Les Guerres de la Terre du Milieu
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Les Guerres de la Terre du Milieu

La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or

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MessageSujet: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeDim 12 Juil - 21:23

Je posterai mes parties de la GB
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeLun 13 Juil - 21:56

INTRO:

Ellenden revenait de sa dernière mission, cela l’avait assez bouleversé car il avait enfin compris pourquoi Gaaldor avait agit ainsi, ce n’était pas lui mais le plus grand des balrogs qui le contrôlaient.
Le grand guerrier elfe revenait de la forêt noire, il avait perdu la moitié de ses troupes, seul ses élites, les ents et les loups noirs n’avaient eu aucune perte, les magiciens avaient été fort dure à tuer. Ils étaient tous fatigués, les visages graves, des bandages un peu partout. Halan c’était difficilement remis des blessures faites par Neomer et puis, les orcs l’avaient eux aussi un peu blessé. Sa patte avant et sa cuisse gauche avaient encore de grande marque, pas tout à fait cicatriser, cela ne le gênait pas trop pour combattre, heureusement. Les loups noirs étaient démoralisés, ils avaient perdu leurs chefs, les rohirims qui les accompagnaient, il ne restait que la flèche d’or qui avait accepté de les gardés, il les avait acceptés car il repensait à l’amitié qu’il avait au début avec Gaaldor et puis il les aimait ces loups noirs, il avait promis à Gweolen de prendre soin d’eux, et puis c’étaient de grands combattants. La petite troupe s’enfonçait dans la Lothlorien, le magnifique pays de galadriel, sa reine, Maellas chevauchait avec les derniers cavaliers, il regardait autour et lança un regard à son chef qui compris. Il fallait qu’il aille voir Gétylen, il fit un mouvement de la tête et son gendre partit au galop, Avalon demanda pourquoi et quand son capitaine expliqua, il ne dit rien. Le contingent arriva bientôt vers une caserne elfe, la, les cavaliers mirent pied à terre, et les autres enlevèrent leurs armures et nettoyèrent leurs armes. Il fallait les réparer. Mais pour Ellenden, il n’en était rien, à peine rentrer qu’un messager de la reine vint l’appeler, il était attendu. Il monta le plus vite possible et s’agenouilla devant ses seigneurs. Celeborn le fit relever et déclara :

« Ellenden, tu as toujours été loyal, nous te demandons encore une fois de partir en guerre, en Harad, je sais nous t’en demandons beaucoup, mais le temps passe vite et nous devons agir tant que nous le pouvons. Une armée elfique viens d’arriver, elle vient de Fondcombre et un certains Noldri, vous le connaissez et je sais qu’il vous obéira sans dire quoi que ce soit, vous êtes le mieux placés. Acceptez-vous ?
_Mes soldats sont épuisés, décimés, les ents sont fatigués, même eux. Je demande un jour de repos, juste un jour et nous partirons après. Vos paroles seront toujours des ordres seigneur. Mais laissez nous dormir.
_Soit, tu as perdu beaucoup de troupes certes, mais nous allons y remédier, ce soir tu trouveras une armée elfe devant toi,, elle sera dans la caserne d’où tu viens d’arriver. Mène la à la victoire !
_Mais ou dois-je aller ?
_Noldri le sait, suit le, il sera la demain matin à l’aube.
_A vos ordres. A bientôt mon roi. »

Heureux, il était heureux, cela faisait bien longtemps qu’il ne l’avait été, Noldri, cet elfe qui l’avait aidé à défendre Fangorn, un ami et un grand guerrier. Il s’empressa d’aller à la forge, il donna son armure, son épée, sa cotte de maille, bref son équipement entier, il demanda à ce qu’il soit préparer pour le lendemain, réparer et lavée. Puis il donna aussi son carquois, il était vide et il demanda à ce qu’on le remplisse de flèches. Ensuite, il partit à la caserne, ses vétérans étaient tous la, sauf Maellas. Ellenden cria :

« Soldats, donnez vos armures et armes aux forgerons, nous partons demain, ne perdons pas de temps.
_Mais, chef nous venons de rentrez.
_Je le sais, c’est pourquoi je vous ordonne d’allez voir vos familles et de vous reposez longuement. Demain à l’aube, nous serons en route.
_A vos ordres ! »

Les premiers nés se dépêchèrent, un lot d’armures et d’épées étaient posé devant les forges et les forgerons durent travailler sur ces pièces en priorité. Seul les ents étaient mécontent, ils étaient fortement amoindris, mais ils savaient que c’étaient pour détruire le mal, alors ils ne dirent rien mais Silfurbier lança un appel. Il fallait du renfort et à deux ents, ils auraient eu du mal. Avalon partit voir sa femme, son fils et s’en alla à la caserne. Ellenden fit la même chose car il le savait, il avait besoin de les voir, il était mal sans eux, il n’était plus la même personne, il devenait un guerrier intrépide sans le moindre sentiment alors qu’avec sa famille, il devenait un papa poule malgré le peu de temps qu’il passait avec eux, il devenait gentil, agréable ne s’énervant jamais. Heureusement qu’ils étaient-la.
Il couru vers sa femme et l’enlaça fortement, cela faisait si longtemps, il ne l’avait vu depuis son départ lors de la guerre en rohan. Elle était inchangée, toujours aussi magnifique un peu plus triste mais toujours aussi belle. Son jeune fils marchait, il était grand et fort pour son âge, portrait craché de son père et étant une des seuls faille de celui-ci. Car Ellenden se serait jeté dans le feu juste pour que sa famille vive et sa, c’était le plus beau des sacrifices. Halan s’amusa avec Evelan, courant autour, ce chien la, il était unique, invincible, courageux, le plus loyal de tous les amis. Cela permis au moins a la flèche d’or de rester sel avec Lesian, enfin. Ils parlèrent longuement, profitant de chaque instant et puis, encore une fois, l’homme de la maison du la quitter, il fallait entraîner les nouveaux venus. Il partit, suivit par son ami vers la caserne. En armes, se tenaient ses nouveaux soldats.
Il vit une vingtaine de cavaliers, sept piquiers, trente archers et des haut-elfes et un noldor. Ils se présentèrent, beaucoup était jeune, d’autre avait peu près son âge mais ceux qui l’intéressait surtout furent le noldor et les haut-elfes, ses guerriers d’élites. La flèche d’or leur demanda de se préparer à s’entraîner, qu’il devait aller cherche ses vétérans et c’est ce qu’il fit, il parti chercher Avalon, ses deux derniers Noldors et son haut-elfe, mais sur la route il rencontra les loups noirs, ils ne comprenaient pas trop ce qui se passait, c’est vrai qu’ils avaient été un peu délaissé depuis l’arrivé en Lorien, mais Ellenden y remédia :

« Excusez-moi mes amis, j’ai été assez occupé, je vous ai oublié. Je vous demande pardon, j’ai promis de m’occuper de vous et je vous délaisse.
_Non, ce n’est rien, fit Tharin, tu as ta famille, mais que se passe t-il ?
_Celeborn m’a confié une mission, je dois partir en Harad, une mission très importante. Je n’avais pas prévu de vous y emmener car je peux y trouver la mort comme pour tous mes hommes et j’ai promis de prendre soin de vous.
_Nous viendrons avec toi, fit Gardor, tu as déjà pris soin de nous et tu ne peux nous retenir.
_Oui, nous t’accompagnerons en Harad même si nous devons mourir avec toi, tu es notre chef, fit Gweolen.
_Comme vous le voulez mes amis, en tous cas si vous voulez vous pouvez m’aidez ce soir, de nouvelle troupes viennent d’arriver et il faut les entraîner, vous connaissez les techniques de combat que nous utilisons, voulez vous nous aidez ?
_Bien sûr, firent les loups noirs. »

Ils arrivèrent donc devant les elfes. La troupe d’Ellenden paraissait peu noble mais leurs visages et leur physique montrait qu’ils étaient très forts. Les vétérans avaient des tuniques et des pantalons, leurs armes et armures étant au forge, les loups noirs eux avaient leur armure de cuir noir mais quand Ellenden avait proposé de leur donnée une armure, ils avaient dit non et ils ne voulaient pas qu’on touche à leurs armes. La flèche d’or fit les présentations et l’entraînement commença, on donna un bouclier, une lance et une épée à l’haut elfe, des épées et des arcs pour les noldors et pareil pour Ellenden. Les jeunes novices étaient déjà armés.
Les noldors s’occupèrent de l’entraînement des archers, l’haut-elfe et deux loups noirs a celui du noldor et des haut-elfes. Galog, Tharin et Gweolen entraînèrent les cavaliers. Karlin , Garlin, Araltor a celui des piquiers et le reste s’occupa des épéistes.
On leur apprit les formations de combat, offensive comme défense, on leur apprit à bouger avec agilité, a savoir se battre avec les deux mains, les archers visèrent mieux, avec plus de précision et plus loin qu’avant. Bref le niveau des soldats augmenta largement. On stoppa l’entraînement vers les deux heures du matin, il pleuvait et les étoiles offraient la seule lumière car la lune n’apparaissait que très peu en Lorien. ( voir le livre du seigneur des anneaux.). Ils étaient trempée de sueur et il luisait sous la lumière des étoiles. Ellenden ordonna au novice d’allez dormir et il resta longtemps seul avec ses vétérans car il proposa aussi aux loups noirs d’allez dormir ce qu’ils acceptèrent. Les noldors et l’haut elfe restaient la, silencieux tandis qu’ils se remettaient de l’entraînement. Quand ils reprirent leurs souffles ils dirent enfin :

« Frère, crois-tu vraiment qu’ils tiendront, tu sais que ce n’est pas une guerre normale, tu en as déjà fais une, tu sais en Harondor sa sera la même chose, tu nous l’as dit. Fit l’haut elfe.
_Je sais, j’espère simplement, j’ai pris de la maturité, nous sommes plus douées qu’avant et surtout plus nombreux donc j’espère.
_Espérez quoi ! Cria un noldor, la mort ! C’est peut-être la seule chose que nous gagnerons !
_Sa te gêne ! Dis-moi sa te gêne de mourir pour les tiens ! Hurla Ellenden.
_Non, mais mourir pour aidez des humains…
_Répète encore une fois sa et je te tue. Je te décapite, fit Ellenden, les Edains nous ont aidés à gagner, n’oublie pas Ëarendil, alors arrête, nous aiderons les descendants d‘Ëarendil un point c’est tout. Si tu ne veux pas nous aider, vas-t’en ! »

Le noldor ne répondit rien, il baissa simplement la tête, il était vexé et son égo était blessé mais il ne pouvait abandonner son capitaine. Le débat était clos et tous allèrent dormir, une grosse journée était prévue pour le lendemain. Ils dormirent profondément et ce furent les aboiements d’Halan qui réveilla son maître, celui-ci se lava, s’habilla et embrassa peut-être pour la dernière fois sa femme. Il sortit de sa demeure, suivit par son chien, il partit sans tarder à la forge, il devait être en armure. Il appela un des forgerons qui arriva essoufflé, des cernes se dessinaient sur son visage. Ils avaient dut travailler pendant toute la nuit pour remettre à neuf toutes les armures elfiques. Le forgeron apporta l’équipement du grand guerrier, ils étincelaient sous le soleil comme a leur premier jour. Sa cotte de maille était parfaite, son armure sans marque, son casque sans la moindre trace de choc et son épée, son épée la chose la plus splendide qu’il n’ait jamais portez, on l’avait juste nettoyez, mais elle était magnifie, d’un bleu parfait, elle luisait sous les reflets du soleil, prenant des teintes différentes, Ellenden ne put s’empêcher de remercier fortement le forgeron qui lui déclara que les autres elfes étaient venus peu avant prendre leurs équipements et qu’ils l’attendaient à la caserne. Alors la flèche d’or mit sa cotte de maille par-dessus sa tunique, il mit son armure, il accrocha son arc et son carquois dans son dos, il mit son casque et plaça son épée dans son fourreau, sur la ceinture de l’elfe. Il était prêt, aussi exciter que lors de son premier combat. Il partit donc vers la caserne, la, ses vétérans et les novices de la veille étaient déjà présents. Ils se levèrent dès l’arrivée de leur chef. Seul Avalon n’était pas encore arrivé, Maellas lui, il était déjà sur son cheval, prêts à partir.
Le second ne tarda pas à arriver, il dit bonjour aux soldats et se tint au coté de son chef, ils attendaient Noldri. Pendant cinq ou six minutes, on n’entendit rien puis, le son des sabots, des chants, des cliquetis des armures vint, ils n’étaient plus loin. Et on les vit bientôt, une immense troupe, enveloppés dans des grandes capes elfiques arriva, ils étaient au moins quatre cents. En première ligne venaient les hauts elfes de Noldri et lui-même, sur son cheval blanc, a coté de lui se tenait Haldri, son officier et l’ami d’Avalon. Le grand guerrier elfe souria lorsqu’il vit la flèche d’or, il stoppa son cheval , descendit de celui-ci et marcha vers Ellenden. Arriver a niveau, il tendit la main et Ellenden la serra et donna une petite tape dans l’épaule de l’elfe, ils étaient frère d’armes, le seul lien qui les unissaient et ils se respectaient mutuellement.
La bonne humeur avait envahit les rangs des elfes qui parlèrent entre eux, ont croirait même que c’était la paix. Mais ce n’en était pas le cas et Haldri le rappela, il calma certains elfe et Noldri déclara en parlant d’Ellenden:

« Mon frère, nous sommes désormais sous tes ordres, nous devons aller en Harad, et nous te suivrons,
Nous sommes en tout quatre cent quatre-vingt cinq, est-ce que t’es hommes viennent avec nous ?
_Oui, notre nombre est donc encore plus grand, probablement de six cent soldats, la victoire est nôtre mes frères. »

Au moment ou il parlait, cinq jeunes ents arrivèrent, il appris que deux étaient sous le commandement de Noldri mais les trois autres répondaient à l’appel de Silfurbier. La, ils étaient surpuissants, ils ne voyaient vraiment pas ce qui pourraient les vaincre et tous crièrent. Mais ils se calmèrent bien vite, on leur apporte des capes et tous en portèrent, les ents n’en avaient pas besoin, toute façon s’il ne bougeait pas on pouvait les confondre avec des arbres. Ils mirent donc tous en route et à première vu ils ne tarderaient pas à faire une autre rencontre car Noldri déclara que bien d’autres généraux y participeraient, un nain, un elfe et deux humains. Le nain, Ellenden n’en avait jamais entendu parler, pareil pour un des deux hommes mais les deux autres, ils les connaissaient surtout l’homme. Car c’étaient Arafin et Phoenixios, la flèche d’or ne c’était battu qu’une seule fois au coté de l’elfe mais deux fois au coté du rodeur qu’il avait appris à connaître et à beaucoup apprécié. Cette nouvelle redonna encore un surplus de bonne humeur à Ellenden, ces deux soldats étaient très forts, ils en avaient des dizaines et ils se connaissaient. La flèche d’or était heureux de retrouver à ses cotés le rodeur, lui qu’il l’avait aidé lors de la guerre du rohan. Alors il fit doubler l’allure, ils devaient arriver au lieu de rendez-vous où ils attendraient les autres gradés.


Dernière édition par ar-pharazon le Mar 15 Sep - 15:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeJeu 23 Juil - 14:39

Ils avançaient, en ordre de marche, passant parmi les arbres de la lorien , on les regardaient, cela faisait longtemps qu’un si grande troupe elfique n’avait été vue et cela émerveillais les galadrims. On leur jeta des fleurs, on les bénit mais à cela, les loups noirs n’eurent guère le droit, ils étaient un peu à l’écart, chevauchant derrière Ellenden, Noldri et les officiers. On ne les appréciaient pas trop, sans les détester seul les hommes de la flèche d’or les aimaient car ils avaient prouvé leurs valeurs et ils étaient très sympathiques. Leurs armures étaient noires, tachés et usée car ils n’avaient voulu les faire réparer, ils étaient l’opposé d’Ellenden en armure dorée et de ses Noldors mais pour autant, ils formaient tous deux groupes si solides et puissants que peu importait la couleur et l’allure des soldats. Ils ne se cachaient guère sous leurs capes car ici en Lothlorien qui voudraient essayer de les attaquer, même Sauron ne le pouvait pas. Le pouvoir de l’anneau de Galadriel ressemblait à celui de l’anneau de Melian, là où aucune créature de Morgoth ne pouvait passer. Ellenden était fier de lui, fier de ses troupes, fier de ses amis, jamais ils n’avaient eu le droit de commander un si grand nombre, ils les connaissaient alors ils avaient plus de chance et puis avec ses vétérans ils savaient que même devant la mort ils le suivraient. Ils étaient frère, frère d’armes, frères de cœur et pour certains frères de sang.
Quand la nuit tomba, ils étaient à la lisière est du pays, ils n’avaient pas parcouru beaucoup de chemin mais le lendemain, ils accéléreraient l’allure. En attendant, ils ne montèrent pas de camp, ils avaient prévu de dormir dans les arbres de la Lorien. Noldri et Ellenden décidèrent de se combattre, ils ne c’étaient pas vu depuis longtemps et la dernière fois, la flèche d’or avait eu le dessus.

« Avalon ! Maellas ! Faites continuez l’entraînement aux troupes, ils faut qu’elles sachent se battre le mieux possibles.
_A vos ordres chefs, firent Avalon, les Noldors et les haut-elfes.
_Oui père, fit Maellas.
_Haldri, haut-elfes, préparez l’entraînement des troupes avec Avalon. Plus nous serons entraînées plus facilement nous vaincrons.
_A vos ordres ! Tandis que tous les officiers et vétérans partirent en direction des novices.
_Faisons un concours mon ami, celui qui tirera le plus loin et avec le plus de précision gagnera et après celui qui sera le meilleur à l’épée. Si un de nous deux gagne les deux épreuves, alors on verra le plus fort. Je te présente aussi Halan, fit Ellenden en montrant le chien, je l’ai trouvé au Nord de la lorien, il affrontait des wargs et depuis nous sommes restés amis.
_Enchanté Halan, c’est un descendants de Huan à ce que m’a dit Avalon, tu as de la chance, allons commençons avec l’arc, je suis sûr de gagner.
_Oui, commençons, je ne suis pas autant sûr de ta victoire, déclara Ellenden en rigolant. »

Les deux amis s’alignèrent, prirent leurs arcs, l’un façonnés dans le bois de la lorien l’autre, Ellenden n’aurait pu le dire, il était argenté, avec des sigles elfiques dessus, il paraissait solide, très solide. Ellenden tandis la corde de son arc, le plus fort possible et les deux elfes trouvèrent un fruit, très, très éloignés et ils décidèrent d’essayez de le toucher. Les deux guerriers attendaient, visant, tendant longuement la corde et ils la lâchèrent. La flèche de Noldri partit plus rapidement et elle toucha en plein cœur du fruit tandis que celle d’Ellenden mit plus longtemps et ne toucha que le coté. La flèche d’or était époustoufler, il se souvenait d’avant et de la facilité avec laquelle il dominait Noldri dans ce domaine alors il lui demanda :

« Où as tu eu cet arc ?
_On me l’a offert pour service rendu vers les alentours de Fondcombre, il est pratique et préviens des embuscades.
_Comment sa ? Comment un arc peut-il prévenir d’une embuscade et puis-je le toucher ?
_Non, ne le touche pas, tu va te brûler, seul ma main peut le toucher, c’est bizarre mais je ne veux pas que tu te blesses. Ensuite, mon arc devient fluorescent quand il y a des ennemis, comme les épées des haut-elfes.
_Intéressant mais prête-moi ton arc. Ellenden prit l ’arc dans sa main mais le lâcha à peine une seconde plus tard, il cria de souffrance. Qu’est-ce qui se passe ? Regarde ma main est presque brûler.
_Je te l’avais dit, ne t’inquiète pas, cela ne durera pas longtemps et sa cicatrisera vite.
_Si tu le dis, fit Ellenden tandis qu’Halan léchait la plaie. Tu es le plus fort à l’arc, je te dis bravo mais à l’épée, la j’espère que je te bats.
_Très bien, je te préviens, je me suis améliorer.
_Oui, j’espère parce que le capitaine ourouk de la dernière fois était pas si fort que sa. Noldri ne put s’empêcher de gémir de mécontentement. »

Les deux capitaines dégainèrent tous les deux, l’épée de la flèche d’or luisa, illumina d’un bleu pale le grand guerrier, la lumière se reflétant sur l’armure dorée, bientôt Ellenden était entouré d’une aura bleu pale. Noldri en fut bouche bée, il ne savait quoi dire, son épée était bien pitoyable à rapport à son commandant cependant elle n’en était pas moins ravageuse. Ils se mirent face à face et le duel commença : L’elfe de Fondcombre chargea en premier, pointe en avant il essaya d’embrocher son ami, bien entendu, Ellenden contra l’attaque, se décala sur le coté et donna un coup de poing à son compagnon pour le déstabiliser, mais cela ne marcha pas, dès que Noldri avait vu la flèche d’or contrer et se décaler, il fit une roulade et se releva un peu plus loin. Leur combat dure longtemps, très longtemps, les deux premiers nés étaient trempés de sueur et tremblant de fatigue, pourtant aucun des deux ne voulaient lâcher l’affaire. Ellenden décida de charger, il frappa dans tous les sens de toutes les manières possibles jusqu'à qu’il réussit à désarmer ce cher Noldri, les deux gradés s’assirent sur un tronc d’arbre et la flèche d’or déclara en riant :

« Tu vois, je suis toujours le meilleur.
_Grrr, fut le seul son qui sortit de sa bouche. »

Ils ramassèrent leurs armes et partirent voir leurs officiers et soldats qui s’entraînaient, se poussant à leur maximum. Ils étaient tout trempés de sueur, épuisés, certains saignaient, mais tous continuaient sans se poser la moindre question, dans un vrai combat, ils serraient mort. L’entraînement continua, redoublant d’intensité et il ne s’arrêta que très tard dans la nuit, ils dormirent sous les arbres. A l’aube, ils se remirent en marche, la fatigue de la veille ne se ressentait plus, enfin par pour les vétérans. Ils quittèrent la lisière des bois dorés et ils s’enveloppèrent dans leurs capes. Les elfes avançaient rapidement, malgré l’immense armée qu’ils avaient, Ellenden décida d’envoyer tous ses cavaliers en éclaireurs, il fallait assurer le terrain. Ils avaient parcouru une centaine de kilomètres vers le sud lorsqu’un de ses cavaliers qui étaient partis au Nord revint, il était épuisé par une course rapide et déclara après plusieurs minutes :

« Chef, des soldats au Nord, ils sont peut-être une cinquantaine mais ils nous suivent ou emprunte la même route que nous. Ils seront la dans quelques heures.
_Et bien attendons-les. Soldats ! Faites un camp ! Je veux en tous soixante-quinze archers et mes vétérans ! Venez avec moi ! Cria Ellenden. »

La troupe s’arrêta donc, monta un camp de fortune et les archers avec la flèche d’or attendirent, le cavalier lui était repartit en éclaireur. Il revint quelques heures plus tard, déclarant qu’il était suivi par la même troupe que tout à l’heure. Alors les archers prirent une flèche dans leurs carquois, tout comme Ellenden, les Noldors et Noldri et ils attendirent, visant à l’endroit où les ennemis ou amis allaient arriver, la flèche d’or avait sa petite idée sur les nouveaux venus, cela devait être ce cher Arafin et Sigmin le nain, qui d’autre aurait pu venir du Nord. Ils attendirent longtemps, puis, une colonne d’archers de la forêt noire apparues, devant se tenaient cinq nains et un grand elfe. Ils s’arrêtèrent et l’elfe parla :

« Vous êtes donc les alliés donnez par maître Elrond. Heureux de vous rencontrez.
_Je suis moi aussi heureux, Arafin n’est-ce pas ? Et je suppose Sigmin.
_Oui, tout à fait, déclara le nain, comment ce fait-il que vous connaissiez nos noms ?
_Pour ma part, il connaît plus que mon nom, fit Arafin.
_C’est exact, répondit Ellenden, je connais vos noms car on m’a prévenu de votre participation et en vous voyant j’ai supposez que c’était vous. Et, oui Arafin, nous nous connaissons, nous avons fais la bataille en Harondor, vous vous souvenez ?
_Oui, une défaite… Je ne m’en souviens que trop. Nous avons eu beaucoup de difficultés et perdu Munok.
_Oui, une triste perte, lâcha le nain.
_On m’a donné le commandement de l’armée j’espère que sa ne vous dérangent pas.
_Non, non c’est bon, nous obéirons à vos ordres firent les deux gradés.
_J’ai une question : Où sont les autres nains ? Demanda Noldri.
_Ils sont encore vers le Nord, ils vont moins vite que les elfes et je n’ai pu emmener avec moi que mes quatre plus fidèles et plus endurants soldats.
_D’accord, continuons notre route, ils nous rejoindront en Harad, déclara Ellenden, ils savent où aller, n’est-ce pas ?
_Oui il n’y a pas de soucis à se faire, fit Sigmin.
_Bien, alors en route ! »
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeMer 29 Juil - 13:08

Les nouveaux venus se fondirent dans les rangs de l’armée du bien, si belle, si grande, cela faisait des années qu’on avait pas vu autant d’elfe en armes. Ils décidèrent de resté sur la rive ouest de l’Anduin, ils y seraient en sécurité et moins proche de Dol Guldur. Ils marchèrent toute la journée , ne s’arrêtant même pas pour manger et boire. Quand le soleil commença à disparaître ils décidèrent de s’arrêter, de monter un petit camp. Tous se reposèrent , la marche avait été difficile. Les nains avaient vite été accepté dans l’armée, ils étaient drôle et connaissaient beaucoup de chose et puis après tout, les premiers et les nains faisaient partis des plus anciennes races, les plus fortes de toutes. Même si les nains furent crée avant . On fit un feu de camp et tous chantèrent et dansèrent, les gradés eux s’entretinrent longuement :

« Je veux passer par Cair Andros, j’y connais du monde et puis on y sera en sécurité, déclara Ellenden.
_Non, on sera trop voyant et puis les orcs harcèle cette forteresse, plutôt par l’Anorien et Minas Thirit, la on sera sûr. Déclara Arafin.
_Je suis d’accord avec l’elfe, fit le nain, l’Anorien est la meilleur route. Et vous Noldri ?
_Je ne connais pas cet région, je choisirais la route que vous prendrez, excusez moi je dois allez me reposez.
_Alors passons par l’Anorien. A Noldri, il es jeune, mais il est très fort, ne vous inquiétez pas, je le connais bien, je me suis déjà battu auprès de lui. Je connais sa valeur.
_Nous ne nous inquiétons pas, fit le nain, si un elfe est appelé au combat c’est qu’il est fort au combat, regardez vous , vous valez plus d’un soldats.
_Merci, firent les deux elfes un peu gêné.
_Au faites, comment connaissiez vous Munok cher nain ? Demanda Ellenden, je savais qu’Arafin le connaissait mais pas vous.
_Je le connais très bien, c’est un ami de mon peuple, un de mes meilleurs amis. Fit-il, il a disparut depuis votre bataille en Harondor et je veux le retrouver. J’espère le trouver en Harad.
_Je vois, mais vous le connaissiez depuis longtemps ?
_Assez, je sais qu’il est orphelin comme tout le monde, il a été élevé par des elfes et j’espère qu’il m’apportera des réponses.
_A bon. Mais à quel sujet ?
_Cela ne vous regarde pas, répondit sèchement le nain.
_Excusez moi alors cher nain, répondit Ellenden, je ne pensais pas que c’était aussi personnel.
_Ce n’est rien, vous le saurez plus tard .
_Bien, allons nous coucher ,déclara Arafin, mon corps est las, il faut que je me repose.
_En effet, acquièrent les deux autres gradés. A demain. »


Il vit les deux gradés partirent vers leurs troupes et dormirent, lui, il n’avait pas encore totalement envie de dormir, il voulait parler à haldri car son comportement envers Noldri lui paraissait bizarre.
Il s’approcha u second du grand guerrier de l’Ouest, celui-ci vit Ellenden, il fit un signe de révérence et déclara :

« Que voulez-vous commandant ?
_Que se passe t-il avec Noldri ?
_Comment sa ? Que voulez-vous dire ?
_Je trouve que ton comportement est insolent envers ton supérieur et ami, que t’as t-il fait, ou qu’as t-il fait pour que tu sois en colère contre lui ?
_Il sait laisser aller, il a laissé les troupes sous mon commandement tandis qu’il s’amusait et se reposait. Je n’ai pas accepté.
_Tu sais, il faut aussi avoir du temps libre pour se construire, du temps libre pour se crée une famille et une vie après la guerre. Elle ne durera pas jusqu'à la fin mon ami, toi aussi tu devrais arrêter de te surmener comme cela, je sais que tu fais sa en pensant faire bien, en voulant sauver le plus d’elfes possibles et je te comprends puisque je suis pareil. Mais quand je suis en lorien, n’imagine pas que je reste près de mes hommes a les pousser à s’entraîner.
_Que faites-vous alors ?
_J’ai une famille, j’offre des jours de repos a mes soldats pour qu’ils puissent voir la leur et une a deux fois par semaine ils sont convoqués pour un entraînement collectif. Histoire de pas perdre la main.
_Mais, si on ne devient pas plus fort, on ne pourra pas vaincre !
_Nous sommes la pour sauvé la terre du milieu certes mais nous ne sommes pas seuls, les nains de l’Est défendent vaillamment l’Erebor et leur terres et il faudra à Sauron une plus grande puissance pour les vaincre. Il y a aussi les hommes en qui nous devons mettre tout notre espoir. Gandalf les aident beaucoup et sa sagesse vaut mille rois et reine des temps anciens.
_Vous paraissez sur de vous, comment pouvez-vous être aussi confiant ?
_J’espère tous simplement, on m’a dit que l’espoir viendrait des hommes et j’espère que ces paroles sont vraies. En attendant calme-toi envers ton supérieur, pardonne-lui son manque de rigueur et toi aussi prends du repos.
_Merci de m’avoir conseiller commandant.
_Le plaisir fut pour moi, allez bonne nuit. »

Ellenden partit cette fois-ci dans sa tente, soulagé et heureux d’avoir pu aidé ces compagnons. Il retrouva Halan qui dormait dans la tente. La flèche d’or s’allongea et s’endormit sans perdre une seconde, il ne fit aucun rêve ni cauchemar ce qui était plutôt bon signe. Tous les soldats se réveillèrent à l’aube, ils fallaient se dépêcher. Ils marchèrent en silence, réfléchissant, méditant, ils traversèrent le Limlaith après avoir trouvé un gué, cela ne leur prit guère longtemps. Ils allaient vite et avaient eu la chance de ne rencontrer aucun ennemi, ils arrivèrent bientôt en vue d’Emyn Muil même si c’était encore loin. Ainsi, les elfes quittèrent la route pour suivre le chemin d’Arafin, l’Anduin ne protégeait plus, ils fallaient faire plus attention.Ellenden ne voulut pas s’éloigner de la protection qu’apportaient ces montagnes, il fit passer ses troupes par un chemin accidenté, sa traversé se fit en plus d’une journée. Cela les fatigua mais quand ils arrivèrent enfin au bout du chemin, les plaines du Rohan s’entendaient à leur pied. L’Est Emnet s’étendait à l’Ouest et au Sud, tandis que droit devant eux, ils purent distinguer les arbres de la bouche de l’Entalluve. La flèche d’or apprit tout cela du nain qui connaissait parfaitement cet endroit de la terre du milieu. Une journée fut nécessaire pour les atteindre, mais ils durent traverser le delta à travers des marécages, ils mirent plusieurs jours pour trouver des gués praticables et ainsi traversés les bouches. Mais quand enfin, ils arrivèrent au bout de leur traversé, se tenaient devant eux une compagnie d’orc. Les elfes étaient fatigués, mouillés et ils n’avaient pas vu venir ces immondes créatures, même Halan qui avait un flair très développer ne les avaient pas senti. Heureusement pour eux qu’ils n’étaient que cinquante. Ellenden fit mettre les archers en première ligne, lui aussi se mit en première ligne avec Noldri, ils bandèrent leurs arcs et lâchèrent une première volée pour effrayer les orcs. Mais cela ne fonctionna pas et les orcs chargèrent, quels idiots, ils se firent massacrer, les flèches tombèrent dru et elles transpercèrent les créatures de Morgoth. Après cet rapide et petite victoire, la flèche d’or ordonna à ses troupes de récupéré leurs flèches, ils ne pouvaient se permettre de laissé plus de deux cents flèches sur le terrain.
Après cette courte pause, ils reprirent la route. Ils n’eurent plus aucun problème jusqu'à leur approche de Minas-Thirit, la cité des rois dunedains, dernier rempart des humains contre Sauron. Les elfes et les nains auraient enfin pu se reposer, enfin s’allonger dans un lit pour passer une vraie nuit de sommeil. Un cavalier arriva du Rammas Echor, le mur d’enceinte qui entourait la cité a ce qu’avait dit Sigmin et Arafin, il apporta un message :

« Bonjour a vous chers alliés du Nord, l’intendant vous informe que les troupes Gondoriennes sont déjà en route pour la citadelle et quelles vous attendent. Vous devez absolument continuer votre route.
Des provisions vous sont destinées dans le port d’Harlond, là, vous devrez prendre des transports pour rejoindre Pelargir et vous devrez continuer à pied jusqu’au campement de Pheonixios. Adieu maîtres elfes et maître nain, que la chance vous accompagne. »

Et le cavalier repartit vers le mur d’enceinte. Cette nouvelle mit en colère les officiers car ils avaient prévu de se reposer à Minas-Thirit. Sigmin donna des informations sur le Gondor à Ellenden qui appréciait de connaître plus de chose sur ses alliés, il apprit par exemple que personne n’avait jamais réussit à passé les portes de cette cité, que les gondoriens faisaient partis des meilleures troupes de la Terre du Milieu , mais sa, il le savait déjà. Mais il apprit bien plus du nain sur les guerriers du royaume du sud, par exemple que ceux-ci portaient des armures lourdes, qu’ils savaient combattre avec toutes sortes d’armes mais surtout à l’épée et à l’arc ou ils étaient experts. Leur cavalerie elle aussi était redoutable surtout lorsque les alliés du rohan arrivaient, la, elle devenait la plus puissante de la Terre du Milieu, les fils d’Elros alignaient aussi de redoutables engins de siège mais n’avaient aucune catapulte, ni balistes sur les murs de Minas-Thirit. Les murs du premier niveau étaient par ailleurs tellement bien construits qu’ils étaient indestructibles. Il y avait aussi parmis les rangs des descendants d’Isildur les fiers rodeurs, dont Ellenden avait déjà vu l’incroyable efficacité de ceux-ci, et il espérait voir Phoenixios, son ami et compagnon d’arme. L’elfe apprit que les différents territoires que contrôlait Denethor avaient eux aussi lors propres armés, plus ou moins nombreuses et compétentes mais parmis laquelle se tenaient les plus beaux chevaliers du sud, les chevaliers de Dol Amroth. Sigmin était déçu car il ne verrait aucun de ces fiers soldats puisque l’armée elfique descendait en Harlond, a quelques kilomètres au sud de l’ancienne capitale Osgiliath maintenant en ruine. Lorsqu’ils furent à moins d’un kilomètre de la cité, un groupe de cavalier arriva vers eux, le plus grand d’entre eux s’approcha et déclara :

« Que font des centaines d’elfes et six nains sur les terres du Gondor ?
-Nous nous rendons en Harondor, selon la demande de votre Intendant, déclara Ellenden.
-Vous êtes les renforts demandés par Denethor ? Questionna le cavalier.
-C’est ça, acquiesça l’elfe. Le commandant Noldri vient avec les troupes de Fondcombe, le sergent-chef Arafin arrive de la Forêt Noire en compagnie du capitaine Sigmin d’Erebor, et moi-même ais quitté la Lothlorien pour venir à vôtre secours.
-Nous aurions très bien pu nous débrouiller seuls, mais les capitaines Boromir et Faramir ont insisté auprès de leur père pour faire venir des renforts.
-Vous pensez pouvoir reconquérir la forteresse, alors que vous ne parvenez pas à garder le contrôle de votre propre ville ? demanda Noldri. »

Noldri parla trop vite et sans réfléchir, le gondorien allait défier l’elfe qui aurait de toute façon remportée le combat quand le chef nain s’interposa. Ellenden put voir Arafin sourire tandis que lui-même était heureux qu’un nain défende un elfe.

« Messieurs, enfin, calmez-vous ! Nous sommes des soldats, et nous nous battons du même côté, ce n’est pas le moment de se quereller ! Je vous conseille une bonne poignée de main, et nous n’en reparlerons plus, continua-t-il.
-Quand vous sortirez un peu plus de vos cavernes, alors peut-être vous écouterais-je, lança le cavalier en repartant vers ses hommes. »

Le capitaine nain prit sa hache et allait charger lorsque la flèche d’or s’interposa, il ne voulait pas que Sigmin se blesse et ne voulait pas que la mort de tous ces cavaliers puissent en emmener d’autre. Il déclara :

« Ce n’est pas le moment d’entrer en conflit avec le Gondor. Rappelez-vous que nous sommes venus nous battre pour eux, mais seulement certains soldats voient ça comme une marque de faiblesse de la part de l’Intendant. Si ce sont Boromir et Faramir, deux capitaines valeureux et réputés, qui ont fait cette demande, c’est qu’il était nécessaire que nous venions. Nous voilà à Osgiliath, ce n’est plus le moment de rebrousser chemin. Alors ne faites plus attention à eux, et continuons jusqu’à Harlond. »
Tous les officiers acceptèrent et tous reprirent la route, ils passèrent par l’ Ouest pour éviter les combats entre les orcs et les soldats de Denethor qui durait depuis mille ans déjà. Ellenden marchait en tête avec Arafin, les nains et les autres officiers, ils restèrent un peu silencieux et la flèche d’or écouta la conversation des nains qui parlèrent des engins de sièges et cela l’intéressa beaucoup. Il l’écouta plus attentivement et se rapprocha des nains:

« Des engins comme ceux-ci sont très destructeurs, ils feraient des merveilles dans notre armée.
_Ils sont surtout très encombrants, répondit Hemli. Je préfère nos modèles de balistes, mais j’avoue que quelques unes de ces armes seraient utiles en cas de siège.
_En cas de siège ? Tu veux dire pour attaquer, ou pour défendre ? demanda Sigmin.
_Eh bien, je crois que les tours de Minas Tirith sont coiffées de ces pièces. Si nous devions attaquer, un modèle plus mobile et moins grand serait préférable.
_Je crois aussi, mais je trouve aussi que nos balistes n’ont rien à envier à ces engins de sièges. Elles restent parfaitement capables de briser le crâne d’un troll ou de faucher plusieurs rangs d’orques, répondit le capitaine nain. Les elfes utilisent-ils des armes de siège ? Demanda Helfin en ayant aperçu la flèche d’or.
_Très peu, déclara l’officier. La Dernière Alliance comptait quelques catapultes de conception elfique, mais jusqu’à présent, les rares à être encore en état ne nous étaient d’aucune utilité : nous nous contentions de défendre nos territoires avec des armes plus « conventionnelles ». Il semblerait toutefois que la guerre réclame de nouveau des engins tel que les nôtres, et nous saurons les manier si le besoin s’en fait ressentir.
Pouvez-vous m’expliquer comment sont construites vos armes de sièges ? Elles sont réputées vous savez."



Un des nains prit plaisir a expliquer à la flèche d’or tous sur les engins de sièges nains. Son père avait été ingénieur et constructeur d’un grand nombre de ces machines, plus grande que les balistes des bateaux gondoriens, elles étaient aussi beaucoup plus puissantes et elles étaient plus difficiles à déplacer car plus lourdes et cela malgré les roues qu’ils y avaient fixé. Le nain parla ensuite des genres de munitions propices à ses balistes.
Comme s’en doutait Ellenden, il y avait des javelots, l’arme principal que tous le monde utilisent, personnellement, l’elfe préférait les rochers qu’envoyaient les balistes gondoriennes, moins précis mais plus puissant et meurtrier. Hemli parla ensuite de la nouvelle sorte, un genre de petit boulet en acier, de la taille de leur tête et qui faisaient un mal fou à l’ennemi. Lancés à une grande vitesse, ses boulets arrachaient la chair avec une facilité impressionnante, démembrant les gobelins et les orcs sans la moindre difficulté, elles étaient parfaites pour ce genre de monstruosité, c’était une arme sadique et le nain expliqua à quel point ils étaient heureux et amusé en voyant leurs ennemis tombés en morceaux. La conversation dura tout le trajet jusqu'à Harlond ou les navires les attendaient.
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeJeu 3 Sep - 14:39

Ce port était construit à la limite du Rammas Echor, il servait d’étape aux navires remontant des fiefs du Sud, et ses appontements et embarcadères étaient pleins de marchandises et de cargaisons déchargées des bateaux. C’est ce qu’apprit Ellenden de la bouche de Sigmin et il en apprit encore plus :
Les corsaires attaquaient souvent par ici et cela avait décourager les marchands et autres, et les bateaux étaient moins nombreux qu’a l’apogée de ce port. Les officiers du bien arrivèrent devant l’entrée et ils durent attendre avant qu’on ne leur ouvre la porte…Des gardes la leur ouvrirent et un de ceux-ci les emmena jusqu’aux embarcations. Là-bas, un Delior, commandant de la flotte gondorienne les attendaient. La flotte du royaume du sud ne valait plus rien à ce qu’elle avait été sous le jour d’Ar-pharazon( obligé de la faire celle-la :p) elle était composé d’un nombre minime de vaisseaux et ils étaient moins beaux qu’avant. Le commandant sachant que les elfes devaient traverser au plus vite proposa d’embarquer directement, pour la discussion, il la ferait pendant la traversé. Les troupes de la flèche d’or et d’Arafin montèrent sur les trois transporteurs déjà a quai avec une cinquantaine de soldats de Noldri, ils mirent en tous cinq heures pour que toutes les troupes elfiques soient sur les transporteurs. Les officiers avaient été conviés sur la frégate de Delior, Ellenden donna quelques ordres à Maellas et Avalon et s’en fut, suivis d’Halan sur la frégate. Elle se nommait : Harlond Pride et Ellenden fut heureux de voir les cinq nains, il ne voulait de toute façon pas les laisser seuls avec des centaines d’elfes.
Et la flotte prit la route, Ellenden appréciait le calme de l’eau, il avait vu des mouettes et l’envie de Valinor le prit et il se dit comme la plupart de ses soldats : « Mon rôle est de protéger la terre du Milieu, de me battre pour elle, je partirais si je suis en vie quand la paix sera venue » La flèche d’or savait qu’elle ne serait plus en paix avec elle-même avant d’avoir vu les terres immortelles. Les deux frégates étaient en tête, suivis des cinq galères, le vent était leur alors ils allèrent plus vite. Puis lorsque la nuit tomba, on aperçu des feux assez loin pour l’instant de la flotte. Délior posa une question à son second :

« Capitaine, avons-nous des navires en provenance du Sud en ce moment ? »
-Pas que je sache mon commandant.
-La capitainerie ne nous rien dit ?
-Pas que je sache mon commandant.
-Et vous n’avez rien sur votre carnet ?
-Pas que je sache mon commandant.
-Et vous savez dire autre chose capitaine ?
-Pas que je sache…. »

Ellenden vit bien l’agacement du commandant qui allait gifler son second lorsque Arafin déclara :

« Capitaine ? Jusqu’à présent, les navires gondoriens ne brûlent pas des corps attachés sur la proue ?
_Non maître elfe. Mais comment avez-vous pu voir cela ?
-C’est un elfe, voyons, répondit Sigmin.
-Cela semble clair maintenant : les navires en approche n’ont rien de gondorien, au contraire.
-Des corsaires sûrement. Combien en voyez-vous, maître elfe ? demanda Delior.
-Trois de tailles semblables à vos galères, et un plus gros, sûrement une frégate.
-Nous avons au moins l’avantage du nombre. Capitaine, prévenez les autres navires : ennemis identifiés : trois galères, une frégate. Qu’ils soient prêts à tirer »

Ellenden s’aperçut enfin du corps brûlé à la proue du navire, c’était immonde. La flèche d’or vit le lieutenant de Délior faire passer le message aux autres navires grâce à un ingénieux systèmes de lanterne. Les réponses ne se firent pas attendre, tous étaient prêts au combat.

« Capitaine, instructions de combat : le Waves et le Harlond engageront la frégate, par bâbord et tribord. Cependant le Waves reste en retrait jusqu’à l’abordage du navire ennemi. A son tour, abordage une fois à portée. Kusak et Derin s’occuperont de la galère à tribord. Riker, Ardo et Cynnor attaqueront celles de bâbord. Priorité aux tirs, pour une fois que nous avons l’avantage du nombre, il faut en profiter ! »

A nouveau les instructions furent transmises par le système de lanternes et les bateaux dépassèrent le navire de Délior et l’autre frégate qui engageaient la frégate ennemie. Les gondoriennes tirèrent en premier, leurs projectiles enflammés faisaient des dégâts chez les corsaires. Leur riposte fut immédiate et pendant un certain temps, le combat se passa à distance entre les tirs de balistes. Un cri se fit entendre du haut du mat principal :

« Notre adversaire est le Shadows Hunter ! »

Délior raconta aux officiers ce qu’ils savaient sur le Shaduws Hunter : Il était commandés par Cilas, un grand capitaine corsaire qui avait pour habitude de faire brûlé les corps des capitaines des vaisseaux qu’il attaquait. Le commandant gondorien déclara :

« Nous allons venger tous les capitaines qui se sont retrouvés à cette place. Cilas a fait une grosse erreur en prenant une escorte aussi peu nombreuse. »

Il regarda les officiers et :

« J’aurais voulu vous demander de vous mettre à l’abri, mais notre cible est trop importante : aidez-nous à combattre le Shadows Hunter.
-Avec joie commandant, répondirent tous les officiers. »

Tous les officiers sortirent leurs arcs et se placèrent sur la proue. Ellenden voyait bien et il put facilement distinguer quelques corsaires qu’il réussit à abattre. Noldri , Arafin et lui-même firent tomber une dizaine de corsaire tandis que les nains , eux qui voyaient moins bien attendaient de voir une cible. Les navires furent bientôt alignés et les guerriers s’étaient positionnés à tribord et avaient du subir une volée de flèches qui avaient fait plusieurs victime. Les grappins furent lancés et quand les navires furent finalement assez prêt, l’abordage commença. Quelques corsaires atteignirent le pont de la frégate mais ils furent facilement éliminés par Sigmin et ses nains. Tandis qu’Ellenden et les elfes lâchaient encore quelques flèches, ils virent les gondoriens attaqué à leur tour, une trentaine à peine qui arriva bientôt sur le navire ennemi. Les soldats étaient armés d’une armure légère, d’un petit bouclier et d’une épée courte, un bon équipement pour ce genre de combat, ils se retrouvèrent face à des pirates mal équipés et les combats au corps à corps s’enchaînèrent.
Les ordres de Délior se firent rapidement entendre :
« Accrochez d’autres grappins, tirez sur les cordes et jetez l’ancre ! Il faut l’immobiliser ! Que le Waves se rapproche, tirs sur les voiles et la coque, pas sur le pont. Une fois abordées, qu’il jette l’ancre et lance le plus de grappins. Cilas n’avait pas prévu ça ! »

Une torche avait été envoyée sur le foc du navire ennemi qui c’était enflammé. Le navire ennemi était en très mauvais état mais les corsaires se battaient avec ardeur et une vingtaine se tenait encore sur le pont et les nains avaient du mal a les repousser malgré l’aide des gondoriens. Arafin, Noldri et Ellenden tirèrent trois flèches qui firent tomber deux corsaires et ils dégainèrent, leur arrivé auprès des nains sonnèrent la fin des corsaires, déjà surpris par la vue des nains, mais voir des elfes en plus les avait définitivement envoyé à la mort. La venue du Waves Trainer engendra une grande confusion et une grande crainte chez les corsaires, ceux qui c’étaient dépêchés pour voir la nouvelle frégate furent éliminés d’une volée de flèches. Un deuxième contingent de gondoriens arriva donc sur le navire corsaires et les occupants de ce navire furent pris entre le marteau et l’enclume et n’avaient aucune chance de survie, les derniers pirates se réfugièrent dans la cale ou à la proue et à la poupe. Le sergent du Waves attaqua ceux réfugiés à la proue et le sergent du Harlond attaqua ceux de la poupe et il ne resta plus que Cilas et quelques-uns uns de ses lieutenants qui se battaient encore près de la barre. Delior et ses hommes arrivèrent bientôt devant le commandant corsaire et le gondorien laissa une dernière chance a celui-ci :

« « Une chance encore de te rendre, Cilas ! Ton navire va couler, tes hommes sont morts, tout est terminé !
-Plutôt mourir ! répondit le corsaire. »

Et il moura car à peine car trois épéistes le transpercèrent avant qu’il ne puisse toucher Délior
Les derniers corsaires furent abandonnés à la mort car les gondoriens continuèrent à détruire le navire ennemi et ainsi celui-ci coula emmenant son équipage dans les abîmes. Les officiers n’avaient rien, ni aucun des nains et cela était encore mieux. Le voyage reprit donc et ils arrivèrent à Pelargir le lendemain midi. Ils mirent une heure à tout décharger et une heure de pause et de repos fut accordez à tous car ils en avaient besoin. Ils remercièrent Delior pour ce voyage mouvementé mais qu’ils leurs avaient plus. Les gués de Poros furent leur dernière étape et ils l’atteignirent le lendemain. Là, ils s’arrêtèrent devant les tombes de deux grands rohirims, deux princes et Ellenden eut enfin la chance d’apprendre quelque chose au nain , car en Rohan, il avait appris par la bouche de quelques personnes que ces deux princes étaient morts suite à une grande bataille contre les orientaux ou ils sortirent vainqueur mais pas entier. Pendant que l’armée traversait le pont, Sigmin aperçut des silhouettes de soldat, alors la flèche d’or dépêcha des archers, ces silhouettes se rapprochèrent et les elfes s’aperçurent en fait, notamment Arafin, qu’il s’agissait de rodeurs de l’Ithlilien pourtant peu habitué à ce genre de terrain. Les archers baissèrent leurs arcs et Ellenden allait s’apprêté à parlé mais un rodeur le fit avant :

« Bienvenue en Harondor, elfes ! Ce magnifique pays vous offre des cailloux, du sable, et des cailloux. Mais vous attendent aussi de magnifiques combats contre les Haradrim du Sud, ou les renégats de la Citadelle.
-Ainsi vous connaissez la Citadelle ? demanda la flèche d’or.
-A vrai dire, nous somme là pour ça. Cela fait maintenant cinq jours que nous vous attendions. Phoenixios nous a chargé de vous guider jusqu’à la Citadelle, il est déjà là-bas. Il sera heureux de voir autant d’elfes se porter à son secours ! déclara un des gondoriens.
-Et des nains ! lança Sigmin, qui sortit des rangs des elfes pour se présenter aux rangers. Des nains messieurs du Gondor. Nous ne sommes peut-être que six à se présenter devant vous, mais en ce moment même un détachement fort de cent guerriers de ma race marche pour nous rejoindre, et ne tardera pas à arriver jusqu’ici.
-Phoenixios sera content de vous revoir, maître Sigmin, lui répondit le premier ranger.
-Vous connaissez mon nom ? demanda l’intéressé.
-Le capitaine nous a beaucoup parlé de vous. Il nous a dit que si nous rencontrions un nain tout d’or vêtu, ce serait le sergent Sigmin d’Erebor.
-Et bien ça sera capitaine Sigmin, maintenant. J’irais lui dire moi-même. Lui aussi a prit du galon si j’en crois mes oreilles.
-Effectivement, tout comme vous il est capitaine et mène quatre-vingt-dix d’entre nous dans les combats les plus dangereux qu’il peut y avoir.
-Les humains exagèrent toujours un petit peu, glissa Arafin à l’oreille de Sigmin, qui esquissa un sourire.
-Il est temps de repartir, rangers ! déclara Ellenden. Guidez-nous jusqu’à la forteresse ennemie, que nous puissions rencontrer nos alliés et jauger nos ennemis. »

L’immense armée se mit en marche et ils s’arrêtèrent plusieurs fois pour se rassasier dans des oasis et surtout pou les chevaux. Les rangers déclarèrent qu’il y avait un petit ruisseau et qu’il ne manquerait donc pas d’eau.
Alors que les troupes se rapprochaient de la forteresse, le ciel s’assombrissait, et les nuages grossissaient, comme ci le centre de l’orage était au-dessus de la place forte. Cela semblait inquiéter les hommes, et même Arafin se prit à trembler, alors que Sigmin lui-même n’était pas très rassuré. Les cieux étaient maintenant noirs au-dessus de leur tête, et l’orage commençait à gronder. On pouvait maintenant distinguer les détails du terrain : une ceinture de montagnes, seulement percée d’une étroite faille qui conduit à une plaine intérieure. Adossée au massif sud, se dresse, froide et solitaire, la Citadelle Noire du Seigneur Alkin. Les rodeurs emmenèrent les soldats jusqu’au campement de Phoenixios mais quelque chose n’allait pas, il avait été déplacé et ce fut d’autres rodeurs qui vinrent les chercher. Ils les emmenèrent jusqu’au campement gondorien ou l’ami d’Ellenden les attendaient, les officiers rentrèrent directement dans la tente de commandement pour savoir ce qui se passait, ils y trouvèrent le rodeur et à sa droite un jeune soldat, lui aussi rodeur.
Le commandant gondorien prit la parole :

« Bienvenue mes amis, je vous attendait. Asseyez vous je vous pris. »
Il attendit que tous les officiers furent bien installez pour continuer.
« Voilà, il y a une mauvaise nouvelle, Sauron à décidé d’envoyez ses troupes contre la forteresse et alors que je tenais mon campement juste à l’Est de la faille, mes éclaireurs aperçurent des orientaux, des haradrims arrivés. J’ai donc décidé de me replier en terrain sur sans pour autant ne pas surveillé les environs. Mes éclaireurs m’informèrent donc de la venue d’orc, d’ourouk-haï et de corsaire en grand nombre et là, un groupe de mercenaire à été vue non loin du campement ennemi et ils devraient donc s’allier à eux. Je ne sais pas le nombre de nos ennemis mais ce que je sais, c’est qu’ils sont très nombreux, peut-être plus nombreux que nous et ils attaquent la forteresse et le seul chemin c’est la faille.
_Phoenixios mon ami, puis-je prendre la parole, demanda Ellenden.
_Bien sûr commandant.
_Bon, nous allons déplacer le campement cette nuit, nous allons nous rapprocher de la faille, resté à une bonne distance des immondices de Sauron mais je veux que nous soyons près de cette faille. Il faut prendre la forteresse en premier car si les orcs la prennent ce sera un échec et si elle reste au main de cet Alkin aussi.
_Oui mais à ce moment là, fit remarquer Sigmin, autant laisser les orcs se faire massacrer ou alors remporté et nous on attaque après, ils seront diminué et nous vaincrons. »

Cette remarque fut bienvenue parmis tous les officiers sauf de la flèche d’or qui fit :

« Non, elle ne doit pas être prise par l’ennemi, ceux qui défendent cette cité son des soldats aguerris et redoutable, ils ne tomberont pas devant les orcs mais en plus ils seront en parfaite confiance si nous attaquons après alors qui si nous attaquons en premier, nous avons plus de chance de gagner et ainsi peut-être que nous devront subir l’assaut du Mordor, cependant nous seront plus efficace à l’intérieur de ces murs qu’a l’extérieur et je parle surtout pour vos nains et nos archers cher ami. Alors voilà dès cette nuit, nous rapprocherons le campement près de la faille, nous verrons quoi faire après. Êtes-vous d’accord ?
_Oui, firent tous les officiers.
_Bien alors attendons la nuit et reposons-nous. »


Ellenden partit voir ses troupes après avoir pris congé des gradés, il vit Maellas et Avalon qui entraînaient les plus jeunes elfes de l’armée, les noldors et les haut-elfes eux entraînaient les soldats de la flèche d’or. Le grand elfe et son chien passèrent dans à coté de ces soldats et a chaque fois il leur ordonna d’allé se reposer, ils devaient rester debout cette nuit, au moins pendant quelques heures. Le commandant elfe partis lui aussi se reposé, juste une heure. A son réveil la nuit allait tomber, les hommes c’étaient préparé et les êtres sylvestres aussi. Un cheval blanc avait été gardé spécialement pour lui et il rejoignit les autres capitaines. C’était le bon moment, les rodeurs emmenèrent les elfes à l’Ouest cette fois-ci de la faille, à l’opposé du campement ennemi et les soldats du bien en armure firent un grand bruit mais aucun adversaire ne fut aperçu. Ils mirent une heure à arrivé et la, il montèrent les tentes et firent quelques fortifications. Ils s’étaient placé sur une dune, a quelques mètres de celle qui surplombait la faille et le campement ennemi. De grandes tranchés furent creusé, et le sable fut utilisé pour construire de petit mur, certes peu résistants mais protégeant des flèches et puis les tranchés empêchaient les Trolls de passé sauf sur un espace ou l’on avait pas creusé. Des cavaliers elfes et des rodeurs furent mandés pour être éclaireurs. Les soldats sombrèrent bientôt même si les groupes d’éclaireurs furent sans cesse renouvelés pour que tous soit en pleine forme pour le lendemain.
Le lendemain matin, lorsque l’aube fit son apparition, Ellenden mit son armure comme pour les autres officiers, tous prirent un cheval et ils chevauchèrent bientôt jusqu'à la grande dune, accompagné d’un grand nombre de cavaliers, que ce soit des gondoriens ou des elfes, seul les nains n’avaient pas participé et ils ne participeraient à rien tant que les autres membres de leur peuple ne serait pas arriver.
Les gradés gravirent la dune et se retrouvèrent devant la faille et une bande de terrain d’une trentaine de mettre, en face d’eux, se tenait l’armée du mal et les ennemis les attendaient, tous sans exception.
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeVen 16 Avr - 14:08

Les ennemis étaient extrêmement nombreux, des orcs, des ourouks, des hommes, tous les peuples soumis à Sauron était présent. Ellenden et les elfes regardèrent dans le camp adverse et Arafin reconnu l’orc, l’orc qui avait blessé la flèche d’or, l’orc qui lui avait touché la cuisse, l’orc qui avait fuit et qui avait été sauvé par un homme de rhûn qui n’était pas la heureusement. Le commandant regarda l’immonde créature, fixement et pendant un millième de seconde il eut peur, mais ce sentiment disparu vite pour laisser place à la rage et lorsqu’il le vit s’approcher de la palissade de son camp, il dégaina son épée, miroitante sous le soleil levant, d’un bleu magnifique et la flèche d’or put entendre le cri du monstre de Sauron, la créature cria de tout son être, hurlant de rage. Phoenixios et Arafin parlèrent à Ellenden :

« Nous ne sommes pas assez forts pour attaquer leur camp, on pourrait espérer les empêcher d’atteindre la faille, mais nous ne serons plus assez pour assiéger la forteresse, remarqua le rodeur.
_Je m’en suis aperçu, mais nous allons devoir passer par cette faille, nous devons trouver une idée, nous devons arriver à prendre la forteresse.
_En attendant replions-nous, je viens d’apercevoir des catapultes et elles ont assez de porté pour nous toucher, pas derrière la dune mais la, nous sommes exposées, fit Arafin.
_Bien, mais je veux que l’on surveille les agissements des ennemis, je ne veux pas qu’ils nous attaquent sans que nous ne puissions les voir, certes la dune nous protège mais elle nous empêche de remarquer si les ennemis attaquent.
_Je vais m’occuper de la surveillance, fit le jeune Anatra, moi et mes rodeurs nous allons nous occuper de sa.
_Si vous le voulez mais j’aimerais que des elfes vous apportent assistance, ils verront comme sa si les ennemis chargent les engins de siège. Maellas viendra avec vingt archers et vous aidera.
_D’accord.
_Bien alors au camp, vite ! Cria Arafin »

Tous les soldats se replièrent derrière les petits murs de sable, qui semblaient encore plus minable après avoir vu le nombre d’ennemis. Les archers furent placés au abord du campement, avec les piquiers, tandis que les éclaireurs repartirent sur la grande dune. La situation était catastrophique, comment réussir à passer la faille alors que l’ennemi tomberait sur le flanc droit, surtout que cet ennemi avait des Trolls, des catapultes et de grands cavaliers tandis que la grande force de l’armée du bien était constituée d’archers. Les officiers rentrèrent dans la grande tente et ils se concertèrent toute la journée. Cherchant la solution idéale.

Maellas venait d’atteindre la dune, il regardait avec effroi l’ennemi, comment allaient-ils pouvoir les vaincre. Les ourouks avaient commencé à rire lorsque les officiers du bien s’étaient replier, ils se moquaient. Il remarqua que les ennemis avaient plusieurs dissension, entre les orcs et les soldats de Saroumane, entre un chef que Maellas ne pouvait décrire, tous les autres commandants. Il décida d’envoyé un des archers elfes, qu’il commandait, a la tente du commandant et de lui passer les informations, ils devaient utiliser ces dissensions.. Les ennemis avaient l’air aussi perdu que les soldats du bien, ils étaient en train d’évaluer la situation, d’essayé de trouvé une solution mais à part un affrontement direct et une perte extrême de soldat, comment avancé vers la faille sans perte ?

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« Il y a plusieurs moyen pour passé par cette faille, fit Arafin. Soit l’on attaque et les survivants attaqueront la forteresse, soit on attend la nuit et on passe dans la faille discrètement mais je crains que les ennemis est la même idée soit…
_Soit moi et mes nains partons en expéditions cherchées un autre passage, coupa Sigmin.
_Je ne suis pas d’accord, c’est trop dangereux, vous êtes trop important. Remarqua Ellenden, imaginez lorsque les autres membres de votre peuple vont arriver, que vont-ils dire s’ils ne vous voient pas ? Le savez-vous exactement.
_Oui, ils vous aideront à assiégiez la forteresse, dites leur que je suis partie en éclaireur et que j’ai disparu et autre, vous trouverez bien, pour attisé leur rage.
_Sa ne me plais pas, fit Phoenixios, nous avons déjà perdu plusieurs de nos commandants lors de ces batailles, un de plus serait une catastrophe.
_Non, si d’ici trois heures nous n’avons guère trouvé de solutions alors peut-être que nous accepterons votre demande, mais pas maintenant , fit Ellenden. »

Le nain s’énerva, fit tomber son siège et lorsqu’il allait sortir de la tente il grogna :

« Je reviens dans trois heures. »

« Vous avez énervez notre ami nain, déclara Phoenixios.
_Je ne veux pas le laisser partir dans cette mission suicidaire, c’est tout.
_Mais je crains qu’il n’est quand même raison, sortit Arafin, je ne vois pas d’autre solution et pendant que nous passerons par le chemin trouvez par Sigmin, nos ennemis s’entretueront et la prise de la citadelle saura d’autant plus facile.
_Je ne veux pas envoyer notre ami en enfer c’est tout.
_Nous y serons bientôt, fit Noldri, que nous le voulions ou non, beaucoup de nos soldats tomberont et à sa nous n’y pouvons malheureusement rien, nous pouvons juste en sauvez le plus possible, c’est tout.
_Je sais cela, déclara Ellenden, mais avez-vous un plan meilleur que celui de Sigmin ? »

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Maellas regardait toujours ses ennemis, sous une chaleur épuisante et écrasante, il ne savait quoi faire, il avait toujours une flèche dans la main au cas où l’ennemi chargerait mais il avait sûrement la même idée, il fallait attaquer la nuit. Les piquiers et hallebebardiers ennemis étaient toujours en premières lignes, une ligne très solides, mais le pire c’était la cavalerie, il y en avait des centaines, du cavalier léger au cavalier lourd, puis il voyait surtout les Trolls, certes dans leur camp ils avaient des Ents, mais les ents étaient sensibles au feu tandis que les Trolls non, et en plus ils portaient de puissantes armures lourdes, les flèches auraient du mal à les atteindre et ils étaient armés de puissantes épées voir des marteaux géants ce qui les remettaient au niveau des ents qui étaient plus puissants et plus grands.
L’elfe aperçu un combat entre des orcs , des humaines et des ourouks, ils s’entretuaient avant d’être stoppé par leurs commandants. Ils devaient y avoir au moins vingt morts et quelques blessé.
Maellas fut surpris de remarqué un elfe dans les rangs ennemis, c’était un elfe noir, un traître. Mais heureusement, il rentra dans la tente des commandants ennemis. Les soldats ennemis se regardaient avec haine, les ourouks traitant les orcs et les hommes d’esclaves tandis que les deux autres étaient prêts à se jeté sur eux. Il remarqua que le dernier à entrer dans la tente fut un haradrim, il n’avait pas participer au combat entre les soldats du mal et était très discret.
Les catapultes ennemies avaient été presque délaissées, seul quelques orientaux les surveillaient, déjà ils ne les utiliseront pas avant pas mal de temps et tant mieux.
Les elfes et les hommes durent plusieurs fois changer de groupe d’éclaireur car sous la chaleur du soleil du Harad, ils avaient besoin de boire et de se reposé, ils n’étaient pas très habitués à ce climat.
Pourtant Avalon ne changeait pas, il entraîna quelques jeunes elfes, leur apprit le maniement de l’épée et de l’arc, il détestait comme son supérieur, de perdre ses soldats et ses amis. Il s’attaqua, avec une épée en bois, à quatre jeunes novices, il chargea tout d’abord sur le plus proche, le jeune être sylvestre croyant que son ennemi aurait essayé de lui infligé une attaque sur le coté gauche fut très surpris de voir son supérieur feinté et s’attaqué à son coté droit, l’elfe put contrer cette attaque mais il ne réussit pas à contré la deuxième qui le toucha en plein milieu du ventre. Les deux compagnons chargèrent Avalon, le faisant reculer sous le torrent d’attaques qui lui infligeaient. Mais celui-ci put rapidement reprendre l’avantage, voyant une faille dans les attaques de ses adversaires. Il laissa ripé la lame d’un de ceux-ci sur la sienne puis le désarma en lui infligeant un petit coup au poignet puis le tua en lui toucha le cou. Bien sûr c’était de la fiction mais en réalité le jeune elfe était mort. Les deux derniers restaient bouche bée, leur capitaine était bien plus puissant qu’eux et pourtant il n’arrivait pas à la cheville du commandant. Sans le savoir Avalon en entraînant avec acharnement ses soldats faisait d’Ellenden un guerrier implacable et invincible. Seul les haut-elfes et les vétérans savaient vraiment de quoi était capable leur supérieur, celui qui donnerait la vie pour chacun de ses soldats, peu importe le talent de celui-ci et en sa, ses guerriers lui obéissaient aveuglement et sans une once de traîtrise. Le second de la flèche d’or élimina ses deux derniers adversaires avec beaucoup de facilité et déclara :

« Vous voyez, le talent ne fait pas tous, en éliminant facilement vos deux compagnons vous avez rapidement vu votre défaite arrivez. Ce n’est pas bien, j’ai déjà vu des guerriers vaincre des soldats plus puissants que moi, et pourtant je suis encore en vie. Vous voyez un combat se gagne physiquement et mentalement. Suis-je bien clair ?
_Oui chef ! Nous avons bien compris !
_Le tout n’est pas de comprendre, car c’est très dur de le faire vraiment en combat, il y a quelque chose d’autre aussi à vous dire, quand un allié vous trahi, le plus dur est de se battre contre lui, d’y arriver c’est le plus dur. Je dis sa en car je l’est vécu.
_Bien entendu chef ! Firent tous les elfes et même quelques hommes qui avaient assisté à ce combat et qui avaient été ébloui par autant de talent. »

Les soldats de la flèche d’or reprirent l’entraînement tandis qu’Avalon partit vers la dune, il prit son arc et son carquois et courut vers les éclaireurs. Il s’allongea dans le sable avant de pouvoir être vu par les ennemis, il s’approcha lentement de Maellas et lui ordonna de partir se reposer. Le beau-fils d’Ellenden était le seul à ne pas avoir être partit de son poste et il n’en pouvait plus. Le jeune cavalier partit se reposer dans une tente, tombant rapidement dans le sommeil. Les soldats alliés n’ennuyaient, à part s’entraîné et se désaltéré, il n’avait rien à faire. Mais cela faisait désormais trois heures, trois heures que le conseil avait eu lieu, trois heures qu’aucune solution autre que celle de Sigmin n’avait été trouvée, e t le nain s’approchait de la tente, petit à petit, énervé et de mauvaise humeur. Il était accompagné de ses rangers, il entra dans la tente et on ne le revit plus avant plusieurs minutes.

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Dans la tente :

Sigmin venait de revenir, il était encore en colère contre l’elfe et s’assit sur une la chaise laissée pour lui. Il grognait et demanda :

« Alors ! Vous avez trouvez quelque chose !
_Sans vous mentir non, fit Ellenden, maintenant j’accepte de vous écoutez.
_Bien, donc je me propose de partir en expédition avec mes rangers, dès que j’ai trouvez un autre chemin pour passez sans dommage pour la forteresse je reviens.
_Je vous laisse un jour, fit l’elfe.
_Non, tant que tu n’es pas revenu, déclara Phoenixios, aucune personne ne partira de ce camp. Je le jure.
_Bien, fit la flèche d’or, je suis d’accord avec ce cher rodeur. Je respecterai vos vœux mes mais.
_Comment ? Firent Noldri et Anatra.
_Il y a un problème ? Ces deux commandants ont fais énormément de combats et surtout jamais je ne prendrai une décision sans écoutez mon ami rodeur, il ma sauvé la vie et nous sommes frères d’armes. Si vous avez des objections dites toujours ! Cria l’elfe. »

Le silence laissa bientôt place, l’elfe regardait les deux jeunes commandants dans les yeux, les défiants mais rien n’arriva et l’elfe continua :

« Sigmin, quant est-ce que vous pourrez partir ?
_Dès maintenant.
_Bien alors bon courage ami nain, que votre mission ne soit pas vaine et revenez-nous en vie surtout.
_J’y tacherai, au revoir maître elfe. »

Le nain partit, il prit son équipement et suivit de ses soldats il disparu bientôt, même de la vue des elfes. Les commandants étaient tous nerveux, qu’allait-il devenir de Sigmin. Pour beaucoup il allait survivre, c’était évident malgré les ennemis qu’il pourrait rencontrer mais s’il tombait sur les soldats du mal, cela deviendrait plus compliqué, beaucoup trop. Ellenden ordonna à ce que le nombre d’éclaireurs soit triplé, qu’il y est soixante archers, humains comme elfes sur la dune, puis il prit congé et partit vers ses troupes, laissant les autres gradés faire de même. Il arriva rapidement, suivit par Halan, vers ses soldats. Ceux-ci étaient en train de s’entraîner ou alors de nettoyer leurs équipements, ils avaient l’air confiant au premier regard, serein, sûr de leur force mais lorsque l’on regardait bien leurs yeux, les novices avaient peur, peur de mourir aujourd’hui. C’était compréhensible, d’ailleurs la flèche d’or avait ressenti deux ou trois fois la même chose, mais il fallait leur remonter le moral, leur montrer qu’ils allaient gagner. Mais comment, seul une victoire sur une partie des forces ennemies auraient pu les calmer et à ce moment précis cette victoire semblait bien loin. La tension était palpable dans tout le camp, les hommes avaient un visage qui en disaient beaucoup sur leurs sentiments. Mais Ellenden restait sûr de lui, il se décida à aller voir ses seuls soldats qui n’avaient pas cette peur, ses vétérans et les loups noirs qui avaient été plus que discret.
Les haut-elfes se tenaient droits, lances en avant contre certains membres du clan de Gaaldor. Les humains s’élancèrent sur les premiers nés, frappant rapidement et avec une grande facilité, le nain lui s’attaqua à un noldor, les combats étaient serrés, et ils durèrent une bonne dizaine de minutes avant qu’un vainqueur ne puisse être désigner, aucune ne voulant se laisser abattre. Les elfes avaient des mouvements plus fluides et plus gracieux sans que ceux-ci furent moins efficaces tandis que les hommes et le nain avaient des mouvements plus brutaux. Le bilan était équilibré, presque autant d’elfes que d’hommes vainqueurs, enfin cela avait provoqué un grand vacarme, tandis que les soldats alentours regardaient avec stupéfaction et avec un immense respect les guerriers de la flèche d’or. Lui-même était content, il savait que s’il flanchait, s’il avait une faiblesse, ses soldats, ceux qui le suivent depuis déjà deux ou trois grands combats seraient la, mais la question qu’il se posait, qui d’entre eux sera là après la bataille, qui…
Il ne devait pas penser à cela, les pertes seraient conséquentes, s’étaient une obligation pour le bien de cette mission mais cela ne lui correspondait pas, c’était un commandant qui aurait donner sa vie pour ses elfes, et ne les auraient jamais envoyé à la mort, mais qu’importe, le soleil continuait sa route et toujours pas de nouvelle du cher nain, le crépuscule tomba et cela commençait à être inquiétant. IL s’inquiétait pour son compagnon devenu petit à petit ami, comme quoi les elfes et les nains ne s’haïssent pas autant que cela. Un des éclaireurs arriva en courant vers son commandant et déclara :

« Chef, les ennemis sont très agités, Avalon crains à ce que l’armée ennemie se mette en mouvement.
_Quoi ? Faites quérir les commandants et sonnez l’alerte.
_Oui commandant. »

Enfin, enfin l’ennemi se décidait, si ceux-ci les attaquaient, ils auraient l’avantage grâce à la dune de sable, malgré qu’il faille détruire leurs catapultes, les ents pourraient s’en occuper. Un certain frisson l’envahit, parcourant tout son corps et il était excité, il serrait le manche de son épée, prêt à la dégainer et à massacrer les ennemis, il ne s’aimait pas dans cet état, ressemblant plus à une machine de guerre qu’à un elfe. Il se dirigea vers la tente de commandement suivit d’Halan, qui lui aussi semblait surexcité, il se léchait les griffes, comme pour les préparer. Ellenden entra dans la tête, s’assit sur son siège, seul Phoenixios était déjà présent, les autres arrivèrent petit à petit.
L’elfe commença à parler :

« Les ennemis se mettent en mouvements, nous devons les empêcher d’atteindre la faille, nous devons les détruire. Cela sera difficile mes amis, mais je ne veux pas que l’on intervienne après les orcs.
_Et pourquoi pas, fit Noldri, les deux ennemis seraient affaiblis et nous, nous n’aurions plus qu’a attaquer et les éliminez.
_Peu loyal, sortit sèchement Phoenixios.
_Les ennemis ne sont jamais loyaux, répondit le jeune elfe.
_Mes amis calmez-vous, nous devons surtout les empêcher d’atteindre la faille tant que nos amis nains ne soient revenus, ils sont d’une importance capitale.
_En effet, en cela je suis d’accord, fit Arafin . Alors que faisons-nous ?
_Préparons les soldats, q’une centaine de guerriers prennent les armes et aillent défendre la faille en attendant que la totalité de l’armée puissent s’engager.
_Bien, j’irais avec mes cavaliers, déclara Phoenixios.
_Et moi je commanderais les soldats, déclara Haldri.
_Bien alors soit, préparez-vous. »

Des cris de ralliement envahissaient le camp, des centaines de guerriers elfes et hommes étaient déjà prêts tandis qu’Haldri leur ordonna de se mettre en mouvement, mais c’était déjà trop tard, les ennemis avaient déjà parcouru la moitié du chemin entre leur camp et la faille, il fallait se dépêcher. Les jeunes soldats dévalèrent les pentes de la dune, accompagnés par les cavaliers de Phoenixios. Ils ne mirent que quelques minutes à atteindre l’entrée de la faille mais c’était trop tard, les ennemis avant former une ligne solide si bien qu’à peine arrivée, les soldats durent subir une volée de flèches qui en fit tomber quelques-uns. Il y eut une petite riposte de la part des soldats du bien, mais elle ne fit que peut de victimes, une dizaine au maximum. Le chef gondorien voulant crée la confusion dans les rangs des créatures de Sauron chargea en compagnie de ses cavaliers, suivis par les épéistes. Il déversa toute sa colère sur les premières lignes adverses qui ne purent contenir cet assaut, elles furent renversées et massacrer par les épées gondoriennes pendant un cours instant. Le sol était déjà rempli de cadavres et de sang lorsque les piquiers easterlings arrivèrent, ils créèrent un mouvement de panique chez les cavaliers car ceux-ci n’avaient aucune pitié, ils empalèrent hommes et bête de part en part, si bien qu’en quelques secondes, il ne resta plus que quelques débris de la fière chevalerie gondorienne qui dut fuir dépité à l’image de leur chef. Les épéistes eux, ils avaient chargé juste après les cavaliers, profitant de la destruction des premières lignes pour s’engouffrer dans les rangs ennemis, le combat aux corps à corps s’engagea, les épées s’entrechoquèrent tandis que de chaque coté les pertes étaient nombreuses, les quelques corsaires qui tenaient tête aux elfes furent massacrer mais vite remplacé par des guerriers d’une toute autre ampleur, des ourouks-haï, qui firent une grand massacre, chargeant sans avoir peur de la douleur, si bien qu’un de ceux-ci avaient trois lances planté dans le corps mais continuait à se battre avant enfin d’être abattu par Haldri. Les ennemis avaient l’avantage mais les soldats du bien tenaient vaillamment, ils se battaient avec hargne et détermination. Lors de cet affrontement, les hommes qui étaient plus enfoncé dans les lignes ennemies que les elfes eurent le malheur de se retrouver contre trois trolls des montagnes, pas de simples trolls non, ceci étaient couverts d’armure lourde et avaient de grandes épées. Les trois monstres réussirent sans mal à se débarrassés de leurs adversaires créant comme leurs compagnons easterlings un immense mouvement de panique dans les rangs du bien eurent bien du mal à tenir contre eux, eux qui écrasèrent leurs ennemis, les coupèrent en tranche ou les écrasaient avec leurs poings sans que l’on ne puisse trouver une faille dans leur protection. Le second de Noldri réussit cependant à regrouper ses soldats et à résister, massacrant les ennemis s’approchant de trop près et en essayant de rester à distance des Trolls, mais c’était sans compter des cavaliers de l’Est, ils contournèrent les forces du bien pour leur tomber dessus par l’arrière, si bien qu’ils ne perdirent aucun soldats mais qu’ils purent faucher leurs adversaires sans le moindre mal. Les pertes étaient terribles et Haldri ne savait plus quoi faire, il réussit à trouver une faille et à s’enfuir, emmenant le plus de soldats avec lui. Malheureusement beaucoup n’eurent pas cette chance et ils ne purent que se faire massacrer entre les centaines de cavaliers d’un coté et les monstres de Sauron et de Saroumane de l’autre. Ellenden qui avait vu sans pouvoir réagir à cette débâcle réfléchissait à un plan d’attaque mais bizarrement l’ennemi se réorganisa rapidement, la voix forte du commandant de l’Est se fit entendre, les archers entrèrent dans la faille suivis des trolls, puis des piquiers et enfin des cavaliers de l’Est. En une vingtaines de minutes la flèche d’or ne put que contempler l’armée ennemie, qui s’approchait de la forteresse noire.
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitimeVen 16 Avr - 20:29

n'écrit pas sur ce sujet s'il te plait, il doit être vide de tous commentaires.

Edit Khiliani : J'ai supprimé, tu n'aura qu'à éditer ce message-ci afin de poster ta partie suivante pirat
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MessageSujet: Re: Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or   Bataillle de la Citadelle vu par La flèche d'or Icon_minitime

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