
-Au revoir, cher confrère.

Noldri se rendit à la caserne récupérait son épée et son arc puis la vue sur les arbres lui fit penser qu’il devait alerter ses deux jeunes ents qui se trouvaient un peu plus loin d’ici. Noldri se demandait quels pouvaient être les alliés qui iraient combattre avec lui en tout cas, sur le message, il y avait marqué précisément :
« Noldri, tu devras te rendre à la forêt de Fangorn car les ourouks gagnent du terrain, mais tu ne sera pas seul, trois autres capitaine dont leurs noms sont : Ellenden, Eliomir et Hindraël t’attendront là bas. Tout les trois très expérimentés, plus Ellenden que les autres, seront une aide précieuse à tes côtés. Signé : Celeborn. »
Il ne les avait jamais rencontré mais avait hâte. Noldri avait prévu un entraînement cet après midi afin d’améliorer les performances de ses soldats. Haldri devait prévenir tout le monde. Quand tous furent à l’archerie pour commencer, Haldri plaça trois cibles. Le meilleur score d’un des soldats sera récompensé par un arc tout neuf et plus performant, unique. Cet arc ne peut pas être créé pour chacun des soldats car il faut beaucoup trop de temps pour le faire. Noldri avait décidé de ne pas participer afin de laisser une chance à chacun de ses soldats.

-Cher confrères Elfes. Aujourd’hui je vous donne l’occasion de gagner un bel arc. Cela va vous servir toutefois comme entraînement avant la bataille de demain. Bonne chance à tous.
Vous devez imaginer un ourouk à la place de la cible pour pouvoir déchaîner votre colère envers ces créatures.

L’entraînement dura jusqu’au coucher du soleil. Ce soir là, en Lorien, ça ne pouvait pas être plus calme. Noldri se prépara pour la courte route à faire afin d’alerter les ents du départ du lendemain. Haldri l’accompagna et les autres Elfes se reposaient de cette journée intensive.

-Il faut que nous soyons prudent, mon capitaine. Les sentiers elfiques sont dangereux la nuit. Dit Haldri comme ci il avait peur que quelque chose arrive.
-La route est très courte, nous allons nous rendre derrière la forêt après le petit lac, là où mes ents se reposent. En avant ! Dit Noldri.

Ils se trouvaient à cheval et le chemin dura une heure tout au plus. Quand ils arrivèrent, les ents étaient endormis à côté de plusieurs arbres et passaient inaperçu. Ils se réveillèrent au premier pas de Noldri et les suivirent jusqu’au village. Les deux jeunes ents finirent leur nuit près des écuries, dans les arbres pendant que Haldri et Noldri y mettaient leurs chevaux. Le lendemain, à l’aube, l’heure du départ pour Fangorn avait sonné. Le chemin sera court car Fangorn ne se trouvait pas très loin de la Lorien. Les cavaliers partirent en reconnaissance jusqu’à la lisière de la forêt puis ils attendraient la venue de tout le monde. Noldri partit avec eux. Une fois les préparatifs terminés, Haldri, à son tour, partit avec le reste des troupes en direction de la lisière de Fangorn, où les cavaliers les attendraient. A la tombé de la nuit, Noldri monta un campement devant la forêt en attendant la venue d’Haldri et des autres Elfes.

-Nous ne devons pas tarder ici. Dès que Haldri arrive, nous repartons immédiatement pour la forêt afin d’y trouver nos alliés. Dit Noldri à l’un de ses soldats.
-Vous savez ce que les ennemis préparent pour attaquer Fangorn, mon capitaine ? Demanda t’il à son tour.
-D’après le message plus de trois cents ourouks-haï avec des berserkers. Ils seront nombreux et très puissant. J’espère que les autres capitaines Elfes ont eux aussi une grande armée.
-Saroumane envoie cette armée pour détruire nos royaumes. Nous devrons nous battre jusqu’à la mort pour les préserver !
-Regardez Haldri arrive, ordonne à tout le monde de se préparer à partir pour l’aube. Tout doit être prêt pour demain matin.
-J’y vais de ce pas.

Haldri arriva au campement avec les troupes. Les Elfes s’endormirent mais des gardes se relayaient pendant la nuit car cet endroit n’était pas très sûr.
Le lendemain, le campement fut levé et les Elfes se préparèrent pour la bataille ainsi qu’à rencontrer leurs alliés pour repousser les ourouks. Fangorn était une vieille forêt, les arbres étaient grands et imposant, la lumière ne parvenait pas à éclairer la forêt car le feuillage était trop dense. Après deux heures de marche, sans que les Elfes ne soit fatigués car ils avaient l’habitude, ils arrivèrent à l’endroit où Noldri devait se rendre. Un premier venait saluer Noldri, les trois se trouvaient déjà sur place :

-Bonjour cher Elfe. Vous vous nommez Noldri n’est ce pas ? Moi je m’appelle Ellenden, enchanté. Ce sera un honneur de combattre à vos côtés.
-Et moi de même, je me permets de vous présenter mon lieutenant, Haldri, qui nous aidera pendant le combat.

Noldri respectait Ellenden car il avait déjà entendu parler de ces exploits. Peu après, un autre Elfe, qui était moins imposant que Ellenden, arriva vers Noldri. Il se nommait Eliomir, il était blond, pas très grand mais avait l’air d’être un bon archer. A côté de Ellenden se trouvait son lieutenant présumé Avalon. Et enfin le dernier Elfe qui s’appelait Hindraël arriva.

-Les ourouks-haï seront là à la tombé de la nuit, nous devons nous tenir prêt. Nus avons qu’une journée pour nous préparer. Fit Noldri.
-Dois je vous rappeler que nous n’avons toujours aucun plan de la manière dont nous allons attaquer les ourouks-haï. Répondit Ellenden.
-Je propose une embuscade. Tous nos archers cachés dans les arbres puis ils tireront deux volées de flèches, suivit d’une charge. Proposa Eliomir.
-Nous ne devrions en aucun cas charger les ourouks mais puisque nous avons des ents pourquoi pas s’en servir pour charger ? Dit Hindraël.
-Les ents pourraient lancer des rochers ? Ensuite mes noldors tireront pendant que vous tous chargerez au corps à corps. Demanda Ellenden.

Noldri savait qu’une embuscade serait parfaite, mais il doutait sur un point, la charge au corps à corps. Il trouvait cela trop risqué pour une telle armée.

-Je suis d’accord pour une embuscade mais nous pourrions envoyer nos cavaliers charger plutôt que d’envoyer les épéistes. Dit Noldri.
-Les épéistes pourraient défendre les archers. Interpella Haldri d’une voix timide.
-Moi je voudrais que les ents servent à tirer des rochers pour affaiblir leur armée. Répéta Hindraël.
-Je crois qu’Hindraël a raison. Quatre ents seraient puissants. Affirma Eliomir.
-Très bien. Voici comment va se dérouler notre bataille : Une embuscade puis les quatre ents lanceront des rochers, vos noldors, Ellenden, resteront derrière les arbres pour tirer, les cavaliers chargeront puis, dès qu’ils seront moins nombreux, une charge au corps à corps.

Noldri rentra à son campement quand soudain, on attendait des ourouks se disputait.

-Nous devons aller voir si il y a des Elfes qui gardent ses forêts par ordre de Saroumane ! Dit leur capitaine.
-Je sais très bien, espèce de rat ! Nos armées devront passés par là !

Noldri décida de les attaquer, ils étaient trente, mal armé, de simples éclaireurs de Saroumane. Les archers étaient prêt cachés derrière les arbres. Noldri tira en plein dans la tête du capitaine qui tomba. Son lieutenant regarda de tout les côté, ne voyant personne d’autre puis il ce reçu une flèche dans le cou. Les vingt-huit ourouks restant, aperçurent Noldri puis le chargèrent. Noldri ordonna une volée de flèche qui s’abattit dans le dos de dix d’entre eux car les archers de Noldri étaient postés dans les arbres en face de lui. Il brandit son épée et découpa l’un d’entre eux qui essayait de le tuer.

-Vite ! Tuez les tous ! Ils s’enfuient ! Dit Noldri

Les derniers ourouks s’enfuient vers l’Isengard afin de faire part à Saroumane que des Elfes défendaient la forêt. Les archers continuèrent de tirer et leurs troupes descendaient à dix. Noldri toucha un ourouk dans la jambe, celui-ci tomba au sol avant de mourir. Les survivants sortirent leurs épées avant de faire demi tour sur les Elfes. Noldri en repoussa un d’un coup de pied mais il n’avait pas sentit la moindre douleur. Alors il le transperça de sa lame elfique qui le tua. Les autres furent tués par ses soldats. Noldri et ses hommes avaient tués tous les éclaireurs, Noldri devait à présent rejoindre ses alliés afin de répartir les troupes pour la bataille. Ils furent arrivés au coucher de soleil et la bataille se déroulerait sûrement le lendemain à l’aube. Eliomir vint accueillir Noldri dans sa tente pour discutait des troupes ensemble :

-Eliomir, comme tu as peu de troupe, je vais te confier mes épéistes, ils vont te suivre et t’écouter tout au long de la bataille. Dit Noldri.
-Merci bien mon ami. Je ferais en sorte que tous survivent.

Noldri sortit de la tente pour retrouver Hindraël et Ellenden qui s’étaient assis sur un rocher pour se répartir les troupes et compter leurs effectifs. Une fois fini, les Elfes se reposèrent avant la bataille qui allait se dérouler le lendemain à l’aube…

C’est ma première mission commune alors elle n’ait pas très bien et pas très longue désolé.
J’ai fait la phase 1 puis je ferais la phase 2 et enfin la phase 3.

Je trouve qu'elle est très bien! Bon début!

il y a juste un petit problème, mon perso Ellenden n'arrive qu'au milieu de la battaille, seul Avalon est la, si mon texte est difficile a comprendre dites le moi, au début je raconte avec le point de vue d'ellenden, puis avec Avalon et enfin avec Ellenden seul la partie 1 est totalement d'ellenden

comme je dit souvent, warrrr zazatttttte ^^

Ah desole je n'avais pas compris ar pharazon.
Merci Qv3me et Eliomir j'ai pas compris^^

en gros je voulait dire que c'ets très long et que l'action ne manque pas, juste une question on est noter sur la mission ?

le seul problème sachant que notre note compte double c''est qu'il faut trouver une personne pour nous noter car n'oublions pas que c'est nous qui avons fais le scénario et tout.

Si il faut,je le ferrai.

ok merci adrian par contre c'est a alegolas de faire son bout non ? je n'ai pas pu commencer hélas car j'ai été malade jeudi, vendredi et samedi dimanche désolé.

Oui je suis desole, par manque de temps ces dernière semaines je n'ai pas pu commencer ma mission, alors je preferes bien la faire en attedant les vacances plutot que de la faire rapidement et mal. Promis pendant les vacs je termine les deux dernière parties en respectant ce que tu m'a dit ar pharazon !

ok et merci adrian

Phase 2 et 3 :
Le lendemain à l’aube, Noldri sortit de sa tente, c’était le seul réveillé sur le campement. Il faisait encore un peu nuit et dans quelques heures, le soleil devrait se lever. Il alla chercher de l’eau au point d’eau le plus proche et remplir les gourdes de ses soldats. Eliomir vint le rejoindre car lui aussi été troublé par la bataille qui allait s’annoncer. Bientôt, les éclaireurs allaient partir en reconnaissance afin de trouver les ourouks-haï qui s’avançaient dans Fangorn. Noldri reconnu Eliomir qui s’approchait et en profita pour lui demander :

-Les éclaireurs sont ils partis ? Demanda Noldri.
-Ils se préparent au moment où nous parlons. Ils devraient partir dans quelques minutes. Répondu Eliomir.
-Très bien. Vous, allez préparer vos soldats et dites à Hindraël de se préparer également.
-J’y vais de ce pas.

Le jour se leva. Tout le campement était sans dessus dessous à cause des préparatifs de la bataille. Quand soudain, les éclaireurs revinrent à peu abasourdis. Noldri s’approcha d’eux pour qu’ils lui fassent part de ce qu’ils avaient vus. Hindraël accouru à son tour en direction des éclaireurs. Eliomir arriva lui aussi.

-Les ourouks arrivent ! Ils sont très nombreux et filent tout droit vers la Lorien avec un seul objectif, tout anéantir et tout détruire sur leur passage ! Il faut se préparer à l’assaut mon capitaine.
-Eliomir, vous avez fini de préparer vos troupes ? Hindraël, faites de même.
-A vos ordres. Répondirent les deux en chœur.

Après plus de trois heures de préparatifs, tous les elfes quittèrent le campement. Le voyage à travers les bois était plaisant pour tous les elfes. Ils avaient l’habitude de se balader en forêt et ils avancèrent rapidement, arrivant à la tombée de la nuit devant l’armée de Saroumane. Plus de trois cents ourouks se tenaient à l’horizon avançant plein de haine et de férocité, on voyait qu’ils avaient envies de sang d’elfes. Tout la plaine étaient recouverte de noir mais les ourouks seraient là qu’après deux heures environs, ce qui laissait le temps à Noldri, Eliomir et Hindraël de se préparaient à une attaque. Noldri vit que tous les elfes y compris les ents, avaient très peur, alors il décida de leur remonter le moral avec quelques paroles :

-Elfes ! Vous êtes ici pour sauvez vos frères ! Vous allez peut-être devoir combattre jusqu’à la mort ! Et alors ! Vos familles survivront grâce à vous et vos frères ! Et tous les elfes ! Alors combattez avec moi !

Après ce discours convaincant, les elfes virent leur moral remonté au plus haut. Il ne sentait plus la peur, maintenant, ils sentaient la rage de vaincre et de tuer tous ces ourouks. Noldri fut satisfait de son travail, chaque elfe voulait mourir pour leurs familles et combattre jusqu’à la mort. Seuls les hauts elfes de Noldri et Hindraël surveillaient l’avancée des ourouks qui devraient être là dans pas beaucoup de temps. Mais Eliomir fit remarqué qu’aucun plan n’était en place pour vaincre les ourouks, bien qu’ils sont nombreux et fort, Noldri ne pensa sûrement pas à une charge et refuserait de faire ça car cela pourrait mener à la défaite certaine. Les capitaines se regroupèrent pour discuter du plan à suivre, Avalon rejoignit le groupe. Eliomir prit la parole afin de commencer le débat :

-Il faut les attaquer, les ents devant et nous après, nous pourrons les défaire vite, proposa t-il.
-Bien sûr, fit Noldri, cependant les pertes seront énorme, et les chances de victoire faible même si nous sommes cent quatre vingt.
-On tir plusieurs volées avant qu’ils n’entrent dans la forêt puis on charge, ça vous va ? Demanda Hindraël.
Trop de pertes a mon goût, fit Avalon, vous arriverez a tuez les ennemis certes, et encore il faudra être chanceux. Très chanceux.
-Pourquoi dites vous cela ? Demanda Noldri.
-Parce que ce sont des ourouk-haï, je pense que vous en avez tous combattu et savez comme moi leur valeur au combat, ils sont avec leur grandes armures, et ce ne sont pas de petites et vulnérable troupes d’une vingtaine de guerriers. Mais trois cents guerriers a mon avis entraîner.
-Certes, mais on a des ents qui leur feront beaucoup de mal, jouta Eliomir.
-Peut-être, mais les ents vont tomber plus rapidement que tu le monde peut penser, ils ont une substance crée par Saroumane, une sorte d’huile qui s’enflamme a la moindre étincelle, et les ents sont sensible au feu, très…
-Oui, mais pour moi c’est la seul solution, si quelqu’un d’autre a une suggestion, qu’il parle. Fit Hindraël.
-Une embuscade, fit une voix assez inaudible.
-Qui a proposé cela ? Fit Noldri.
-Moi, chef, répondit Haldri, je pense que c‘est la meilleur solution.
-Je vote pour l’embuscade, fit Avalon, les noldors en ont fait beaucoup. Face à des ennemis aussi puissants, c’est la seule solution.
-Non ! Bien sur que non, vous voulez qu’on se divise pour les entourer et mourir plus facilement, fit Hindraël.
-Les elfes peuvent être assez furtifs, si les archers ne se loupent pas ont peut faire au maximum une centaine de pertes sans en avoir aucun de notre coté si l’on monte dans les arbres.
-Il restera encore deux cent ennemis, trop pour les laisser s’enfuir, ajouta Eliomir.
-Alors une grande embuscade puis une charge frontale, proposa Haldri.
-Oui, si tous le monde est d’accord pour sa alors qu’il lève le bras.

Tous les capitaines furent d’accord pour une embuscade. Tous se mirent en direction d’un petit chemin où les ourouks étaient sûr de passer. C’était le seul chemin de terre de la forêt car sinon la forêt serait trop dense à leurs yeux, Noldri fut persuadé que les ourouks passeraient là et il en fit part aux autres :

-Je crois savoir où ils vont passer ! Cria t-il.
-Montre nous le chemin. Nous te suivons. Dit Avalon.
-Noldri ! Est-ce le chemin de l’entrée de la forêt dont tu nous parles ? Fit Hindraël.

Noldri hocha de la tête. Hindraël connaissait très bien la forêt et fut sûr du chemin à prendre à l’inverse de Noldri. Après quelques minutes de marche, les elfes analysèrent les environs afin de mettre en place l’embuscade prévue contre les ourouks. Le chemin était entouré de rochers de différents tailles ainsi que des petits buissons se dressaient sur les cotés ce qui pourraient faire des cachettes idéales. Le chemin faisait plus de trente mètres de large suffisamment long pour que les ourouks puissant passer normalement sans être trop serrer. Les arbres étaient très denses, les feuillages faisaient de très bonnes cachettes car ils tombaient au sol. Eliomir ainsi que Noldri, se placèrent sur le flanc droit avec pour compagnie, les archers de Noldri, cachés dans les buissons, et les archers d’Eliomir qui étaient peu nombreux et donc se placèrent derrière les arbres plus loin que les autres. De l’autre coté se trouvait Hindraël en compagnie de ses archers et pour soutient, les deux ents de Noldri qui se fondaient dans le paysage forestier et ne pouvaient pas être vus. Les épéistes se cachèrent à l’arrière, dans les bois et chargeront après l’embuscade. Avalon était là pour donner le signal de tirer à l’arriver des ourouks. Le terrain était un peu boueux car la forêt gardait l’humidité des pluies. Les ents se tenaient près avec des rochers à la main. Avalon fit signe de bandait les arcs. Les ourouks s’approchèrent de la forêt. Noldri fut stupéfait du nombre d’ennemis maintenant qu’ils se trouvaient devant lui, pareil pour tous les autres elfes. Noldri avait l’habitude d’un combat en infériorité numérique mais il devait faire quand même très attention. Les ourouks arrivèrent sur le chemin. Ils avaient la soif de sang et grognaient à chaque pas. Avalon leva le bras et fit signe de tirer. Les flèches partirent toutes, droites vers les ourouks. Aucune manqua sa cible ce qui faisait plus de quarante ourouks morts. Noldri fut content de cette première volée, très réussie. Les ourouks regardèrent dans tous les sens avant de se recevoir deux rochers que les ents avaient lancés. Hindraël envoya les vingt cinq cavaliers au corps à corps y compris ceux de Noldri. Il n’était pas d’accord sur ça. Hindraël cria à Noldri :

-Laissons les cavaliers devant et reculons pendant que l’on a le temps ! Préparons d’autres flèches avant qu’ils ne reviennent !
-Eliomir ! Dit aux archers de me suivre, toi également !

Les cavaliers persécutèrent leurs ennemis. Le choc fut violent. Le sang gicla de tous les côtés, qu’il soit noir ou rouge. Avalon demanda de tirer une deuxième volée, il était essoufflé, tellement il avait couru. Tous, préparèrent la prochaine volée de flèche. Eliomir arriva enfin auprès de Noldri et d’Hindraël. Les ents restaient dans la forêt pour ne pas être vus pour l’instant. Les cavaliers faiblissaient mais résistaient d’autant qu’ils le pouvaient. Certains tombaient de cheval et trouvaient la mort une fois au milieu des ourouks assoiffés de sang. Les autres mouraient avec une lame entre les côtes et d’autres perdaient leurs têtes. Le combat était sans merci. Deux berserkers arrivèrent et tuèrent les derniers cavaliers présents sur le champ de bataille. Noldri sentait la peur en lui car il sentait une défaite pour la toute première fois. Les épéistes restaient aux côtés des archers pour les protéger d’éventuels attaques. Les ourouks se trouvaient à présents à plus de cinquante mètre des elfes. Avalon fit le signe de tirer. Les victimes furent moins nombreuses que la première volée. Ils avaient terrassés tous les cavaliers elfes. Les ents tiraient des rochers moyennement grands faisant quelques morts. Eliomir tira une flèche dans le cou d’un berserker mais celui-ci résista et continua à avancer. Il demanda aux autres de l’achever car il devait préparer une autre flèche. Noldri fit le même coup sans succès. Hindraël visa sa jambe puis il tomba au sol. Les ourouks se trouvaient à présent à moins de vingt mètres des elfes. Haldri se prépara avec les épéistes à recevoir le choque car les berserkers chargeaient en leur direction. Noldri abattit l’un d’entre eux. Les autres grognèrent de haines en voyant leur compagnon tomber au sol. Les épéistes firent deux tours d’épées mais les berserkers contraient les coups puis tuaient les épéistes de puissants coup qui les faisaient tombés à terre. Haldri fit deux coups assez puissants sur un berserker. Il ne sentit pas la moindre douleur avant de riposter en sa direction. Haldri esquiva le coup et lui trancha la tête car le berserker avait planté sa grande épée dans le sol. Les combats étaient rudes et les épéistes tombaient les uns après les autres. Quand soudain :

-Retraite, vite ! Cria Avalon.

Noldri l’écouta, rappelant Haldri et les autres troupes. Eliomir courait en direction d’Avalon déjà loin. Hindraël voulait tuer encore quelques ourouks avant de partir. Il continua à en tuer tout en courant. Les elfes n’étaient plus qu’une cinquantaine face à encore une cent cinquantaine d’ourouks. Encore deux berserkers pour lui. Le chef des berserkers s’avança vers eux :

-Misérables petits elfes, vous allez tous mourir, fit l’ourouk-haï en grognant. Mais je vous propose quelque chose, comme vous êtes sur de mourir, que dites vous d’un combat a mort contre moi et mes amis ?
- D’accord, fit Noldri, comment allons nous faire ?
-Mes berseks se battrons d’abord, puis sa sera a moi contre celui qui commandes chez vous et mes ourouks chargeront même si le combat est en cours.
-D’accord. Qui veut se battre face au berseks ? Demanda Noldri.
-Moi, fit Avalon en sortant des rangs, suivit après des deux sergents qui voulaient sûrement prouver leur valeur.
-Que le combat commence ! Cria le chef ourouk, chargez monstres !

Le berserker chargea droit sur Noldri puis il esquiva d’un geste parfait avant de lui donner un coup de pied. Il tomba au sol avant que Noldri ne l’achève une fois au sol. Avalon combattait vaillamment face à l’un d’entre eux. Le chef s’avança vers Noldri, montrant sa lame pour lui montrer qu’il allait mourir. Ils sauta sur le côté et trancha la main. Le berserker fut prit de haine et faisait tourner sa lame dans tout les sens. Noldri recula puis quand il vu qu’il c’était arrêter, il s’avança et lui coupa la tête. Le combat fut terminé mais il restait encore tout les autres ourouks qui commençaient à charger dans la direction de Noldri et d’Avalon. Soudain dix d’entre eux tombèrent au sol.

Ellenden arriva avec son armée et envoya ses ents tuer les ourouks. Noldri n’en revenait pas et était content de le voir. Avalon aussi était heureux de voir son capitaine arrivé. L’espoir renaît enfin dans la tête de Noldri. Les noldors d’Ellenden étaient très habiles et très précis tuant beaucoup d’ennemis. Les hauts elfes et les piquiers firent deux rangées contre les derniers ourouks. Les piquiers étaient très efficaces derrière les épéistes et les hauts elfes. Le combat allait bientôt se terminer. Il faisait nuit et les derniers ourouks furent tués. Noldri et les autres capitaines étaient heureux de cette victoire presque inattendue. Lorsque Hindraël fit une remarque contre Ellenden avec un peu d’humour :

-Que faisiez vous donc, on a failli y passer ?
-Vous nous avez laissé à la mort ! Fit Eliomir.
-La preuve que non, fit Ellenden, sinon e ne serais pas venu, j’ai entraîné mes noldors, ils n’étaient pas assez forts, et la même maintenant ne le sont toujours pas.
-Quoi ! Tout ce temps perdu pour un entraînement ! Fit Noldri.
-Et oui, mes noldors doivent être les meilleurs et c’est pour cela que je les entraîne.
-Vous mériteriez que nous vous tuions ; firent les deux sergents.
-Essayer, j’ai déjà tuer le chef ennemi alors vous savez.
-Calmez vous mes amis, fit Noldri, pas la peine, merci d’être venu, sans vous, on aurait perdu.

A ces mots, les elfes regardèrent les morts et les enterrèrent. Beaucoup d’elfes furent morts pendant cette bataille, mais ce qui compte c’est que la victoire était pour les elfes, car sinon, Saroumane aurait pu prendre Fangorn et tous ses occupants.

-Voilà, j’ai finis mon histoire, fit Ellenden, je suis désolé mais je vais partir, je retourne en Lorien, notre mission est réussite et nous n’avons plus rien à faire ici.
-Adieux alors, fit Noldri, ce fut un honneur de vous connaître.
-Moi de même, vous êtes tous de bons combattants a ce qu’a dit mon ami, vivez longtemps, ajouta Ellenden, avant de partir.

Après ces quelques mots, les chemins de tous les capitaines des forêts elfiques, se séparèrent ayant réussi cette mission au-delà de leurs espérances…

Nico, moi et ar-pharazon ont a fini la mission commune, on peut etre noter ou il faut attendre que tout le monde finisse ?

À mon avis, Shaminaga et Feldo continueront pas.

Shamigana na va pas la faire il me la dit et Eliomir ne vient plus (il n'y a pas de Feldo ? )

si je viens mais j'avais plus de temps, plonger dans mon assassin's creed en permanence ^^ je vais la faire dans une semaine car je part en vacances samedi soir. j'essaierai de la rendre au plus vite.

Ok desole d'avoir cru que tu ne venais plus. Bonne chance pour la mission mais je crois que Shamigana ne va pas la faire.

alego je vais pas te mentir t'aurais du faire beaucoup mieux que cela, c'est ta première donc je ne dis rien mais après tache de faire plus.

Ok mais alors je ne comprend pas comment il faut faire ?
Parce que j'ai fait mon maximum et je vois que c'est nul alors...
J'ai repris les dialogues et j'ai fait l'histoire de mon côté, il manque quoi alors ? Je sais que la longueur n'est pas super mais bon

la longueur comme tu l'a déjà dit, plus de description, il y a certains trucs qui ne collent pas ( où c'est moi qui racontes comme une grosse merd.) ce qui est plus probable.