Tyrius : l' haradrim corrompu

Bonjour

Je signale queTyrius et ses 20 cavaliers attendent une mission.

Merci

Je vais t'en donner une :

Sauron veut te tester avec une petite mission facile. Un groupe de soldats du Gondor est entré en Harad et veut construire un camp fortifié. Pour l'instant, le camp n'est qu'une palissade de rondins avec des tentes à l'intérieur. Incendie ce camp et ne laisse rien. Sauron t'enverra des troupes en renfort qui arriveront pendant la bataille.

Troupes ennemies: 10 soldats du Gondor, 10 piquiers et et 10 rôdeurs de l'Ithilien

Troupes alliées: 5 archers Hardrims venu te prêter main forte et 10 orcs du Mordor envoyer par Sauron qui attaqueront le camp par derrière et qui arriveront pendant la bataille.

Tient une petite mission.

Ton village soufre d'une famine. Ton seigneur t'envoie en chercher au Gondor, il ta indiquer une petite ferme isolé qui sera facile a attaquer.

Troupes ennemis: 15 paysans ne sachant pas combattre et 10 rôdeurs aillant fait une halte dnas la ferme. Ils sont fatiguer mais se battrons jusqu'au bout. (Fait gaffe je suis rôdeur donc si tu les bats facilement ta note vas en payé )

Troupes allié: Toi et tes hommes.

Voila bonne chance.

Je vais rajouter à la mission que je t'ai donné que, selon le nombre de pertes que tu auras, je t'accorderai un petit nombre de soldat de la première mission qui viendront avec toi pour la deuxième.

Tyrius venait d’arriver dans un petit village du Hard isolé, il avait faim, soif et voulait dormir. Il alla voir dans une auberge, et demanda à ce qu’on lui apporte à boire. Le serveur lui donna juste un verre d’eau qui énerva l’haradrim. Mais pour s’expliquer, l’homme lui affirma qu’il n’avait que cela, que son village n’avait plus de nourriture et qu’ils allaient tous en mourir.

« Je peux sûrement vous aider, déclara Tyrius.
_ Et comment ?
_ A trouver de la nourriture, je suis un guerrier, je pourrais sûrement trouver des fermiers qui se trouvent assez loin du village et rapporter la nourriture.
_ Alors allez voir notre chef, il vous dira quoi faire.
_Merci bien, tenez voici une pièce d’or. »

Et Tyrius alla donc voir ce chef, qui ne savait pas s’occuper d’un village en tous cas, les maisons tombaient en ruine, aucun champ, un seul petit puit.

Il se trouvait à l’entrée qui était garder par deux grand haradrims, tout en armure, armés de sabre.
Il le laissèrent entrée, et Tyrius se trouva devant le chef, c’était un haradrim assez vieux, qui dans le passé devait être un grand guerrier.

« J’ai entendu dire que tu nous aiderais à trouver de la nourriture ? Demanda le chef.
_Oui seigneur, mais pour cela il me faudrait des cavaliers si vous me le permettez.
_A ce que je voit tu ne perd pas ton temps, c’est bien…Je vais te prêter vingt de mes cavaliers, et te donner l’emplacement tu grande ferme du gondor. Mes hommes attendent un nouveau chef depuis longtemps, ne me déçois pas.
_Merci bien seigneur, je les mènerais à la victoire. »

Le lendemain matin, vingt cavaliers armés de lance et de sabre attendaient leur nouveau sergent.

« Bonjour Haradrims, fit Tyrius, je vois que vous êtes prêt, alors ne perdons pas de temps, je m’appelle Tyrius, et je vais vous commander si vous ne voyez aucun inconvénient, nous allons sauver votre village, en avant car la route est longue !!! »

Tyrius chevaucha seul un moment, mais il fut vite rejoint par les cavaliers qui commencèrent à discuter avec lui :
« Où allez-vous ? Demanda un soldat un peu plus grand que les autres.
_Votre chef m’a demander de piller une ferme du Gondor, je connais ces terres alors ne perdons pas de temps, nous limiterons les pertes.
_Je m’appelle Tsalor, déclara le grand haradrim et lui c’est Blador en montrant un haradrim assez musclé.
_Enchanté Tsalor enchanté Blador, avez-vous déjà combattu ?
_Oui, contre des soldats du Gondor il y a deux semaines.
_Et les autres ?
_Ils ont tout combattu et la plupart sont plus vieux que nous deux. Et vous ?
_Moi, oh oui, et cela fait plusieurs années déjà, mais pour notre mission, je ne pense guère que nous trouverons beaucoup d’ennemis. »

Les cavaliers continuèrent à chevaucher pendant plusieurs heures, avant que la nuit ne tombe. Là ils installèrent de petites tentes, qui très facile a installer et a défaire, permettant d’aller très vite pendant de long voyage.

Les hommes du sud se trouvaient a la lisière d’une petite forêt, ils envoyèrent cinq guerriers chassé et ceux-ci revinrent avec une biche et deux lapins, ce qui était suffisant pour vingt soldats.
Ils se regroupèrent au centre du camp, autour d’un petit feu et dégustèrent la nourriture.

« Je suis content de vous , nous avons parcouru la moitié du chemin en dix heures, dans deux jours, vous retrouverez vos femmes et vos enfants. »

Les guerriers étaient tous heureux de cet nouvelle, mais l’un des leurs se leva :
« Dis-moi, comment connaît tu les terres de nos ennemis ?
-Je me suis battu la bas.
-Je ne te fais pas confiance, et au moindre débordement, je te tuerais.
-Je t’attends. »

Le rebelle commença à charger Tyrius, le sergent avait l’avantage, ayant plus d’expérience au combat, mais l’une de ses nombreuses cicatrices le fit énormément souffrir, et il cria tellement fort qu’il en fit peur a l’haradrim. Celui-ci en tomba par terre, tandis que son chef, prit congé de ses camarades.

Puis il alla dans sa tente ou il, rongé par la douleur, essaya de dormir.

Il se réveilla très tôt le matin, épée et lance a la main, et s’entraîna seul pendant vingt minutes utilisant les techniques apprises par les rodeurs du Gondor, avant que les premiers haradrims se levent. Ils mangèrent les restes, avant de défaire leur tentes et de repartir en route. Une longue course dans la forêt qui empêchant d’aller a toute vitesse, se rallongea de plusieurs heures avant d’arriver devant cette grande ferme, avec de grands hangars qui étaient isolé du monde.

Les cavaliers se mirent à terre, et s’approchèrent de la maison, la nuit commençait à tomber et ils allaient bientôt attaquer lorsqu’un groupe de rodeur rentra dans cette ferme, une dizaine. Tyrius en voyant cela déclara aux haradrims qu’ils fallaient cerné la maison, voir s’il y avait plusieurs entré pour toutes les bloqués. Ce fut vite fait, et l’on découvrit deux entré, dix haradrims rentrerais par celle de devant et dix par celle de derrière. Tyrius, lances a la main s’approcha de la porte, puis laissant les plu costaux des haradrims fracassé la porte, il chargea suivit des autres.
Les hommes furent surpris mais ils étaient en grand nombre, plus d’une vingtaine, et les rodeurs épées a la main, attaquèrent les haradrims. Tyrius, voyant cela , embrocha un rodeur avant de dégainer son épée, il dut éviter deux attaques de rodeurs avant que ceux-ci ne tombent sous les lances haradrims , puis il dut tuer quelques paysans qui armés de faux, avait déjà abattu deux haradrims, il réussi a éviter l’attaque en faisant une roulade sur le coté puis il trancha le tendon avant d’enfoncer son épée dans le cou, mais les haradrims n’étaient plus que deux, Tyrius et Bludor se tenaient seul devant dix paysans armé et les trois derniers rodeurs.
Au moment la, Bludor cria et la seconde porte fut enfoncée, Tsalor a l’avant , ils attaquèrent par surprise et tuèrent une dizaine de paysans avant de se trouver autour des rodeurs. Ceux-ci chargèrent Tyrius et Blador, qui durent combattre avec tout l’acharnement possible et imaginable, les rodeurs étaient des soldats expérimentés, et Tyrius venait d’en abattre un quand il vit que Bludor se trouvait déjà a terre, blessé aux cotes. Les autres haradrims avaient chargé et avaient embroché les deux derniers rodeurs, les paysans furent tous exterminés mais ils offrit une résistance peut commune, ils tuèrent trois haradrims et en blessèrent cinq.

« Venez sauver Bludor , ordonna Tyrius ,et sauvez les autres blessés. »

Les haradrims restèrent deux jours dans la ferme, ils guérirent un peu de leurs blessures, puis ils prirent le plus de provisions possible, avec onze chevaux de libres, ils purent emmené plus de provisions que prévu, et ils mirent le feu a la ferme avant de partir.


Ils mirent trois jours a rentré chez eux, et quand ils arrivèrent , déjà dix personnes était mortes, et les autres en sous-alimentations.

« Haradrims, voici votre nourriture , cria Tyrius , en lançant un sac de légumes aux autres. »

Les villageois en furent heureux, et un grand chant de louange arriva aux oreilles du chef apprenant le retour des guerriers.
Il appela Tyrius et ses hommes qui arrivèrent devant lui :
« Bonjour chef, voici votre nourriture comme prévu, fit Tyrius.
_Je vois cela , mais ou sont les autres hommes.
_Ils sont tous morts, déclara Tsalor, les rodeurs et les paysans nous ont fait de gros dégâts.
_Comment, vous avez perdu des hommes contre des rodeurs ? Demanda le chef en se moquant des haradrims.
_Les rodeurs sont les élites du Gondor, fit Tyrius, je le sais car je me suis battu contre eux, et ce ne sont pas des faibles.
_Partez de mon village Tyrius, vous m’avez aidé mais je ne veux plus de vous, en tous cas vos soldats reste avec moi. »

Tyrius partit, prit son cheval et son équipement a l’auberge et se dirigea vers la sortie du village quand les neufs haradrims arrivèrent.
« Nous vous suivrons chef Tyrius ! crièrent les hommes du sud.
_C’est un honneur pour moi de vous commandez. »

Puis ils partirent en direction d’un autre village qui leur fit bon accueil.



Bilan : village sauvé,

Ennemis : 15 paysans et 10 rodeurs exterminés

Alliés : 11 haradrims de morts

voila la mission donné par Qv3me



Sauron veut te tester avec une petite mission facile. Un groupe de soldats du Gondor est entré en Harad et veut construire un camp fortifié. Pour l'instant, le camp n'est qu'une palissade de rondins avec des tentes à l'intérieur. Incendie ce camp et ne laisse rien. Sauron t'enverra des troupes en renfort qui arriveront pendant la bataille.

Troupes ennemies: 10 soldats du Gondor, 10 piquiers et et 10 rôdeurs de l'Ithilien

Troupes alliées: 5 archers Hardrims venu te prêter main forte et 10 orcs du Mordor envoyer par Sauron qui attaqueront le camp par derrière et qui arriveront pendant la bataille.



Je me suis permis de modifier un peu l’histoire.



Tyrius et ses hommes chevauchaient de village en village cherchant des missions et un foyer, et ils arrivèrent dans un village ou les hommes étaient fidèle a Sauron.
Ils se dirigèrent vers une grande maison, sûrement une auberge quand ils furent arrêté par un homme :

« Vous êtes les renforts donnés par Sauron ?
_Non, fit Tyrius, j’en suis navré.
_Puis-je quand même vous emmener au chef du village ?
_Pas de problème, nous vous suivons. »

Ils allèrent d’abord a l’auberge ou la, ils laissèrent leurs chevaux a l’auberge et neuf chambres leur fut offerte.
Ils suivirent l’homme jusque devant le chef qui se trouvait avec cinq autres haradrims debout a la sortie du village.

« Bonjour chef, je vous emmène des guerriers, fit l’homme.
_Bien, vous êtes les renforts envoyés par Sauron, déclara le chef.
_Non, désolé, fit Tyrius, nous sommes dix cavaliers errant qui peuvent sûrement vous aider.
_Bonjour guerrier, fit le chef, les renforts de Sauron ne viendront jamais, nous avons envoyé trente des nôtres attaqué un avant poste ennemis, et ils ne sont toujours pas la, on devait avoir des renforts mais on en a aucune nouvelle.
_Nous pouvons détruire cet avant-poste, mais nous ne savons pas ou il se trouve, ni l’effectif pour le faire, fit Tsalor.
_Je peux vous prêter cinq archers, ce sont les cinq derniers guerriers que nous pouvons laisser aller au combat, les autres doivent rester.
_C’est déjà très gentil de votre par, fit Bludor, on va faire de notre m… »

La conversation fut interrompue par dix orques qui venaient d’arriver.

« Nous sommes les renforts, fit le chef orc.
_Enfin vous voilà, fit le chef. Nous avons recruté d’autres soldats en votre absence, j’espère que vous détruirez cet avant poste.
_Avec des orcs vous êtes perdus, ils ne valent rien, fit Tyrius. »

Le chef orc énervé voulut trancher Tyrius, mais celui-ci se tourna, attrapa l’avant bras du monstre, et le brisa.

« Vous voyez, ce sont des êtres faibles, fit Tyrius en faisant tomber l’orc. Je ne pense pas que mes hommes soit aussi faible pour transporter des orcs, vous avez qu’a nous suivre pendant que nous, nous serons en avance avec les archers.
_C’est moi qui décide des ordres ! Cria le chef, mais je pense que vous avez raison quand même.
_Merci, nous ne vous décevront pas, fit Tyrius. »

Il partit, suivit de ses neufs hommes. Ils retournèrent dans l’auberge et se reposèrent, le lendemain matin, ils étaient déjà prêt a partir, sur leurs chevaux, lances à la main.
Les hommes preté étaient tous des archers, un se mit derrière Tyrius, un derrière Tsalor et Bludor et les deux autres derrière deux haradrims.
Les orcs arrivèrent aussi, n’aimant pas les chevaux, a part leurs viandes, ils décidèrent de les suivre à pied, de toute façon il ne serait pas monter sur aucun de ces chevaux car aucun cavaliers n’en aurait prit. Les cavaliers chevauchèrent lentement , histoire d’être suivit par les orcs, et au bout de trois jours dans le sable et les oasis seul source de vie dans ce désert. Un des archers leur affirma que l’avant poste se trouvait à deux kilomètres de la, entre les dunes. Les cavaliers décidèrent de prévenir les orcs, ceux-ci devaient soutenir leur allure pour que les haradrims ne soit pas trop seul durant les combats. Ils chevauchèrent plus rapidement, et arrivèrent sur les dunes sur élevé par rapport à l’avant poste.

Les Gondoriens avaient perdu leur sens tactique, pensa Tyrius, il n’aurait pas fait une bêtise pareille sinon, car ils ne pouvaient voir le nombre de leurs adversaires.


C’était un camp banal, avec des rondins de bois en guise de palissade et une entrée, cependant, les trente archers avaient dut faire mal, car une autre entrée était présente, ainsi que plusieurs trous et nombre de tombe se voyaient. Les cavaliers décidèrent de passer à l’action, pendant que Tyrius et les quatre cavaliers avec des archers occuperaient l’entré principal, les autres attaqueraient par derrière.

Ce fut fait, Tyrius chargea devant les autres, levant sa lance au née des Gondoriens qui était au nombre de trente, cinq archers, dix guerriers et dix piquiers, les haradrims n’avaient aucune chance, même avec les orcs.

Les piquiers arrivèrent devant lui, pique en avant prêta embrocher les cavaliers, les archers lancèrent deux volée qui tua sept piquiers, mais les archers du Gondor contre-attaquèrent et ces trois soldats haradrims tombèrent, un cavalier et deux archers. Les orcs venaient d’être aperçu et les cinq autres cavaliers attaquèrent par derrière, leur charge fit tomber six épéistes, mais ils furent eux aussi victimes des archers, et trois tombèrent, les cavaliers se replièrent et les orcs les rejoignirent les hommes du gondor venaient de sortir, quatre épéistes, trois piquiers et cinq archers.

Tyrius ordonna aux derniers archers de visée les piquiers et aux orcs de charger, ce fut vite fait, les trois piquiers tombèrent percé de plusieurs flèche, et les orcs avait subit le tir des rodeurs et n’étaient plus que quatre, ils se battaient avec ceux-ci , Tyrius en profita, avec les cinq derniers cavaliers, il chargea, les derniers archers abattirent le dernier archers ennemi après que celui-ci fasse tomber l’un des leurs et les cavaliers rencontrèrent les épéistes, quatre furent faucher tandis que les deux autres avaient fait tomber Tsalor et un des archers. L’archer n’eut pas le temps de se défendre qu’il était déjà mort, et Tsalor se trouvaient en face de deux soldats du Gondor qui avait l’avantage, surtout que deux rodeurs arrivèrent, rescapé des orcs. Le chef haradrims chargea sur les survivants, ordonnant à Tsalor de se mettre à couvert, et les cinq derniers gondoriens furent exterminés. Tyrius ordonna de voir s’il y avait des blessés, mais aucun pour le clan du mal, les blessés du Gondor furent tués.

Le dernier archer expliqua le but de la mission a Tyrius :

« On avait pour objectif de détruire l’avant poste, de le mettre en cendre.
_Tant mieux, on fera un bûcher géant en l’honneur de nos morts. »

Les haradrims ramassèrent les corps des quatre archers, des quatre cavaliers et des Gondoriens, par contre ils laissèrent les orcs pourrirent car ceux-ci ne valaient que cela.
Tsalor mit le feu au camp avant de partir, les cavaliers s’éloignèrent assez vite de l’avant poste, et mirent pied a terre à des kilomètres en voyant la fumée s’élevé, ils pensaient à leurs morts.
Puis ils continuèrent la route et rentrèrent au village, celui-ci heureux de les revoirs, apprit la terrible nouvelle de leurs trente morts et demandèrent à Tyrius de rester ce qu’il accepta.

Ce village était bien, les gens chaleureux, des soldats qui s’entraînaient tout le temps, de nouvelles recrues, un bon petit village en effet.



Bilan :

Ennemis :25 ennemis morts. Camp détruit.

Alliés : 5 cavaliers restant et 1 haradrims. 4 cavaliers+4 archers morts.


Tyrius attends une nouvelle mission

Note:

Action: 16/20 ( bien, mais tu aurais pu en faire plus )

longueur: 15/20 ( À l'avenir, fait des textes plus longs. Plus tu seras haut en grade, plus tu devras faire des textes longs. )

Histoire: 15/20

Orthographe: 9/10 ( une faute par-ci, un espace oublié par-là... rien de bien grave )

Note finale: 15.5 ( Bonne mission )

Action: 15/20

longueur: 15/20 Meme chose que Qv3me, a l'avenir des txtes plus long.

Histoire: 15/20

Orthographe: 9/10 Très bien

Note finale: 16 Excellente mission pour une première

est-ce qu'un capitaine aurait l'amabilité de me donner une mission? il me reste 5 cavaliers lanciers haradrims et il me faut 0.5 pts pour passer sergent chef.

Alors que tu campes près d'une oasis, un cavalier criblé de flèches arrive à ton camp. Avant de mourir, il t'explique qu'un groupe de nombreux orcs ont attaqués son village et que les survivants se sont rassemblés dans une caverne sous le sable. Tu dois aller chercher les soldats et reprendre le village.

Troupes alliées: Toi, tes hommes, 20 archers et 10 épéistes haradrims. 10 enfants et 20 femmes dans la caverne.

Troupes ennemies: 50 orcs. 25 avec des épées, 15 avec des lances et 10 avec des arcs. Le tout sait assez bien se battre.

Voilà. SI ça peut t'aider, je vais te donner des indices pour l'histoire.

1) le village est à moitié en flamme

2) la caverne est creusée dans une dune et il y a à l'intérieur tout ce que les villageois ont pu sauver. ( tapis, coffres, etc... )

3) Le combat sera assez rude au vu du nombre d'ennemis et qu'il ne sont pas mauvais au combat.

merci bien, alors j'ai 35 unités contre 50 orc, sa va le faire^^ merci pour tes indices

juste un truc,

gimli ma donner 16 mais qv3me je devrais pas avoir plus de 15.5? j'ai pas 16?...

J'arrondis a chaque fois et vus que tuas eu 15.75/20 j'ai arrondis a 16.

oui, et je 'en remerçie mais avec qv3me je crois que j'ai 16 tout rond en fait

A ok, j'avais mal compris ce que tu as dis alors, peut être fait il la même chose que moi.

oui peut-être mais on normalement sa note devrait être supérieur a la tienne, puisque lui ma donner pareil que toi sauf un 16 en plus

Alors que tu campes près d'une oasis, un cavalier criblé de flèches arrive à ton camp. Avant de mourir, il t'explique qu'un groupe de nombreux orcs ont attaqués son village et que les survivants se sont rassemblés dans une caverne sous le sable. Tu dois aller chercher les soldats et reprendre le village.

Troupes alliées: Toi, tes hommes, 20 archers et 10 épéistes haradrims. 10 enfants et 20 femmes dans la caverne.

Troupes ennemies: 50 orcs. 25 avec des épées, 15 avec des lances et 10 avec des arcs. Le tout sait assez bien se battre.

Voilà. SI ça peut t'aider, je vais te donner des indices pour l'histoire.

1) le village est à moitié en flamme

2) la caverne est creusée dans une dune et il y a à l'intérieur tout ce que les villageois ont pu sauver. ( tapis, coffres, etc... )

3) Le combat sera assez rude au vu du nombre d'ennemis et qu'il ne sont pas mauvais au combat.



Tyrius et les cinq survivants de leur dernière bataille était toujours dans ce même village, les jours passaient et plus les haradrims restaient dans ce village moins ils en avaient envie de partir, ils avaient tous des femmes a part tyrius on ne sait pourquoi.
Bludor vint un jour parler a son chef, qui s’entraînait avec de jeunes soldats :

« Pourquoi restez vous la à entraîné les jeunes ? Demanda-t-il.
_Parce que je l’ai décidé ainsi, toute façon j’ai rien a faire d’autres.
_Et bien si, nous on a des femmes, celle de tsalor est enceinte et la mienne aussi et je vous veux comme parrain.
_J’accepte et dit à Tsalor que j’accepte aussi pour son enfant.
_Comment cela ?
_A première vu je suis un parrain très convoité, fit Tyrius en rigolant, mais sa me dérange pas.
_Merci, chef , mais pourquoi ne prenez-vous pas de femme, ils y en a plein ici qui aimeraient l’être.
_J’en ai déjà une.
_A oui, et ou sa ?
_En gondor. »


L’haradrim , ne savait pas quoi dire, il était bouleversé pas cette nouvelle, un haradrim marié avec une gondorienne comment est-ce possible… Sans poser de question a son supérieur il décida de rejoindre sa femme et Tyrius recommença l’entraînement.
Les haradrims apprirent vite la nouvelle et les cinq derniers cavaliers allèrent voir leur chef.
IL s’entraînait toujours, avec une dizaine d’haradrims d’une quinzaine d’année, leur montrant les techniques de contre et d’attaque, il était très appreçié par ceux-ci, comme un grand frère.
Les cavaliers armes a la main, se dirigèrent vers Tyrius, et celui-ci se retournant, dit aux adolescents de partir.

« Que voulez-vous soldats ?
_Traître !!!
_Pourquoi vous me traitez de traître, qu’es je fais ?
_Tu as une femme en Gondor, sa suffit.
_Déjà baissé vos armes car j’ai des choses a vous dire, mais pour cela suivez-moi. »

Tyrius se dirigea vers une maison, celle qu’il avait construit avec ses camarades. Ceux-ci le suivirent et rentrèrent dans ce qui était le salon. Il s’assirent tous autour d’une table en bois marron. Tyrius commença a parler :

« Il est l’heure de vous avouez quelque chose, il y a dix ans je fut emmener par mon père en Gondor, j’avais exactement treize ans, je m’étais déjà battu mais je n’éprouvais pas de haine pour le Gondor.
Il m’emmena donc dans une ferme , la les paysans m’adoptèrent et jamais plus je ne revis mon père, je sais juste qu’il fut tué avec ma famille lors d’un assaut des rodeurs.
Donc j’ai été élevé par un fermier qui m’appris toutes les valeurs que j’ai aujourd’hui qui sont de ne jamais tué de femmes ni d’enfants, de ne jamais se battre avec l’avantage, toujours être égaux avec son adversaire tant que c’est possible, la seul chose que j’ai oublier c’est de me battre pour une bonne cause.
Je fut recruté par le gondor a mes vingt ans, la j’eu une formation avec les rodeurs et je fit plusieurs raids contre les haradrims, les orcs, les orientaux, etc…. »

Les soldats étaient tous bouche bée, leur chef un ancien ennemi, pourtant si ils ne l’auraient pas dis, personne n’auraient pu le croire. Tyrius reparla :

« J’appris tout les maniements de l’épée possible, de la lance et de l’arc, j’étais un bon soldat, je fut un jour capturé par les ennemis, je croyais que mes amis m’auraient sauvé et bien non, ils m’ont laissé me faire torturer, j’ai dut supporter maintes choses avant que les ennemis ne me relâchent, car la vengeance c’était emparé de moi, et je voulait tué ces hommes qui abandonnaient leurs amis alors que jamais je n’avais abandonné quelqu’un. Et ce fut à cette période que je m’exilais en harad. »

Les haradrims étaient toujours stupéfait, ne savant pas quoi dire, Tsalor demanda juste comment il avait pu avoir sa femme.

« Je l’ai rencontré a mes dix huit ans, je l’ai aimé dès que je l’ai vu et je l’aime toujours, mais c’est elle qui m’a aider a survire mais j’ai oser oublier son nom et j’espère la revoir.
_Excusez nous chef de vous avoir mal jugé , firent les haradrims.
_Ce n’est rien, vous m’avez pardonné et j’ai confiance en vous. »


Les soldats repartirent chez eux, laissant seul Tyrius dans ses pensé essayant vainement de se souvenir du nom de sa bien aimé, seul son visage est présent dans sa mémoire, une belle femme brune ,et Tyrius pour ne pas craquer retourna a l’entraînement. Appelant tous les ados, il leur expliqua encore et encore les techniques de l’épée, et a la tombé de la nuit, les enfants partirent chez eux, ils c’étaient entraînés quatres heures sans pause, tous exténués a part le sergent.
Celui-ci rentra chez lui, s’endormant bientôt et vit une fois de plus le visage de sa femme.

Il se réveilla encore tôt le matin, en sueur après un cauchemar maintenant habituel.
Il attendit que ses hommes soit levé, et leur demanda de ce mettre en selle.
Les haradrims furent près et partirent donc, ils mirent deux jours avant d’arriver à un oasis, la ils demandèrent à Tyrius pourquoi ils étaient partis :

« Je ne voulais pas que l’on perdre l’habitude des grandes chevauché, nous allons encore parcourir plusieurs centaines de kilomètres. »

Les haradrims étaient d’accord et ils remplirent leurs gourdes. Quand un cavalier inconnu arriva, un grand haradrim qui s’écroula peut de temps avant la rencontre, tomba à terre, il était percé de cinq flèches et il ne lui restait plus de temps a vivre. Il parla aux cavaliers :

« Enfin…des alliés… on a été attaqué, par des orcs… sauvez les rescapés, ils sont… arg ! dans une … grotte au fond des dunes a 3 kilomètres… suivez l’étoile la plus brillante…et, et vous les trouverez, prenez ce foulard… sa …sa veut dire que vous faites partit des… Des nôtres… »

L’homme venait de mourir, et les haradrims furieux contre les orcs décidèrent de sauver les villageois.
Ils attendirent la nuit, puis se mirent en selle, ils écoutèrent le conseil de l’homme et suivirent l’étoile, ils chevauchèrent longtemps jusqu’au jour, ils avaient tourné en rond ne trouvant pas la grotte et avait décider d’aller a pied, Tyrius en avant avec le foulard autour du bras gauche, ils cherchèrent longtemps avant de la trouver, garder par dix haradrims. Les cavaliers s’avancèrent et montrèrent le foulard. Les soldats les laissèrent passé et ils arrivèrent dans la grotte, ils y avaient une trentaine de soldats en tout, et des femmes et des enfants. La grotte était remplie de bijoux et de babioles, de nourriture et d’eau. Tyrius demanda à parler avec le chef. Un épéiste arriva :

« C’est moi.
_Bonjour, nous avons trouvé un de vos cavaliers, et il m’a demandé de vous aidez. Il m’a aussi donné ce foulard.
_Oui, c’est le foulard de notre ancien chef, il m’a désigné pour le succéder alors qu’il couvrait notre fuite.
_Que c’est-il passé ?
_Des orcs, des saleté d’orcs qui nous ont attaqué par surprise, une bonne centaine, ce que vous voyez ici est la seule chose qu’il nous reste.
_Êtes vous prêt a vous battre ?
_Oui, nous voulons récupérer notre village.
_Alors soyez prêt, demain nous partirons , si vous me suivez bien sur.
_D’accord mais comment faire pour les femmes ?
_On peut les laisser ici , les orcs sont trop bêtes pour les trouvez mais laissons leurs des armes, ont ne sait jamais.
_Oui, fit une femme, moi et certaines savont tirer a l’arc, on peut se défendre !
_D’accord, fit Tyrius, nous on va nous préparer aussi, nos lances sont avec vous ! »

Les haradrims se reposèrent, le lendemain matin, ils laissèrent cinq arcs et trois carquois aux femmes, les cavaliers de Tyrius devant avec trois archers, les autres derrière. Ils marchèrent pendant des heures, dans les dunes de sable et arrivèrent pendant la nuit au village. La moitié du village était en flammes, éclairant le village, on pouvait voir des dizaines de corps a terre, des haradrims et une centaine de corps d’orcs, les derniers pillèrent encore pendant la nuit et firent brûler quelques maisons. Le matin, les archers partirent en éclaireur, les haradrims s’entraînaient et attendirent quelques minutes, là les archers déclarèrent que cinquante orcs étaient encore debout, une dizaine armé de piques et dix archers. Tyrius proposa un plan :

« Les épéistes et les archers vous serez les premiers a vous montrez, vous aller pilonner les ennemis tandis que les épéistes vous protégerons, nous nous allons les contourner et attaquer par derrière, les ennemis devraient laisser derrière leurs archers sans protection, enfin j’espère. »

Les haradrims appreciaient le plan, et se mirent en marche, arrivant a la vue des orcs, ceux-ci crièrent en les voyant et chargèrent sans perdre de temps.

Les archers haradrims lancèrent plusieurs volée, beaucoup moins précise que celle des rodeurs, mais plus précise quand même que celle des orcs, une dizaine tomba, transpercer de toute part et les archers ennemis c’étaient placé derrière les piquiers et les épéistes comme on pouvait s’y attendre, Tyrius et ses cavaliers allèrent bientôt chargé derrière les orcs. Une dizaine d’orc tomba encore, et les épéistes haradrims étaient en mauvaises postures, ils durent affronter les pics orcs, plus les épéistes, ils se battrent avec toute l’ardeur possible, tranchant tout ce qu’ils pouvaient, ils tombèrent tous ci bien que les archers durent dégainer leurs petites épées et durent combattre au corps a corps. Pas habitué aux combat au corps a corps, ils firent quand même de gros dégats0 Les archers orcs avaient déjà abattus trois épéistes et deux archers quand Tyrius arriva, les cavaliers chargèrent , Tyrius fonçant droit devant, écrasa deux orcs et en tua un troisième, les cavaliers en firent de même et les dix archers ne firent pas long feu , puis ils allèrent aidé les archers, ils en restaient que sept, entouré de quinze orc dont trois avaient des piques, les cavaliers chargèrent, coupant les têtes de leurs ennemis quand un des piquiers abattit un cavalier, celui-ci avait été transpercé , le cœur au bout du pic orc, les cavaliers furieux abattirent le piquiers, les archers haradrims eux avaient attaqué, tuant les deux piquiers et trois orcs. Les cavaliers avaient continuer le massacre et les derniers orcs furent tranchés, et se trouvaient à terre, aux prix d’un mort et d’un blessé chez les cavaliers.


Mais les cinq derniers archers avaient autres choses a faire, ils commencèrent à retourner dans le village, prirent les mort et les enterrèrent, les cavaliers eux, enterrèrent leur soldats morts, et aidèrent les archers, puis à la demande de ceux-ci allèrent chercher les femmes et les enfants. Ils revinrent après deux jours, les femmes crièrent de douleur et pleurèrent. Les cavaliers aidèrent les archers, plusieurs jours durant ils durent enterrer les victimes des orcs, et au bout de cinq jours, laissèrent les villageois et rentrèrent chez eux. Quand ils arrivèrent au village, la femme du cavalier tombé s’écroula, ses enfants aussi, mais les autres les relevèrent, ensemble tout était possible, et jamais on ne les séparera. Le fils de l’haradrim mort, pendant les jours suivant s’entraîna avec Tyrius, empli de rage, comme le chef qui se lia d’une grande amitié avec lui, une sorte d’oncle. Et la vie reprit son cours, les haradrims s’entraînèrent ensemble une fois par semaine et une fois toutes les deux semaines, ils partaient chevaucher et allèrent au village qui petit a petit retrouvait vie, ils y avaient eu beaucoup de fuyards et ce fut bientôt cent femmes et soixante-quinze enfants qui étaient présent avec les cinq derniers hommes. Après que le village fut totalement ou presque réparer, ils rentrèrent chez eux, car a cinq que pouvaient-ils faire…



Bilan : 1 cavalier de morts + 10 épéistes + 15 archers
village sauvé

ennemi :50 orc exterminés

Bon texte, mais évite les espaces trop souvent... Ca donne l'impression qu'il y a pas beaucoup de texte...

merci de ton conseil gauthier, sinon qv3me pour ma note, j'ai vu que t'étais déborder alors prend ton temps mais pas trop quand même, merci

Ta note:

longueur: 16/20 ( Bien long mais tu vas devoir toujours faire un peu plus long. )
Action: 15/20 ( Un peu plus et ce serait parfait. )
Orthographe: 8/10 ( Une faute d'accords par-ci par-là...rien de bien grave. )
Histoire: 16/20 ( Pas mal l'histoire de la femme du Gondor. J'ai beaucoup aimé. )

Note finale: 15/20 ( Bonne mission. Je crois que tu passes Sergent-Chef. Attends juste la confirmation de Nico. )

merci, je crois que j'ai 3.5 point donc logiquement je passe sergent chef et je prend pour troupes:


30 cavaliers haradrims ( lances /épées)
20 guerrier mahûd sur dromadaire ( épées / arcs)

j'espère avoir le droit au guerrier mahûd.


je demande au modo une réponse mais si je pense que c'est ok, et je demande une mission aussi merci

Félicitation pour ta montée en grade !

Mission

Briefting :
Une caravane de marchands vient de partir de Dol Amroth. Il s'agit en fait d'une couverture, et la caravane transporte une importante somme d'argent destinée a acheter plusieurs villages haradrims afin qu'ils se rebellent contre l'autorité de Sauron. Ton objectif et de stopper et massacrer le convoi, et si possible de rapporter l'or.

Troupes ennemies :
Une quinzaine de guerriers de Dol Amroth habillés en marchands ( portent une dague )
20 Guerriers de Dol Amroth avec lance et épée courte
10 Guerriers de Dol Amroth avec arc long
5 Chevaliers de Dol Amroth montés

Voila

Briefting :
Une caravane de marchands vient de partir de Dol Amroth. Il s'agit en fait d'une couverture, et la caravane transporte une importante somme d'argent destinée a acheter plusieurs villages haradrims afin qu'ils se rebellent contre l'autorité de Sauron. Ton objectif et de stopper et massacrer le convoi, et si possible de rapporter l'or.

Troupes ennemies :
Une quinzaine de guerriers de Dol Amroth habillés en marchands ( portent une dague )
20 Guerriers de Dol Amroth avec lance et épée courte
10 Guerriers de Dol Amroth avec arc long
5 Chevaliers de Dol Amroth montés


Tyrius était retourner au village depuis sa dernière mission, ses deux grands amis étaient rentré chez eux et les deux autres aussi, ils n’étaient que cinq survivants, plus ils faisaient des missions, et plus ils avaient de pertes.
Mais ils ne pensèrent guère a cela, le chef haradrim voulait toujours revoir sa femme, et il en parla avec ses cavaliers :

« Je vais devoir vous quittez, je pars .
_Ou sa chef ? Demandèrent les cavaliers.
_Trouvez ma femme.
_Vous voulez qu’on vous accompagne ?
_Bien sur que non, vous voulez mourir, il n’en ai pas question.
_Vous voulez partir sergent ? Fit un homme inconnu.
_J’en avais l’attention mais qui êtes vous ?
_Je suis un soldats envoyés par le roi des haradrims qui vous as fait passer en grade. Vos exploits certes petits ont été entendu par notre roi »

L’homme était assez grand, en armure qui était doré et pourtant sa cape et le reste étaient noir. Il avait l’air assez vieux mais pourtant très fort. Tyrius lui répondit :

« J’en suis grandement heureux.
_Venez dehors, j’ai une chose a vous montrez, a tous. »

Les haradrims le suivirent en dehors de la maison de Tyrius et là, ils virent vingt-cinq cavaliers, tous comme eux, maniant la lance et l’épée. Ils baissèrent la tête quand Tyrius s’approcha et le messager lui déclara que tous ces cavaliers faisaient partis de ses soldats désormais.

« Merci, fit le sergent.
_Ce n’est pas moi qu’il faut remercier mais notre roi, en tous cas vous n’allez pas tarder à partir de ce village, et vous devenez sergent-chef et d’autres guerriers arriveront, ils seront eux aussi avec vous.
_D’accord.
_La guerre approche, on va enfin avoir ce qu’on mérite, déclara le messager. »

Puis celui-ci partit, sur un grand cheval noir suivit de deux soldats eux aussi vêtues de noir.
Mais les haradrims ne purent ce reposez, un des nouveaux soldats apportaient une petite lettre, disant qu’ils devaient intercepter une caravane ennemie, ils trouveraient des alliés en chemin. Mais ils fallaient se dépêchez, les anciens dirent adieux a leur famille et se mirent en selle, Tyrius aussi et quand tous furent prêts, ils partirent.
Les cavaliers chevauchèrent pendant plusieurs jours, avant d’arriver à un oasis, ils n’avaient traverser que des dunes de sable, ne virent que du sable, dormant dans le sable, même s’ils étaient habitués, le sable les énervaient un peu tout de même. Ils remplissèrent leurs gourdes et au moment de partir, un des cavaliers cria, il venait de voir des soldats qui arrivaient, tous prirent leurs armes. Les lanciers attendirent trois minutes avant d’apercevoir, des chameaux. Les soit-disant soldats devaient être des marchands, c’est tout, pour être sur des chameaux. Ils baissèrent tous leurs armes et les posèrent par terre, bien que certains gardèrent quand même la main sur le manche de leurs épées. Les marchands mirent plusieurs minutes avant d’arriver, ils n’avaient rien dit, mirent pied a terre, et c’est à ce moment que les haradrims furent surpris, c’étaient des guerriers mahûd, eux, qui habitent dans le lointain désert, que venais t-il faire ici ? En tous cas ils étaient armés.
Le plus grand des guerriers parla :

« Est-ce que le dénommée Tyrius est-ici ?
_Oui, c’est moi, fit l’homme concerné en s’approchant.
_Je viens pour vous servir, nous les mahûds voulons nous battre .
_Ecoutez, vous êtes tous les bienvenue, mais vos chameaux vont nous ralentir.
_Les chameaux sont moins rapides, certes mais beaucoup plus endurants que vos chevaux, et nous arriverons toujours a l’heure, c’est moi qui vous le dit.
_D’accord alors on va voir, nous devons aller au Nord Ouest du harad sur la route qui amène au Gondor, vous savez ou c’est ?
_Bien que l’on habite loin, on sait quand même des choses
_ Alors on va voir qui y sera le premier. »

Les cavaliers justes remit, ne purent faire connaissance, et ils partirent de suite, suivit par les mahûds qui étaient assez loin. Ils chevauchèrent longuement en direction du Nord du harad et ils arrivèrent bientôt devant la route. Les chevaux exténués ils durent les faire boire et les cavaliers assoiffé durent se réhydrater. Les mahûds arrivèrent une heure après, les guerriers mirent fin a leur soif mais leurs chameaux n’étaient pas fatigués, ne semblant pas manquer d’eau. Ce qui troubla les haradrims :

« Comment cela fait-il que vos montures n’est pas besoin de boire ?
_ Vous voyez leur bosse ? Expliqua un guerrier, elles sont remplis d’eau, les chameaux boivent longtemps et gardent de l’eau dans leur bosses, une petites réserve les permettant de supporté beaucoup mieux le désert que vos chevaux. »

Les cavaliers restèrent ébahis, voilà le secret, mais sa ne changerais rien dans un combat, alors quoi bon en parler. Ils se reposèrent pendant cinq longues heures et repartirent en direction de la petite route du harad. Ils y arrivèrent au bout d’une vingtaine d’heures et décidèrent de dormir, les mahûds arrivèrent eux le lendemain matin et étaient tous prêt au combat, a première vue un faux convoi devait passer par la et ils devraient les détruire. Les espions de Sauron étaient partout, même dans cette cité de Numénoréen.
Quand au loin, ils virent enfin l’ennemi, cinq chariots protégé par cinq cavaliers portants comme insigne le cygne blanc sur fond bleu. Tel était le blason de Dol Amroth, grande principauté du Gondor. Les ennemis se voyaient de plus en plus, et les haradrims s’aperçurent que vingt guerriers armés de lances et de boucliers ,étaient autour du convoi. Cela allait être dur, Tyrius connaissait la force des gens de Dol Amroth, il en avait déjà entendu parler. Il prépara une petite embuscade, les cavaliers haradrims devaient se séparer en deux groupes, un arrivant par l’avant avec Tyrius, l’autre par derrière avec Bludor et Tsalor et les mahûds sur les flancs. Tyrius sur de son plan, attendit que le convoi arrive au beau milieu, pile à l’endroit ou il voulait, il s’avança seul, sa lance en main. Puis les soldats du Gondor crièrent :

« Que fais-tu la étranger !
_Je vous demande de vous arrêtez au nom de mon Roi, et de Sauron ! Ou bien vous allez tous mourir ! »

Les ennemis rigolèrent, puis ils chargèrent, les guerriers aussi et c’est a ce moment que Tyrius leva son bras, tous les alliés arrivèrent en même temps, les quinze cavaliers affrontèrent les soldats montés de Dol Amroth, malgré l’avantage numérique ils eurent beaucoup de mal.
Tyrius en tua un, il évita de peu la lame ennemie qui se planta dans sa selle, puis il le transperça avec sa lance le jetant à quelques mètres, il fut mis à terre par des épéistes, qui lui avait attrapé la jambe, le chef eu juste le temps de prendre son épée et de laisser le gondorien s’empaler sur sa lame. Mais les ennemis étaient plus nombreux que prévu, les marchands étaient en fait des guerriers, et ils sautèrent sur les cavaliers qui arrivaient par l’arrière, cinq tombèrent, un gros trou dans la gorge provoqué par les ennemis, et en plus de ceux la, dix archers étaient présent, dans les chariots. Ils mirent a terre cinq haradrims avant que les mahûds qui arrivaient sur les flans n’attaquent, leur volée fit cinq morts, dont trois archers. Déjà dix haradrims étaient morts, et ils durent résister à la charge violente des piquiers et aux résistants cavaliers, qui firent de gros dégâts, les quatre derniers chevaliers tranchaient, mirent à terre presque huit haradrims avant de tomber, un se prit cinq flèches venant des mahûds, l’autre, ce fut Tsalor et Bludor qui l’abbattèrent, les deux lances traversèrent l’armure lourde, avant de ressortir ensanglanté du corps de son ennemis.
Les deux autres furent tués par les derniers haradrims, un eu la gorge transpercée par une lance, l’autre se fit abattre par les épées de maints haradrims.
Cependant les piquiers étaient toujours la, et sur les trente cavaliers seuls sept étaient encore debout pour dix piquiers, déjà beaucoup de morts jonchaient le sol, des chevaux en grand nombre, les piquiers ennemis avaient chargé, piques en avant, s’empalant dans les montures ou dans le corps des haradrims, mais quand un haradrim se faisait tuer, il était directement vengé par un de ses compagnons qui tranchait la tête de l’ennemi, qui le chargeaient, qui l’embrochait.
Une autre volée arriva des guerriers mahûds, elle fit trois victimes et les cavaliers en profitèrent, chargeant sur les piquiers du gondor qui étaient déconcentré, leurs yeux dirigés vers les guerriers du désert. La charge des derniers cavaliers anéantis tous les espoirs des gens de Dol Amroth,
Ils tuèrent les derniers piquiers au prix de deux pertes, tranchant les têtes, puis ils chargèrent sur les soi-disant marchands qui avaient quitter les chariots, leur charge fut rejointe par celle des chameaux des Mahûds, les chameaux quand ils sprintaient étaient aussi rapides que les chevaux et tous les soldats même avec leur résistance acharnée ne purent rien faire, les soldats de Sauron formèrent un cercle, puis ils massacrèrent les ennemis, et quand le cercle se refermait, le dernier ennemis se prit trois lances et maints coups d’épées, du sang couvraient les chevaux sur tous le corps, et Les cinq derniers archers du Gondor prirent un chariot et voulurent s’enfuir, un conduisaient et les autres couvraient la retraite.
Les guerriers mahûds qui étaient encore treize chargeaient en premier, suivit des quatre cavaliers haradrims et de tyrius, les hommes d’harad virent deux grands guerriers de leur monture, le chariot était lent, ils allaient bientôt l’atteindre, deux autres mahûds tombèrent, puis ils tirèrent, tuant deux archers, la victoire était donné, les cavaliers avaient entourer le chariot et le conducteur avait été tué. Les deux derniers archers voulurent se rendre mais ils furent tués, leur tête coupée et placée sur des piques, rappelant à tous le monde la puissance du Harad.

Les haradrims comptèrent les derniers soldats restant, huit mahûds étaient la, quatre lanciers haradrims, les pertes étaient énormes mais le butin aussi, un immense trésor était la, mais si peu, ils seraient attaqués par les pillards, ils durent envoyer des cavaliers pour allez cherchez des renforts, Tsalor, Bludor, et trois mahûds partirent. Pendant deux jours, ils enterrèrent leurs morts, creusant d’immense fosse dans le sol puis les rebouchèrent, ils laissèrent les corps des Gondoriens aux rapaces et aux charognards, si bien qu’au bout de quelques heures, des vautours, des hyènes et autres bêtes arrivèrent, mangeant les corps, mais les combattants du mal avaient faim, les mahûds tirèrent plusieurs fois, et ils touchèrent un vautour et deux hyènes, un bon repas pour si peu de soldats. Ils mangèrent bien, la chair des hyènes étaient meilleurs qu’ils le pensaient et quand les alliés revinrent, ils étaient suivis de cent haradrim dont un hasharii, qui eux, normalement basé à Hsar Karnakh. Le trésor devait vraiment être important, des cavaliers serpents arrivaient eux aussi, soldats d’élites du grand Suladân. Les alliés, tous a cheval arrivèrent vers Tyrius, l’hasharii en premier, le sergent baissa la tête, il avait appris qu’il ne faillait jamais traité un des assassins de Sauron comme n’importe quel homme, les hashariis sont plus puissants que tous les chefs haradrims réunit. Les soldats d’élites arrivèrent après, ils félicitèrent les cavaliers de Tyrius et s’occupèrent du trésor. Ils partirent vers le sud, un immense tas de poussière s’élevaient suite au pas des chevaux.
Les soldats du sergent ne virent pus jamais le trésor, et durent rentrer seul.

Bilan : convoi massacrer, 50 ennemis morts

Alliés : 2 cavaliers+ Tsalor+ Bludor + 8 guerriers mahûds.
Trésor récupéré par Sauron, total réussite de la mission malgré les grandes pertes, attends une nouvelle mission.

Tu te décide à voyager un peu pour explorer le Harad. Là, tu rencontre un groupe de fermes. Les fermiers t'apprennent que l'homme qui les dirigent est un tyran et qu'ils prévoient une révolte. Tu décide de les aider. Le tyran habite une maison entourée de remparts. La révolte est en marche!

Troupes ennemies: 25 gardes avec armures et piques, 25 gardes avec arcs et armures, un homme assez gros qui est le tyran.

Troupes alliées: 50 paysans armés d'arcs, 75 paysans armés de n'importe quoi ( fourches, dagues, bâtons, râteaux, pelles, tout ce que peuvent obtenir des paysans quoi... ) Le tout ne sait pas bien se battre, 8 échelles qui ne sont pas bien faites et peuvent craquer à n'importe quelle surcharge de poids, 2 échelles solides.

Je me suis dit que cette mission irait bien avec le caractère de ton personnage.

Bonne chance!

P.S: Je viens de remarquer: L'haradrim corrompue. Il n'y a pas de " e " à " corrompu " , sinon, c'est une fille.