Les Guerres de la Terre du Milieu
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 Grande bataille de la citadelle vu par Turius

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Tyrius
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MessageSujet: Grande bataille de la citadelle vu par Turius   Grande bataille de la citadelle vu par Turius Icon_minitimeLun 6 Juil - 15:06

Je posterai ici mon texte de la GB
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Tyrius
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MessageSujet: Re: Grande bataille de la citadelle vu par Turius   Grande bataille de la citadelle vu par Turius Icon_minitimeSam 11 Juil - 14:01

Tyrius était toujours entouré par les soldats de Suladân, il réfléchissait à la raison pour laquelle on l’avait laissé en vie. Ses hommes et lui avaient déjà prouvé qu’ils ne répondaient de personne, qu’ils détestaient Sauron. Pourtant, celui-ci n’avait pas ordonné de le tuer. Pourquoi ?!
Les soldats de l’haradrim étaient exténués, le combat contre le Troll avaient démoralisé les survivants et d’être ainsi captifs les énervaient plus qu’autre chose. Mais ils n’étaient pas assez pour s’attaquer à cent cavaliers. Ils chevauchaient donc en silence, nettoyant parfois leurs lances et épées. La petite troupe chevauchait assez rapidement, personne n’osait leur barrée le chemin et les cavaliers serpent, l’élite des cavaliers haradrims connaissaient très bien leur route. Le château du maître des haradrims qui lui-même n’était qu’un pantin, ce dessinait au loin. Il s’élevait, noir, rougeoyant dans le désert. Il y avait trois niveaux, aucune douve car aucune eau n’aurait pu supporter cette chaleur. Cependant une petite tranchée entourait le château, obligeant l’ennemi a passer par un seul chemin ou il y avait un pont-levis. Ce château ne valait pas Minas Thirit, que Tyrius avait visiter dans sa jeunesse, les murs y étaient indestructibles, la porte beaucoup plus résistante, les tours plus grandes et plus puissantes. Aucune forteresse ne valait Minas Thirit, à par les forteresses naines et elfiques. Mais ici en Harad, les châteaux ne valaient pas grand chose. Le pont-levis était baissé, quoi de plus normal puisque personne n’osait s’attaquer à son propriétaire. Tyrius et ses compagnons prisonniers des serpents rentrèrent donc dans le château, on les emmena devant l’écurie ou ils descendirent de leurs chevaux. Ils montèrent les grandes marches qui menaient au donjon. La devant la porte de la salle du roi, les gardes leurs enlevèrent leurs armes et les emmenèrent devant Suladân. Celui-ci était assis sur son trône, âgée d’une cinquantaine d’année, il avait encore un aspect qui donnait le respect. Il était grand, avec une impressionnante carrure. A coté de lui, sur son trône, se tenait son épée, celle qui lui avait permis de devenir le roi de tous les haradrims. Une étrange silhouette apparue sur la droite, et Tyrius reconnut que c’était un hasharin, un assassin de Sauron. Il en avait entendu parler et pour la première fis de sa vie, son sang se glaça, et il eut immensément peur. L’homme chuchota à l’oreille de Suladân qui peu après déclara :

« Alors nous nous rencontrons enfin sale vermine. Si sa ne tenait qu’a moi tu serais déjà mort mais Sauron ne le veut pas. Il a un plan spécial pour toi. Il veut te tester et il t’envoi avec des beaucoup d’hommes pour que tu attaques une forteresse de traîtres envers le Gondor et le Mordor. Ces traîtres ont massacré des tas de villages, des tas de corps s’entassent sur leurs passages et ils ont massacré des elfes, des humaines, des haradrims et tant d’autre.
Sauron sait que tu déteste les gens comme cela, alors il attend une réponse. Soit c’est oui, soit c’est la mort. Alors ?
_Je vous remercie de votre accueil seigneur, fit Tyrius. Je vous remercie aussi de m’avoir laissé en vie. J’accepte la mission de Sauron car j’espère y trouver quelque chose d’important à mes yeux. J’accepte mais je ne pense pas avoir assez de soldats pour attaquer n’importe quelle forteresse.
_Tu trouveras des alliés la bas, des soldats de Sauron. Mais avant d’y allez, tu devras d’abord allez en Umbar, cherchez 100 guerriers corsaires. Ils te surveilleront et ils connaissent l’endroit ou le rendez-vous des armées du seigneur a lieu. Quelles étaient des troupes avant qu’elles ne soient décimées ?
_Seigneur, j’avais vingt archers du harad, vingt piquiers, trente cavaliers et vingt mahûds. Comme vous l’avez sûrement constatez seigneur, il ne me reste presque aucun soldat mais ils sont vaillants et me suivront même si la mort est la seule porte de sortie. Ils m’ont toujours bien servi.
_Sa je le sais, et j’accepte ta requête car de toute façon tu auras besoin des meilleurs éléments pour que notre seigneur gagne cette guerre. Vas maintenant je ne veux plus te voir dans ma salle, repose-toi avec tes hommes dans une auberge de mon château et vous partirez dès demain matin. Tes troupes seront aux complètes crois-moi.
_Merci et au-revoir seigneur. »

Tyrius entouré par deux gardes haradrims fut emmenés dans une auberge, la, il retrouva ses soldats qui mangeaient et buvaient. Il but et mangea avec eux, remplissant pour une fois son estomac, puis, les haradrims s’entretinrent entre eux et tous voyaient en cette mission, une manière de récupérer d’être moins rechercher par Sauron et ainsi vivre en paix, il fallait juste qu’aucun des compagnons ne se fasse tuer. Ils formaient une famille désormais. Ils se remirent à bavarder et à s’amuser quand l'hasharin entra et demanda a Bludor de le suivre. Les autres regardèrent leur compagnon qui parlait avec l’assassin de Sauron, ils discutèrent ainsi pendant vingt minutes lorsque enfin, l'hasharin partit.
L’officier de Tyrius paraissait tendu mais il se remit vite dans l’ambiance car aucun des soldats du sud ne voulait aborder sur quel sujet l'hasharin lui avait parler. A dix heures du soir, tous les soldats allèrent dormir, et tous plongèrent rapidement dans le sommeil car cela faisait bien longtemps qu’ils n’avaient guère dormit dans un lit. Ils furent réveillés à l’aube, là, ils s’armèrent, leurs nouvelles lances luisaient sous le soleil brûlant, leurs armures étincelaient, elles avaient été nettoyer la vieille par des serviteurs du roi. Leurs épées avaient retrouver leur lueur d’antan et leurs chevaux avaient été soigneusement lavés. Devant le pont-levis, un capitaine du roi les attendait, à coté de lui se tenaient vingt cinq cavaliers, quinze mahûds, vingt archers et vingt piquiers, tous de jeunes combattants.
Quand Tyrius s’approcha, le gradé cria :

« Voici vos nouveaux soldats capitaine. Partez maintenant vers l’umbar et que ses soldats vous aident à vaincre les traîtres. »

Tyrius regarda rapidement les visages de ses soldats, les mahûds partirent voir leurs frères et ils se mirent en route. Pour ne pas perdre de temps, Tyrius ordonna à ce que chaque cavalier porte soit un archer soit un piquier, même les mahûds durent le faire. Les chevaux étaient plus fatigués et leurs vitesses étaient moins grandes que s’ils ne portaient qu’un seul homme, cependant, ils allaient toujours plus vite que s’ils avaient laissé les hommes à pied. Ils mirent dix jours à atteindre les havres d’umbar. Leurs vivres étaient épuisés mais heureusement on les attendait, les cent corsaires étaient aux portes de la ville, ils étaient commandés par un grand homme qui ordonna aux haradrims de s’arrêter. Les corsaires étaient armés d’arbalètes et de sabre, ils étaient tous assez expérimentés et ils avaient tous vécu autant de combat que Tyrius et les siens. Et dire que ces misérables corsaires allaient le commander, il n’avait pas le choix et il savait qu’il devrait obéir sans dire quoi que ce soit. Il avança donc, suivit de ses jeunes soldats, il approcha du chef corsaire qui déclara :

« Alors te voilà, c’est toi le petit Tyrius. Et dire que tu as tant embêté Sauron. Sa me fait bien rire.
En attendant tes sous mes ordres, donc ta cavalerie entourera les soldats a pied. Mais les archers et les albalétriers monteront derrière tes cavaliers, est-ce clair ?
_Sa me paraît être un bon plan, mais croyez-vous qu’on osera nous attaquer.
_Je n’aie pas peur de sa, mais si tu essaye de te rebeller mes hommes te tueront. Allez en route !! »

Tyrius était rempli de haine, il avait sous son commandement quatre-vingt-dix soldats dont la moitié des cavaliers, si ses soldats étaient comme les survivants du combat d’Hironeiden alors il serait sûr de la victoire, la, les nouveaux venu avait autant envie de le tuer que les corsaires. Dommage pour lui.
Ils chevauchaient au pas, les cavaliers sur le coté, les corsaires et les piquiers aux centres, marchant au rythme du chant corsaires, chant de destruction et d’esclavage. Leur marche était lente, mais personne ne s’attaquera à eux, et puis ils avaient une grande réserve de vivres. Le capitaine haradrim marmonnait tout seul, essayant de trouver un moyen de redevenir libre tout en détruisant la forteresse de ces monstres de chevaliers noirs. Mais il avait peur, car sachant que Sauron envoyait autant d’hommes. Il avait déjà eu vent des batailles qui se passaient entre le mal et le bien et à chaque fois il y avait des elfes, ces guerriers mystiques, plein de pouvoir magique. Il avait peur sans pour autant en avoir la raison, car les elfes dans les temps de jadis avaient été alliés à son peuple, et c’est son peuple qui les as trahis, la haine entre les deux espèces étaient aussi grande qu’entre celle des orcs et des elfes ou des gobelins et des nains. Ils avancèrent dans le désert, a première vue, la forteresse se trouvait en Harad. On ne lui avait pas dit ce qu’il allait affronter, mais à première vue, c’étaient des traîtres, soldats du Rohan, Gondor, Harad, de toutes les terres humaines qui arboraient de grandes armures noires. Ils se désignaient comme une caste, la caste des chevaliers noires.
La grande troupe du sud avançaient assez rapidement, passant par les dunes de sables.
Tyrius en avait assez, il chevaucha jusqu'à ses mahûds et il leur parla :

« Mes amis, j’en ai marre de n’entendre que le bruit des pas et des chants pirates. Comment allez-vous ?
_Bien chef, nous avons été dans de meilleures positions mais bon on fera avec, avez vous déjà un plan pour la suite ?
_Non, pas encore, mais dès que nous arriverons la bas, j’en trouverais un.
_Nous avons confiance en vous chefs, nous quatre vous serons toujours fidèles, comme les cavaliers haradrims qui ont parcouru le désert avec nous.
_Je le sais parfaitement, et c’est pour cela que je ne vous enverrais pas au combat, vous resterez prêts de moi en temps que garde personnel.
_Si vous le voulez capitaine.
_Halte ! Cria le chef des corsaires. Nous installerons le camp ici. Tyrius, prends tes cavaliers et surveillez le camp. Ne t’avise pas de nous trahir ! »

Le capitaine haradrim cacha sa colère et avec ses cavaliers, ils firent une grande ronde, tuant les quelques soldats alliés ou ennemis qui espionnaient leur camp. Ils devaient avancer dans le secret.
Quand tout fut sûr, ils revinrent dans le camp. Les tentes haradrims collés à celle des pirates.
Tyrius posa pied à terre et on emmena les chevaux dans un coin ou ils furent gardés par dix albalétriers. Les autres voulurent se reposer mais le capitaine haradrim les en empêcha. Il déclara :

« Pour moi, vous mes nouveaux soldats, vous n’êtes pas encore assez entraînés pour combattre. Donc nous allons nous entraîner ce soir. Un point c’est tout. Le premier qui ose dire quelque chose je l’étripe. »

Tous les haradrims baissèrent la tête, sauf pour les vétérans qui combattaient avec leur chef depuis toujours. Il décida d’entraîner les archers, pour cela il laissa faire les mahûds. Ils placèrent plusieurs cible assez loin. Comme le soleil se couchait cela permettait d’améliorer leur vision. Et puis quand il réussissait à toucher une cible, on l’éloignait et cela permettait d’améliorer leur précision et leur force. Tyrius lui, avec ses cinq cavaliers combattit les piquiers et les nouveaux épéistes.
Chaque cavalier devait combattre deux nouveaux venus. Tyrius lui, combattit contre trois épéistes, il savait qu’il pouvait les battre. Un des trois jeunes rit, et chargea sur son capitaine. Les pirates observaient les divers entraînements avec attention, mais ils aimaient surtout les combats d’épées. Heureusement pour Tyrius et les haradrims, ils avaient eu la précaution de prendre des épées en bois. Revenons au combat du capitaine :
Le jeune haradrim avait foncer tête baissée sur son supérieur, il essaya de frapper l’épaule droite de celui-ci. Mais, le chef haradrim évita, se décalant sur le coté au dernier moment, il donna un petit coup sur le poignet de son jeune adversaire qui en fit tomber son arme et plaça le bout de l’arme de bois sous son cou. Tyrius déclara :
« Crois-tu que je sois devenu capitaine par hasard ? Ce n’est pas un jeune incompétent comme toi qui me toucheras. »
Les deux autres attaquèrent en même temps, allant moi vite que leurs compagnons, ils frappèrent presque en même temps, chacun sur un flanc du capitaine. Tyrius contra la première attaque, se baissa et évita la seconde en faisant une roulade. Il se releva à peine une seconde plus tard, contrant et évitant le flot d’attaque. Mais les jeunes se fatiguaient vite et le chef haradrim n’eut pas trop de mal à les désarmés. Il riait à son tour et les corsaires firent de même, ils rirent pendant quelques minutes et enfin Tyrius déclara :
« Vous êtes faibles ! Les jeunes des villages que j’ai entraînés étaient deux fois plus forts que vous et pourtant ils avaient entre quatre et huit ans. Au lieu de rire fermez la et entraînez-vous. Vous ne tiendrez que deux minutes contre des adversaires tel que ces corsaires. D’ailleurs pouvez vous nous aider ? »
L’haradrim avait bien parlez, la flatterie abattait les plus méfiants et aujourd’hui encore sa marcha.
Sous un ordre du commandant pirate, les épéistes sortirent leurs sabres et s’entraînèrent au combat contre les piquiers, les épéistes et quelques archers haradrims. Ils leurs apprirent beaucoup de choses.
Pendant ce temps, le capitaine corsaire avait appelé Tyrius qui vint seul, il n’avait pas peur des corsaires. Il entra dans la tente de celui-ci qui c’était assis. Le corsaire était armé d’une grande arbalète, d’un pieu et d’un grand sabre sur le coté, il avait une armure noire, de la même qualité que celle de l’haradrim. Une armure minable entre autre. Le vieil homme car oui, il était âgé, il devait avoir une quarantaine d’année et malgré le sang numénoréen en très petite quantité qui coulait en lui, il n’avait guère la même durée de vie ni la splendeur des grands du Gondor tel que Faramir. Enfin, après un grand silence de la part du capitaine allié, celui-ci déclara :


Dernière édition par Tyrius le Dim 26 Juil - 14:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Grande bataille de la citadelle vu par Turius   Grande bataille de la citadelle vu par Turius Icon_minitimeSam 11 Juil - 14:02

« On m’a dit que tu étais quelqu’un d’impulsif, de dangereux, ne connaissant ni l’honneur ni la loyauté. Pourtant tu connais déjà la patience car sinon tu m’aurais parler. Tu ‘as l’air plus digne que ce que dise les rumeurs. Mais qu’a tu as dire pour ta défense ?
_Que voulez-vous que je réponde ? Je défends mes valeurs, les miens, je déteste Sauron et je veux vivre libre. N’est-ce pas votre cas à vous les numénoréens noirs ? Ne voulez-vous pas être libre ?
_La liberté, le pouvoir et vaincre la mort. Voici ce que nous espérons gagner en nous alliant à Sauron.
_Vaine ! Votre quête est vaine. Sans vouloir vous offenser, ce n’est pas le rôle des humains de vivre indéfiniment, nous ne sommes pas des elfes.
_Taisez-vous ! Nous gagnerons bientôt l’immortalité. Un point c’est tout. Mais maintenant dites-moi, pourquoi vous êtes vous rebellez contre le seigneur des ténèbres ?
_C’est compliquer et vous les pirates avez fortement joué la dedans.
_Comment cela ? Expliquez-vous.
_J’avais une femme en Gondor et celle-ci à été enlevé lors d’un raid d’un certains Khiliani. A ces mots, le corsaire frémit et frappa du poing sur sa jambe, mais cependant Tyrius continua : Et il l’a mise à mort. Alors j’ai décider de me venger et j’ai poursuivis Khiliani, tuant orc et autre sur mon chemin et quand je suis arrivé à Hironeiden.
_Vous l’avez trouvé en ruine. Fit le corsaire. Je sais, je l’ai appris il y a trois semaines, les mercenaires du Khand ont massacré les femmes et les enfants. Je les tuerais pour cela.
_J’ai tuer les orcs et le troll qui mangeaient les cadavres et j’ai mis le feu au corps, ne pouvant leur offrir de sépulture j’ai trouver que c’était le meilleur moyen pour qu’ils ne se fassent pas manger par des rapaces.
_C’est vrai ? Vous avez ait-sa ? Dans ce cas je vous respecte et vous remercie. Vous avez sauvé l’honneur de ces habitants.
_J’ai fais ce que me disait ma conscience. Mais dites-moi, qui allons nous rejoindre ?
_Des hommes de rhûn, des ourouk-haï de Saroumane, des orcs de Sauron. Une grande armée est en marche pour reprendre une forteresse qui appartenait à Sauron.
_Qui en sont les actuels occupants ?
_Des chevaliers noirs, d’Amroth, du Rohan et d’autres contrées lointaines. Ce sont des guerriers d’élites et nous allons devoir nous méfier. Et puis ils sont très nombreux.
_Il paraît qu’ils massacrent des civils ?
_Ils l’ont fais plusieurs fois et puis ils se sont mis à dos beaucoup de monde. Et puis eux aussi se sont rebellés et oui, fit-il en rigolant. Nous allons le leur faire payer, je pense que s’ils étaient rester calme, notre seigneur n’aurait rien fait mais la, il faut les éliminer.
_Tout à fait d’accord avec vous. Que dites-vous d’un petit duel, a main nue, aux épées de bois, a la lance ? J’ai besoin de me défouler.
_Pourquoi pas, fit le corsaire, allons dehors et choisissez n’importe quel arme.
_D’accord. »

Tyrius sortit donc de la tente, il découvrit les guerriers qui s’entraînaient, se donnaient des conseils, ils étaient alliés et une fraternité se formait. L’haradrim était heureux, ses nouveaux soldats commençaient à l’apprécier et à apprécier les mahûds et les vétérans. Mais personne n’avait de grande entente avec Bludor, son comportement avait changé depuis la discussion avec le Kasharin et il préféra dormir dans sa tente plutôt que de s’entraîner. Tant pis pour lui mais son capitaine ne lui faisait plus aussi confiance qu’avant et il regrettait fortement la présence de Tsalor. Tyrius regarda autour de lui, il hésitait entre l’épée et les mains mais il savait qu’il était beaucoup plus fort a l’épée alors il prit une épée de bois. Et le corsaire fit de même. Les soldats les plus proches arrêtèrent de s’entraîner puis toute l’armée s’arrêta et forma un cercle autour des deux gradés. Ils voulaient voir ce spectacle, ce combat qui n’équivalait pas au leur mais qui était bien supérieur.
Les deux gradés se regardèrent et ils avancèrent lentement avant de s’attaquer mutuellement. Les coups fusèrent des deux cotés, le corsaire avait plus de force mais un peu moins d’agilité et ils étaient tous les deux presque aussi rapide. Le corsaire chercha à toucher l’haradrim sur le flanc gauche, puis voyant qu’il n’y arrivait pas, il tenta de toucher le cou de son adversaire. Il feinta une attaque au genou, donna un coup de poing à Tyrius et essaya de toucher la gorge de l’haradrim avec son épée, mais cela ne marcha point, car l’habitant du désert avait fais une roulade après s’être pris ce coup de poing. Le cavalier roula sur le coté, se releva et chargea sur le marin, il tenta maintes fois de le toucher, mais toute furent arrêter par l’épée de ce corsaire, c’était un fin bretteur.
Mais la fatigue se faisait ressentir et le corsaire demanda à ce que l’on arrête le combat, ils devraient être en pleine forme le lendemain. Tout le monde accepta et Tyrius avant de partit souffla au corsaire :

« Bravo ! C’était un beau combat comme je n’en avais fais depuis longtemps. »

L’haradrim alla vers sa tente, la, il vit que ses voisins étaient ses mahûds, heureusement, il avait une confiance aveugle en ses soldats. Il s’allongea et tomba dans le sommeil. Rien ne vint le déranger et il fut en pleine forme le lendemain matin, peut-être un peu courbaturé à cause du combat et de la chevauché mais rien d’inhabituel. Il réveilla quelques-uns de ses vétérans, et sous le cor des marins, l’armée se leva et rangea les affaires, ils partirent assez rapidement, ils avaient déjà perdu assez de temps. Les archers marchèrent, eux qui avant étaient au dos des cavaliers ne devaient plus y être, les corsaires avaient commencer à avoir confiance en Tyrius, tant mieux. Les soldats crurent voir un nuage de fumée au loin, on les avaient précédé. Mais qui cela pouvait-il être ?
Les corsaires accélérèrent encore la marche, et ils arrivèrent au coucher du soleil devant une sorte de grand mur rocheux. Une petite faille était cependant présente. On pouvait faire passer à peu près cinq à dix soldats en largeur, espérons que les ennemis ne les attendent derrière la faille, sinon s’en est fini.
A gauche d’eux, s’élevait une grande dune et une grande plaine se trouvait derrière. A droite, le désert, mais dans ce désert, ils y avaient des tentes, un grand nombre d’ailleurs. Heureusement, les étendards portaient l’œil de Sauron. Les alliés c’étaient rassemblés et une colonne de vingt cavaliers de Rhun et d’un char de guerre arriva bientôt. Ils étaient tous bien armés et bien protégés, c’étaient des guerriers aguerris et expérimentés, un grand homme se dressait parmi eux, il était le passager du char. Il s’avança et Tyrius vit que celui-ci était armé d’un cimeterre et d’un long arc dans le dos. Il portait une grande armure, un bouclier accroché à son dos. Il commença :

« Qui êtes-vous ? Et que venez-vous faire ici ?
_Nous sommes des soldats de Sauron, envoyé pour détruire cette forteresse noire, vous devez être Aphanuzir ?
_Non, je suis son second, il arrivera plus tard, il a quelque chose a régler, mais passons. Vous êtes tous les bienvenue, suivez-nous. »

La grande troupe rentra donc dans le camp de l’homme de Rhun, le camp était fortifié : une longue tranchée entourait le camp et des pieux avaient été enfoncés. Une garde avait été placé, ils faisaient des rondes. Il y avait énormément de soldat et Tyrius demanda à Bor leur nombre exact.

« Je commande Quatre cents guerriers et je suis le grand commandant de cet assaut. Vous devrez m’obéir mais je pense que vous le saviez ?
_Oui, fit le corsaire, enfin on nous avait dit que le commandant Aphazunir Leinhart serait ici, mais comme vous êtes son second il n’y a aucun problème.
_Bien, tant mieux, installé vous, et venez me voir plus tard, ma tente est celle du centre. »

Et les soldats de Rhun s’en allèrent, laissant les autres dans le camp. Ils n’attendirent pas une seconde, ils montèrent leurs tentes, mirent leurs chevaux dans les enclos prévus a cet effet. La nuit tomba assez vite et les soldats dormirent, sauf pour Tyrius, le chef corsaire et leurs gardes respectifs, deux mahûds et Bludor pour l’haradrim et cinq pirates pour l’habitant d’Umbar. Ils avancèrent dans la nuit et arrivèrent à l’entrée de l’immense tente du commandant de Sauron. Devant, deux immenses hommes de rhun en arme abaissèrent leurs hallebardes et après avoir annoncé la venue des gradés et avoir reçu l’accord de Bor, ils les relevèrent et restèrent posté là, les gardes pirates et mahûds s’arrêtèrent aussi et ils discutèrent entre eux. Le mobilier était assez riche, de grands sièges et une grande table probablement pour discuter de la stratégie et autre. Sur le plus haut siège se dressait l’homme de l’Est. Il fit signe au deux gradés de s’asseoir et il leur déclara :

« Vous êtes les deux premiers a être arriver, je vous préviens que l’on attend un renfort d’orcs, et d’ourouk-haï. Nous allons bientôt devoir nous réinstaller à cette table et les dissensions seront nombreuses. Faites attention à vos hommes, c’est tout ce que je vous conseille. Maintenant si vous avez envie de parlez d’autre chose, dites-moi. »
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MessageSujet: Re: Grande bataille de la citadelle vu par Turius   Grande bataille de la citadelle vu par Turius Icon_minitimeSam 11 Juil - 14:03

Et les trois hommes partirent dans une longue discutions, ils parlèrent de tout et de rien jusqu'à qu’ils soient trop fatigués et tous partirent dans leurs tentes dormirent. Le lendemain matin, tous les soldats étaient en mouvement, les cavaliers éclaireurs avaient vu une forte troupe au loin ils n’étaient pas sûr que ce soit des alliés alors on s’arma. Vers dix heures du matin, des cris rauques, des bruits de tambours retentirent, une immense masse noire se déversa sur le sable, former d’orc et d’ourouks, des centaines.
Des trolls s’avancèrent, monstruosité, les ourouks crièrent, rugirent pour annoncer leur arriver. Et comme pour Les corsaires, un contingent de vingt cavaliers fut dépêché, en tête Bor pour voir qui venait. Dans ce contingent venait Tyrius et le corsaire ils devaient être-la. La cavalerie parcourue la distance qui séparai la tranchée de l’armée orc et ourouk en quelques minutes. Sur deux grands wargs se tenaient un ourouk-haï et un orc. L’orc leva la main et déclara :

« Je suis Urgog du Mordor et à ma droite se tint Tegger de l’Isengard, nous venons combattre les chevaliers de la forteresse. Vous voulez nous en empêcher ? Il rirait après sa dernière phrase, Tyrius ne comprit jamais pourquoi.
_Je suis Bor, commandant de l’armée de Sauron et je suis heureux de vous voir.
_Pfff, des hommes, minables personnes n’est aussi fort que les ourouks, fit Tegger, heureusement que nous sommes la pour relever le niveau !
A ces mots, les innombrables troupes de Saroumane hurlèrent de joie et de soif de sang.
_Si vous le dites, répondit Bor, en attendant je vous présente Tyrius, chef des haradrims et Lunhart chef des corsaires.
_Bienvenue, firent les deux concernés, je suis heureux de me battre au coté des ourouks, finit par dire le corsaire.
Les ourouks hurlèrent de joie.
_Bien, n’attendons pas plus longtemps, venez avec nous, fit Bor. »
Ils emmenèrent donc l’immense armée des créatures du mal, ils entrèrent avec lenteur dans le camp, car il n’y avait qu’un petit passage et pour les Trolls et les engins de siège ils étaient assez difficiles d’en passer plus de deux. Les ourouks étaient des guerriers endurcis et intraitable, c’est ce qu’avait entendu dire Tyrius, c’étaient des monstres assoiffés de sang, fanatique, soldat jusqu'à la mort pour Saroumane, ils ne reculaient jamais et sa, l’haradrim appréciait beaucoup. Les orcs, pfff, il en avait déjà trop rencontré, minable force de Sauron, il en pleuvait des milliers sur Terre et heureusement sinon la force de frappe en serait diminué, ils étaient pour la plupart lâche, ne sachant pas se battre.
L’haradrim regardait surtout les deux chefs alliés, l’ourouk était sur un grand warg, tout comme l’orc mais Tyrius préférait l’allure de la créature de Saroumane, il était enfermé dans une armure noire, un casque lui recouvrait la tête, il portait un bouclier muni d’une pointe , sur le coté il avait une épée et un arc accroché au dos. Il était le chef de l’armée de Saroumane, il devait être grand guerrier, surpuissant, il avait aussi des protège tibia et des épaulières noires, munies-elles aussi de nombreux piques. Quant à l’orc, il répugnait à l’idée de combattre au coté d’ourouks et d’hommes, il devait y avoir eu quelques difficultés sur le chemin de l’allé entre les troupes des deux S. L’orc était monté sur un warg brun, grande bête intrépide, plus intrépide que son maître, il portait une grande armure noire, pas de signe apparent. Il avait un bouclier rond ou la, l’œil rouge était dessiné, il avait aussi une épée sur le coté et une hache dans le dos. Il avait plusieurs cicatrice, pouvant montrer qu’il avait déjà beaucoup combattu.
Le dernier soldat venait de rentrer quand les éclaireurs virent un cavalier au loin, puis ce fut une grande troupe qui descendit vers le camp, peut-être quatre-vingt soldats ou un peu plus. Bor demanda au gradé de le suivre et ils repartirent, encadrés par les vingt gardes de Rhun. Ils s’arrêtèrent a quelques mètres de ses nouveaux arrivés et certains étaient des elfes. A leur vue, l’orc dégaina et l’ourouk aussi, si Bor n’avait su les contenir n’imaginons pas ce qui serait arrivé. L’elfe noir se présenta :

« Bonjour seigneur du mal, je suis Nostros, elfe noir et je viens combattre au nom de Sauron.
_Toute aide est la bienvenue, j’ai entendu dire qu’un mercenaire allait venir mais pas un elfe.
_J’emmène avec moi soixante-sept soldats, j’espère qu’il reste encore assez de place dans le camp. J’ai vu les troupes de l’Isengard et du Mordor a quelques kilomètres devant moi.
_Oui, c’est bon, il y a encore de la place, venez avec nous, fit Bor. »

L’elfe était noir, chose bizarre, il portait une armure de cuir noir, cela va de soit et une étrange épée a son coté. Un long arc était dans son dos ainsi qu’un carquois elfe. Certains soldats étaient comme lui, d’autre étaient des hommes. Ils rentrèrent tous dans le camp qui travaillait pour offrir des enclos aux wargs, aux Trolls, des endroits pour les échelles et les balistes, catapultes. Les gradés mirent pied à terre et leurs montures furent emmenées dans leurs enclos respectifs, puis tous, ils entrèrent dans la tente de Bor, la, ils s’assirent encore autour de la table. Bor s’assit et les autres aussi, l’ourouk dominait la table. Le commandant de Rhun commença :

« Bienvenue a tous, aujourd’hui nous nous tenons ici pour savoir le nombre exact de soldats que nous avons, qui prendra le commandement de qui. Moi en tous cas je serais le grand commandant de ce siège. Pas d’objection ?
_Non, firent tous les gradés.
_J’emmène exactement quatre-vingt-dix soldats, fit Tyrius, trente cavaliers, vingt piquiers, vingt mahûds et vingt archers.
_Moi j’emmène cent corsaires.
_Moi, j’ai soixante-sept soldats, vingt archers, quarante-cinq guerriers, un sorcier noir, un piquier, déclara l’elfe.
_Moi, fit Tegger, j’ai trente-quatre épéistes, quarante arbalétriers, trente piquiers, un porte étendart, un mage, deux capitaines, troll et une baliste, j’apporte aussi les renforts de l’Isengard, qui sont trente chevaucheurs de wargs, cent-vingt piquiers, cinquante-sept épéistes, cinquante arbalétriers, cinq échelles.
Bor avait du mal a tout noter mais il y arriva.
_Moi, j’apporte du Mordor cinq catapultes, quatre-vingt guerriers et trois commandant. Mes troupes personnelles sont de cinquante épéistes, quarante archers, et quatre Trolls.
_Quant à moi, fit Bor, j’apporte deux cents piquiers de rhun, cent guerriers, quarante cavaliers et soixante archers. Ce qui nous fais un total de :
Cent-vingt cavaliers en contant les wargs, trois cents soixante et onze piquiers, deux cents trente archers, quatre cent soixante et un guerriers plus les mages et les Trolls.
La forteresse se trouve derrière cette sorte de mur rocheux, je vous propose de vous reposez et d’attaquer demain.
_Excellente idée, déclara l’elfe.
_Bien,, dans ce cas à demain. »

La nuit fut agitée, une troupe était apparue au loin, ils étaient derrière la grande dune mais des cavaliers étaient posté et étaient prêts a donné l’alerte. A l’aube, on vit enfin ce que c’était :
Une armée d’hommes et d’elfe. Des cavaliers en armure étaient postés sur la dune, elles étincelaient, ils n’étaient plus seuls.
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