Les Guerres de la Terre du Milieu
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Les Guerres de la Terre du Milieu

La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

 

 Tyrius : l' haradrim corrompu

Aller en bas 
+7
Alegolas91
Ulfang
Nico33333
Gauthier555
Gimli2oo
qv3me
Tyrius
11 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3  Suivant
AuteurMessage
Ulfang
Grand Combattant de l'Est ¤ Fléau des Paysans
Grand Combattant de l'Est ¤ Fléau des Paysans
Ulfang


Nombre de messages : 298
Age : 30
Localisation : 1600, pennsylvania avenue
Date d'inscription : 16/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMar 3 Fév - 20:54

Et hop, voila ta note Wink

longueur: 16/20 ( Plutot bien )
Action: 16,5/20 ( Pas mal, mais ca manque de descriptions sanginolentes... )
Orthographe: 7,5/10 ( Des phrases parfois un peu " simplistes " je trouve... )
Histoire: 17/20 ( Bonne Smile )

Note finale: 16 Wink
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeJeu 5 Fév - 11:22

oki merci, j'avais pas vu que tu m'avais donné une missio Qv^^ et oui sa va bien avec le caractère de mon perso et comment je peux faire pour enlevé le "e"?
Revenir en haut Aller en bas
qv3me
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
qv3me


Nombre de messages : 802
Age : 28
Localisation : En Rohan
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeJeu 5 Fév - 18:39

Dans ton premier message, tu clique sur " éditer " et tu peux le réécrire. Tu n'auras qu'à corriger l'orthographe de ton titre. Rien de plus simple.
Revenir en haut Aller en bas
https://www.youtube.com/qv3me
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 7 Fév - 13:08

Tu te décide à voyager un peu pour explorer le Harad. Là, tu rencontre un groupe de fermes. Les fermiers t'apprennent que l'homme qui les dirigent est un tyran et qu'ils prévoient une révolte. Tu décide de les aider. Le tyran habite une maison entourée de remparts. La révolte est en marche!

Troupes ennemies: 25 gardes avec armures et piques, 25 gardes avec arcs et armures, un homme assez gros qui est le tyran.

Troupes alliées: 50 paysans armés d'arcs, 75 paysans armés de n'importe quoi ( fourches, dagues, bâtons, râteaux, pelles, tout ce que peuvent obtenir des paysans quoi... ) Le tout ne sait pas bien se battre, 8 échelles qui ne sont pas bien faites et peuvent craquer à n'importe quelle surcharge de poids, 2 échelles solides.

Je me suis dit que cette mission irait bien avec le caractère de ton personnage

Tyrius venait de revenir chez lui, seul deux hommes du village étaient revenu, deux autres cavaliers, et les huit guerriers mahûds. Les femmes pleurèrent , et la rage envahissaient le cœur des enfants, qui pour certains participaient aux entraînements du chef haradrim.
Les jeunes étaient inexpérimentés, et l’ancien soldat du Gondor leur appris le maniement de la lance. Il avait une épée en bois a la main droite et une fausse lance a la main gauche, les jeunes chargeaient eux aussi soit armés d’une épée en bois ou alors d’une fausse lance. Les épéistes fonçaient au corps a corps, le chef des cavaliers contraient toutes les attaques avant de donner des coups, ils les frappaient aux niveaux des cotes, de la cage thoracique et du cou, tous étaient a terre, ayant plus ou moins mal car l’haradrim n’avait pas frapper fort. Puis ce fut au tour des jeunes lanciers, leur piques en avant, ils voulurent embrocher Tyrius qui les évita et qui en cassa trois, lui attaqua aussi avec sa lance, touchant les jeunes qui avec une vrai arme seraient embrocher. L’entraînement était fini, seul un jeune aurait survécu a un combat. Le sergent en chef le félicita, et lui ordonna de rentrer chez lui. Tyrius aussi alla dormir, pensant toujours a sa femme.
Il la vit, dans le désert traîné par des corsaires, corde a la main , du sang sur son visage et il entendit le hurlement plein de douleur de sa femme. Ce réveillant en sursaut, sueur au front, il s’aperçu que ce n’était qu’un cauchemar.
Le lendemain matin, il appela ses hommes, il leur dit qu’ils allaient parcourir le désert, en quête d’une chose importante, seul Bludor et Tsalor comprirent , les autres ne dirent rien et préparèrent leurs montures.
Les deux anciens parlèrent a leur chef :

« Que ce passe t-il, vous avez vu votre femme ? Fit Bludor.
_Oui, capturer par les corsaires, je veux en avoir le cœur nette, dans ma vision ils se trouvaient en plein désert.
_Cela ne nous aide pas beaucoup, déclara Tsalor.
_Oui, mais je la chercherais jusqu'à la mort.
_Alors nous vous suivrons , firent les deux camarades. »

Les cavaliers se préparèrent, Tsalor et Bludor firent leurs adieux a leurs femmes, et rejoignirent leurs camarades, Tyrius parla aux enfants, il leur dit que maintenant, c’étaient les seul qui pouvaient protéger leurs familles, qu’ils étaient assez forts pour le faire. Car le village avait diminué, plus que cinq hommes, des paysans, vingt-cinq femmes dont la plupart enceinte, quarante garçons dont quinze savaient se battre.
Les cavaliers partirent, en direction de nul part, traversant les étendues désertiques. Ses soldats au bout de cinq jours commencèrent a en avoir assez, et ils se mutilèrent, Tyrius et ses deux amis durent faire face aux dix autres.

« Que voulez-vous soldats ?
_Pourquoi l’on traverse ce désert ?
_Parce que j’ai quelque chose d’important a régler.
_Moi je ne vous suit plus en tous cas, fit un haradrim.
_Moi non plus !Ni moi, firent les autres.
_Que voulez vous donc a la fin, fit Tyrius excédé.
_Nous reposez, il y a des fermes plus loin.
_D’accord alors allons vers ces fermes. »

Les cavaliers changèrent d’itinéraire, et ils arrivèrent en quelques minutes devant une petite ferme. Un bruit sourd ce fit entendre, les paysans avaient des soucis. Tyrius et ses hommes entrèrent violemment et ce fut cinq hommes en armures qui s’interposèrent entre eux et les paysans.

« Que faites vous ici Haradrims ? Fit le plus grand .
_Nous venons nous reposez et vous ? Répondit Tyrius.
_Ces paysans ont manqués de respect a mon maître, nous allons les tuez.
_Non ! Cria Tsalor , Faites cela et nous vous tuerons nous aussi !
_A oui ! Et qui êtes vous pour avoir le pouvoir de m’en empêcher.
_Nous sommes treize soldats entraînés et il y a huit guerriers qui sont avec des arcs en train de vous visez , fit Tyrius montrant du doigt les mahûds.
_Vous ne vous en tirerez pas comme cela , fit le grand guerrier, soldats allons en parlez au chef. »

Les soldats laissèrent passer les cinq guerriers puis allèrent réconfortez les paysans, ceux-ci leur offrit un repas puis les cavaliers leur demandèrent pourquoi ils allaient être tuez. L’homme répondit :

« Nous voulons nous révoltez, l’homme qui nous commande est un tyran, ils veut tous nous tuez, il vole les filles et les violes, c’est un monstre. »

Tyius frappa du poing la table, énervez, plein de rage, tous le monde fut surpris et le chef fit :

« Nous vous aiderons cher homme, je déteste déjà votre chef.
_Oui, tuons le ,firent les soldats. »

Le paysan fut surpris et très heureux, il emmena de suite, Tyrius et ses hommes devant une grande maison, là ils rentrèrent et quarante paysans étaient la, tous armés.

« Mes amis, fit le paysan, ces soldats vont nous aidez a vaincre le tyran.
_Merci a vous, fit le chef des révoltés, nous sommes cent-vingt-cinq en tous, nous avons fabriquez des échelles pour passer les remparts de sa maison.
_Pouvez vous nous y emmener, fit Tsalor, pour voir comment il faut les attaquez.
_Oui, suivez nous. »

Les paysans les emmenèrent devant une grande maison, entouré de mur qui faisaient quatre mètres de haut, des gardes étaient posté partout, il y avait une grande porte, mais au dessus de la porte, des grands tonneaux, des chaudrons remplis d’huile et autres. La seule façon était comme les fermiers avaient dit, d’attaquer sur les remparts. Tyrius demanda au chef quand l’attaque aurait lieu, et celui-ci lui fit quelle arriverait dans trois jours, assez pour que les haradrims se fassent passez pour des alliés et qu’ils rentrent dans la maison du tyran.
Le lendemain, les cavaliers arrivèrent devant la grande porte et ils demandèrent a voir le chef, enfin le tyran. On les laissa entrer, ils purent voir que cinquante soldats avec de grandes armures dorés, des vrais combattant le protégeais, la moitié des archers. Ils arrivèrent devant un gros homme, très grand , il leur demanda pourquoi ceux-ci voulaient les voir. Les haradrims lui répondirent que leur capitaine voulait se joindre a lui et qu’il les avaient envoyés pour lui en parler. Le tyran fut content mais demanda aux haradrims de partir, une chose a faire a première vu. Les cavaliers revinrent chez le fermier, expliquèrent tous a leur chef.

Ils entraînaient les paysans, ceux-ci ne savaient pas se battre et seulement dix avaient des armes, sinon des vulgaires pelles, des pioches, . Seules les fourches étaient assez bien.
Les mahûds eux entraînèrent les cinquante archers, les fermiers ne savaient pas tirez, leurs flèches partaient n’importe où sauf a l’endroit ou il visaient mais en quelque heures ils savaient tirer sur la cible même si ce n’étaient pas au centre. Le soir, tous se reposèrent exténués par leur journée d’entraînement, le pire était pour le lendemain.

Tyrius lui était nerveux mais réussit a s’endormir, là , il revit sa femme, cette fois-ci dans les havres Umbar, vendu en temps qu’esclave a un grand et puissant corsaire, celui-ci la frappait, mais la Gondorienne ne se laissait pas faire, et a la fin, elle fut égorgé sur la place publique. Tyrius cria, réveillant tous le monde, son poing s’écrasa contre les murs et il criait, criait de colère et sortit dehors. Il resta éveillé toute la nuit, des larmes avaient coulé, ses yeux étaient rouges mais il allait se battre, sans la moindre pitié.
Le chef des révoltés souffla dans son cor, appelant les paysans a la révolte, qui se rassemblèrent devant les murs de la maison de le chef. Les gardes étaient surpris, un tel nombre d’hommes, ils n’auraient jamais penser a cela mais ils préparèrent a se défendre.
Les cavaliers haradrims arrivèrent, le chef du village ordonna a ce que les échelles soit mise sur les murs. Dix échelles atteignirent le mur, et les paysans commencèrent a monter, les haradrim eux préférèrent les deux du centre, plus solide. Les archers du tyran lâchèrent plusieurs volées.
Les paysans tombèrent en grand nombre, les flèches ne rencontrant ni bouclier, ni armure rentrèrent facilement dans la peau et plus de trente hommes gisaient déjà sur le sol. Les paysans ripostèrent, les mahûds tirèrent eux aussi, leur volée ne fut pas efficace, même catastrophique: cinq archers ennemis tombèrent, cinq alliés aussi, les cinquante paysans ne savaient pas tirer, et ils avaient abattu leurs amis, dont un haradrim. Les mahûds en colère demandèrent aux paysans d’attendre, les guerriers du désert continuèrent de tirez , et cinq archers tombèrent, les premiers paysans venaient d’arriver sur les murailles, ils rencontrèrent vingt épéistes qui les tuèrent en toute facilité. Quand Tyrius et ses hommes arrivèrent, cela changea, les fermiers étaient remoralisés leur perte était de vingt-cinq en tous. Tyrius dut affronter trois épéistes, ceux-ci ne s’attendaient pas à une telle résistance, le premier frappa sans faire attention, et le chef haradrim le contra avant de lui trancher la gorge, l’autre lui essaya de lui enfoncer la lame dans le ventre, Tyrius évita de peu et celui qui voulait embrocher fut embrocher. Le dernier savait maintenant que les nouveaux venus valaient beaucoup plus que les pauvres paysans et il fit très attention. Il attendit que le chef des cavaliers s’avance, puis il essaya de lui donne un coup d’épée au niveau de l’abdomen, Tyrius évita, fit une roulade et arriva juste a coté de la jambe droite du garde, il la trancha d’un seul geste, puis acheva l’homme. Les autres haradrims n’avaient eux non plus, eu de grande difficulté, Bludor utilisa sa grande force pour faire passer deux archers par dessus les créneaux du mur, puis il frappa un autre tellement fort qu’il tomba par terre inconscient et un paysan l’acheva. Tsalor lui aussi tua un épéiste et un archer, la muraille était bientôt aux paysans, les ennemis se repliaient, les dix derniers archers ennemis se placèrent devant la porte avec les quinze derniers épéistes. Les paysans descendirent par un petit escalier, peu réussirent a survivre, les archers ennemis tiraient a volonté et lorsque les mahûds arrivèrent sur le mur, quatre échelles étaient en morceaux, le poids des fermiers étaient trop important, et dix étaient morts, trois mahûds eux aussi avaient succomber. Dix paysans de plus avaient succomber sous les traits ennemis, cependant ils avaient réussit a ouvrir la porte et une immense marée de gens en colère arriva, principalement des archers qui avaient pris les pioches et les armes des morts. Les ennemis tinrent bon, malgré la violence des gestes des fermiers. Les coups de pioches, de râteau, et même de bâtons se fracassant sur les épée ennemis, cependant, les fermiers avaient réussit a tuer tous leurs ennemis, leur perte était total était de quatre-vingt-dix, presque les trois-quart des révolté étaient morts et les derniers ne perdaient cependant pas espoir. Tyrius avait rejoint le chef des fermiers qui essayaient avec d’autres d’enfoncer la porte. La porte céda et là, ils se trouvaient devant le grand chef, entouré de cinq grades leurs armures toute d’or, épée a la main. Lui était gros, son épée incrusté de perles et de diamants et à droite de son siège, deux femmes, des très jeunes femmes étaient la. Presque dénudés, en sanglots, des traces de fouet partout sur le corps, elles étaient enchaînés. Tyrius en voyant cette vision cria de colère, les autres firent de même, ce tyran était un chien, il devait être tué, pas de pitié, pas de pitié pour les gens comme cela.
Certains fermiers foncèrent, ils affrontèrent les gardes, les mahûds et les haradrims les rejoignirent, Tyrius quand a lui, se dirigea sur le chef, et le combat s’engagea entre eux deux.
Le chef, grosse personne avait cependant une grande force, même s’il n’était guère rapide. Le cavalier dut contrer beaucoup d’attaques avant de se baisser, puis en se relevant lui coupa un bras, continuant son mouvement il coupa l’autre. Le tyran n’avait aucune chance de survie, mais Tyrius continua, il coupa les deux jambes de son adversaire et le laissa subir la vengeance des fermiers, arrivant avec leurs pioches et leurs râteaux.
Ils firent souffrir le tyran comme eux avaient souffert.
Pour ce qui concerne les gardes, ils tuèrent pas mal de soldats, un haradrim tomba sous leurs coups et deux mahûds, ils furent cependant pris sous le nombre et tombèrent eux aussi. Les pertes étaient énorme, deux haradrims de morts, cinq mahûds, cent fermiers.
Ceux-ci heureux d’être enfin libre, furent dégouté par le nombre de morts, les derniers soldats de Tyrius aidèrent les fermiers et mangèrent chez le chef du village. Celui-ci les remercia pour leur grande aide , et laissa les cavaliers partirent.

Tsalor et Bludor se trouvaient a coté de leur chef, les trois derniers mahûds silencieux les suivaient, mais la quête de Tyrius continua, il voulait retrouver sa femme et personne ne l’en empêcherai.

Bilan : 100 fermiers de morts + 2 haradrims + 5 mahûds
Ennemis : 50 ennemis abattu + le chef.


Troupes restantes= 3 mahûds + Tsalor+ Bludor attends nouvelle mission et se trouve dans le désert.
Revenir en haut Aller en bas
Alegolas91
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Alegolas91


Nombre de messages : 288
Age : 29
Localisation : En route pour l'Anorien
Date d'inscription : 14/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 7 Fév - 19:13

Dans le grand désert où tu te trouve, tu rencontre sur ton chemin des hommes du gondor car en fait tu te trouve proche de l'Ithilien ! Tu était en vérité dans l'Harondor. Tue ces éclaireurs du gondor !
Troupe ennemis: 20 guerrier du Gondor, dont 5 armés d'arc. Ce sont de simple éclaireurs, peu armés.
Troupe alliées: Aucune, tes hommes et ton héros.
Objectif primaire: Débarrasse toi de ces éclaireurs !
Voila dit moi si il y a un probleme ou si la mission ne te plait pas. Smile
Revenir en haut Aller en bas
ar-pharazon
Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
ar-pharazon


Nombre de messages : 1493
Age : 30
Localisation : ou le combat m'appelle
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 7 Fév - 21:21

6 vs 20 ???? pas trop d'écart... les gondoriens sont en ithlilien donc forêt, ils sont grave l'avantage, peut-être un peu moins d'ennemis quand même.
Revenir en haut Aller en bas
Alegolas91
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Alegolas91


Nombre de messages : 288
Age : 29
Localisation : En route pour l'Anorien
Date d'inscription : 14/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 7 Fév - 21:33

Bon on va arranger ça (j'avais pas vu qu'il lui restait peu de troupe)
Je vais mettre 12 soldats du Gondor sa devrait aller, plus de la moitié.
Revenir en haut Aller en bas
ar-pharazon
Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
Grand Guerrier Elfique ¤ La Flèche d'Or
ar-pharazon


Nombre de messages : 1493
Age : 30
Localisation : ou le combat m'appelle
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 7 Fév - 21:34

uè, si c'est dans le désert encore sa peut aller, la charge des cavaliers , sa peut peut-être le faire.
Revenir en haut Aller en bas
qv3me
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
qv3me


Nombre de messages : 802
Age : 28
Localisation : En Rohan
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeDim 8 Fév - 16:07

Note :

Longueur : 17/20 ( très bien )

Action : 17/20 ( aussi très bien )

Histoire : 18/20 ( rien à redire )

Orthographe : 9/10 ( Je n'ai rien trouvé de très grave )

Total: 17.5/20 ( très bonne mission )
Revenir en haut Aller en bas
https://www.youtube.com/qv3me
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Fév - 11:43

Dans le grand désert où tu te trouve, tu rencontre sur ton chemin des hommes du gondor car en fait tu te trouve proche de l'Ithilien ! Tu était en vérité dans l'Harondor. Tue ces éclaireurs du gondor !
Troupe ennemis: 15 guerrier du Gondor, dont 5 armés d'arc. Ce sont de simple éclaireurs, peu armés.
Troupe alliées: Aucune, tes hommes et ton héros.
Objectif primaire: Débarrasse toi de ces éclaireurs !
Voila dit moi si il y a un probleme ou si la mission ne te plait pas.


Tyrius et ses derniers soldats parcouraient toujours le désert, voulant à tout pris se rapprocher d’Umbar. Il repensait sans cesse a sa femme, elle si belle qui se faisait tué par un corsaire, si sa vision était vrai, il tuerait ce corsaire, le torturerais pour qu’il meure de douleur.
Bludor et Tsalor eux voulaient retourner dans leur village, mais ils savaient que leur chef irait jusqu’au port des pirates, sans aucun halte, sans perdre de temps. Et jamais ils ne le laisseraient seul. Les mahûds eux n’avaient aucune envie, suivant leur chef n’importe où.
Cela faisait déjà plusieurs jours qu’ils avaient combattu pour aidez les pauvres fermiers et les soldats avaient été surpris par la cruauté sanglante de leur chef, celui-ci était sans pitié lorsqu’il le ovulait se qui le rendait encore plus dangereux. Sa haine envers les corsaires grandissaient de jours en jours, son cauchemar était fréquent. Sa femme toujours dans un endroit public d’Umbar se faisait tué par un corsaire, sa gorge tranché d’un coup sec par un grand corsaire qui arborait un grand sourire sadique. La haine envahissait a chaque fois l’haradrim, il voulait trouver Umbar mais a chaque fois il se perdait dans le désert , sa colère lui faisait perdre la tête, les soldats tournaient en rond, se dirigeant vers Umbar puis vers le Khand et vers les Mahûds puis vers le Gondor. Si bien que les soldats décidèrent de remettre le chef en place et de lui faire reprendre ses esprits.
Lors d’ arrêt pour boire et manger, les haradrims prirent le chef , le désarmèrent et l’attachèrent a un palmier de l’oasis. Tyrius fut surpris et il commença a parler :

« Mais qu’est-ce qu’ils vous prends ?
_On en a assez chef, fit Tsalor, vous devenez fou.
_Oui, continua Bludor, nous savons ou est Umbar et si vous voulez y allez suivez nous au lieu de faire n’importe quoi !
_Comment osez-vous me dire cela ! Je vous est entraînez, j’ai fait de vous des hommes si vous voulez partir, allez vous en ! »

Les paroles de Tyrius étaient fortes et puissantes et elles blessèrent les deux compères. Cependant ceux-ci savaient fort bien que ce n’était pas leur chef qui parlait car sont regard avait changé, sa façon d’être aussi, on aurait dit qu’il était habité par un esprit malveillant.
Ils claquèrent Tyrius jusqu'à qu’il tombe dans l’inconscience. Son nez brisé et ses arcades ouvertes et du sang coulant de sa bouche. Les guerriers ne firent rien et dormirent. Le lendemain matin, ils se réveillèrent tous, le chef aussi, il c’était un peu calmer et ne se souvenait plus de rien a part que sa tête lui faisait un mal de chien. Il avait mal au dents, au nez. Il c’était plus réveillé a cause de l’immense douleur qui le rongeait plutôt qu’autre. Il demanda des explications, et Tsalor lui répondit :

« Vous étiez habités chef, vous deveniez trop fou, vous nous auriez tous tués.
_ C’est impossible !
_Je vous le jure chef, en attendant repesons nous »

Les hommes détachèrent leur chef, le soignèrent et lui donnèrent a manger.
Il se remit difficilement et ils restèrent a l’oasis pendant plusieurs jours. Les soldats s’entraînaient tous le temps : Ils devaient maintenant apprendre a lancer les lances, les lancés droite et en puissance, transperçant toutes les matières et tuant en un coup. Les mahûds eux s’entraînèrent a l’épée, a l’arc leur niveaux étaient acceptable, cependant a l’épée, il y avait beaucoup a faire. Au cri de Tyrius , les trois lances volèrent et s’écrasèrent sur le sable, aucune ne se plantaient dedans, malgré cela ils continuèrent longtemps sans jamais réussir.
Les mahûds n’y arrivaient pas trop eux non plus, leurs mouvements très flous, ne visant pas souvent les partis très mortel. Ils s’entraînèrent comme cela jusqu'à la fin de la journée et ils s’endormirent tous avec une grande facilité.
Sauf pour Tyrius qui eut encore un cauchemar, mais cet fois-ci plus détaillé . Il vit le pirate, un assez grand homme, de long cheveux noirs tous gras, une barbe elle aussi sale et noire, il devait faire environ un mètre quatre-vingt, peut-être quatre-vingts kilogrammes. Il parla en traînant la femme gondorienne :

« Chef, que fais-je de cet esclave, elle m’énerve.
_Je ne sais pas moi, viole la ou tu la, ou autre elle t’appartient.
_Merci grand Khiliani, fit-il . »

Le chef de cet immondices s’appelait Khiliani, il fallait que Tyrius le trouve, car si il ne trouvait, il saurait ou est ce petit corsaire. Le chef haradrim revit encore le pirate égorgez sa femme, et là il se réveilla, toujours enragée.
Pour une fois le chef ne c’était pas réveillé au beau milieu de la nuit, mais à l’aube et tous les autres étaient debout, ils purent calmer le chef.
Celui-ci expliqua son cauchemar a ses deux anciens compagnons qui furent stupéfait, cependant le chef haradrim ne dit pas le nom du grand corsaire, une sorte de pressentiments.
Les haradrims reprirent la route après avoir mangé, ils se trouvaient sur les frontières Nord de l’Harad, pourquoi était-il parti aussi loin d’Umbar ?
Mais les cavaliers reprirent la direction des havres des mauvais numénoréens, et ils se dépêchaient, jusqu'à ce qu’ils aperçurent une colonne de soldats. Ils étaient encore trop loin pour que l’on sache de qui ils s’agissaient cependant ils semblaient se dépêchez et au loin se dessinait la grande forêt de l’ithlilien.
Il n’y avait plus de doute, cela devait être des soldats du Gondor, des éclaireurs sûrement comme Tyrius avait été et ils étaient trop dangereux.
Il ordonna la charge, les cavaliers allaient beaucoup plus vite, cependant ils préféraient resté auprès des cinq mahûds, leurs dégâts serraient moins grands. Les cavaliers décidèrent d’être assez discret, de ne charger qu’a une vingtaine de mètres, pour cela ils se cachèrent derrière les dunes, suivant et se rapprochant petit a petit des Gondoriens. Ils les virent s’avancer dans l’immensité désertique, et a l’ordre donné par Tyrius, tous formèrent la ligne, et chargèrent.

Le bruit des sabots fut bientôt entendu par les soldats de Minas Thirit qui se retournèrent, armes en main, ils étaient quinze en tous, avec cinq archers. La première volée alliés tomba, trois des mahûds tirèrent a l’arc, leur flèches ne tua qu’un seul et unique gondorien, la distance un peu trop élevé. Puis ce fut au tour des archers ennemis, leur volée tua un mahûds et une flèche se planta dans le bras droit de Tsalor qui en perdit sa lance. Celui-ci dégaina son épée et fonça droit devant , trois piquiers attendaient les chevaux haradrims et les chameaux.
Le choc arriva bientôt, les deux cavaliers haradrims lancèrent leurs lances qui se plantèrent dans deux piquiers ennemis, leur traversant le corps de par en par, le sang coulant sur le bois , les pointes métalliques avec des bouts de chairs.
Le dernier piquiers empala sur place le cheval de Tyrius qui tomba a la renverse sur le sable. Les quatre autres continuèrent la charge, écrasant ,découpant, transperçant six ennemis qui tombèrent a terre en sang. Les chevaux étaient très puissants, certes moins que les grands chevaux du Nord dont Tyrius avait tellement entendu parler.
Les cavaliers alliés durent subir les flèches ennemis, deux mahûds tombèrent, des flèches dans le dos, le sang se déversa sur le sable. Bludor en reçu une dans l’épaule gauche, cependant il ne la sentait presque pas et il fonça droit sur tous les Gondoriens.
Tyrius venait de se lever, ses jambes un peu faible, il tomba deux fois avant d’être en pleine forme. Il chargea sur un des épéistes, qui occupé par les cavaliers ne put voir arrivé le chef haradrim. Celui-ci arriva par derrière, puis il lui attrapa le menton, le rapprochant de lui, et dans un mouvement aussi rapide que puissant il lui trancha la gorge de par en par, le sang commenca a couler a flots, se déversant sur les mains du guerrier de l’Harad. Les derniers Gondoriens s’aperçurent enfin de la présence du grand soldat du Harad qui , devant eux, se dressait comme un ennemi surpuissant, son épée en main. Celle-ci pleine de sang, comme le bras de Tyrius qui pendant sa chute avait du rencontrer une pierre et qui c’était ouvert en dessous de l’épaule.
Ce fut la un chef plein de son propre sang devant les cinq derniers soldats du Gondor qui durent faire face a la charge des cavaliers qui arrivaient très vite. Bludor coupa la tête d’un rodeur qui n’eut pas le temps d’éviter, la tête ennemi tomba au sol, roulant parmis les rangs ennemis. Tsalor lui, fut mis a terre par deux rodeurs qui lui sautèrent dessus. Les deux mahûds quand a eux, abattirent leurs ennemis. Dressé sur les montures du désert, ils arrivaient et tranchèrent les corps des deux derniers éclaireurs. Tyrius sauva Tsalor, déjà que le cavalier avait une flèche au bras droit qu’il avait juste eu le temps de retirez, le voici qui avait encore reçu un ocup au même bras, la douleur intense il vit les deux rodeurs qui prenaient leurs épées. Lui même la prit, elle qui était a cinq centimètres de lui, il réussit a s’accroupir et affronta l’un des guerriers : il lui envoyait de puissantes attaques, plus puissantes les unes que les autres, mais l’adversaire ne flancha pas et ce fut Bludor qui arrivait sur le flanc de l’adversaire qui avec sa lance traversa le corps ennemi. La lance qui avait d’abord transpercé la cote gauche et qui était ressortir au niveau de la cote droite.
Le dernier ennemis, prit d’une grande crainte en voyant qu’il était tous seul dut affronter le chef haradrim, le combat dura longtemps, l’ennemi avec l’énergie du désespoir frappait violemment , ses coups certes étaient flou cependant aucune sa technique n’avait aucune faille. Tyrius dut donc contrer les attaques avant de s’apercevoir que son ennemi fatiguait et là, il contre attaqua, ses attaques étaient plus puissantes que celle du jeune rodeur, cependant elles étaient mois rapides et on pouvait plus facilement les contrer car ce n’était plus l’envie de se battre qui habitait Tyrius mais encore cet nouvelle rage qui consumait le jeune guerrier du désert.
Le jeune guerrier réussit plusieurs fois a entailler le corps du chef des cavaliers, il lui donna un violent coup qui faillit tuer Tyrius qui eu juste le reflex de mettre son épée devant, cependant le coup l’atteignit quand même, certes des dizaines de fois mois puissantes mais il lui fit une longue coupure sur les abdos. Là, le cavalier reprit ses esprits et sa technique ressemblait a celle du rodeur, n’oublions pas que Tyrius fut et restera un rodeur pour tous ce qui est technique de combat, même s’il aime changé , s’entraîné et apprendre les différentes techniques des peuples, pour être le meilleur épéiste du Monde.
Il fit flancher le rodeur, qui commença a se mettre a genoux, réussissant néanmoins a contrer les attaques de l’haradrim. Lorsque Bludor approcha, lance en main , le chef des haradrims lui dit de ne pas intervenir, que le combat concernait que les deux guerriers et personne d’autres.
Là, Tyrius frappa tellement fort que le jeune perdit son épée et que la lame de l’homme du Harad se planta net dans sa tête. Tyrius la retira et coupa la tête du jeune homme.

« Combien de morts ?!
_ Trois autres mahûds ont succomber chef. »

Tyrius ne dit rien, il aida a enterrez les guerriers de l’extrême sud et il repartit, suivit de ses compagnons vers Umbar ou enfin presque car Tyrius ne savait pas quel était ce port où sa femme était morte.
Mais a ce moment, ses deux anciens compagnons le délaissèrent, le laissant seul avec les deux mahûds, car eux aussi voulaient voir leur femmes, et Tyrius les laissa partir. Il continua sa route pendant plusieurs jours et plusieurs nuits avant d’arriver devant une grande ville , ce n’était pas Umbar, cependant les bateaux, les marchandes d’esclaves et les fourbes n’y manquaient pas.
Il se reposa avant d’y entrer, un oasis n’était qu’a dix minutes a cheval et il décida d’y aller avec ses deux derniers soldats. Là tous dormirent profondément, leur course les avaient exténués. La nuit était tombé, la chaleur laissa place aux froid, cela tous le monde le sait, que le désert qui est bouillant le jour est glacial la nuit.
Et ce jour la, Tyrius eu froid, il avait oublier ses affaires pendant sa longue course et il dormit très mal. Le seul moment ou il réussit a avoir sommeil il dut revoir son cauchemar.
Les décors se dessinaient, de grandes maisons mal construites autour du lieu de vente qui se trouvait au centre de la ville. Dans cette grande place , différentes choses s’y trouvaient, des marchands d’esclaves, des mercenaires, des magasins d’alcool et d’armes.
Là il vit celui qui avait vendu sa femme, un vieux corsaires a la barbe toute grise, pourtant il était encore d’une corpulence effrayante, armés d’un bon sabre qui se trouvait a sa ceinture et entouré de deux grands gardes du corps, des géants plein de muscles , armés eux aussi de bon sabres.
Puis il revit encore le visage de l’assassin de sa femme, et il la paya cher.
Il appris maintes choses, il ne savait pas pourquoi il c’était toujours dirigé vers cette cité, cependant, il c’était toujours dirigé vers la cité ou le marchand d’esclave se trouvait.
Et il se réveilla encore une fois, prit d’une immense colère lorsque le pirate tranche la gorge sans aucune pitié.
Il attendit l’aube et lorsque les deux mahûds se levèrent, ils partirent tous en direction d’un des nombreux ports des pirates. Ce n’était pas les havres d’Umbar qui étaient majestueux, mais ce devait être un petit port un peu moins important. Ils passèrent les portes sans problème, un petit mur entourait la ville, lui donnant une bien mince protection, épais d’une trentaine de centimètres, haut de quatre mètres et a peine.
La porte était grande de trois mètres, c’était un porte en bois, épaisse de cinq centimètres tout de même, du fer au extrémité et aux centre, cette porte pouvait bien servir contre u assaut, mais qui attaquerais cette cité a part Tyrius dont la haine qu’il avait contre les corsaires empiraient.
De petites maisons remplissaient toute la ville, en bois principalement, de grandes auberges toutes remplis d’alcooliques dont le sang devraient bientôt coulez.
Les rues étaient étroites, remplis du corps de certains hommes qui ne tiennent pas l’alcool, du vomis plein les bottes.
Puis, les trois guerriers du désert suivaient des hommes encore en bonne état se dirigeant vers une immense place, là ou se dressait marchands, bijoutiers, vendeur d’armes et tant d’autres.
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Fév - 11:44

Des centaines de personnes allaient et venaient, cherchant soit des esclaves ou et surtout de l’alcool. Quel bande de pochetrons !
Les trois guerriers du désert avançaient, se dirigeant vers la partie de la place ou il y avait les esclaves , là bien voyant, le vieux marchand vendait une esclave. Parlant tout haut, il disait :

« Venez achetez mes esclaves, elles sont belles, elles sont jeunes, elles sont du Gondor !
Leur prix est de vingt mille livres ! »

Tyrius se dirigea vers le marchand, et pendant toute la journée, il l’observa, jusqu'à ce qu’il y est le crépuscule, là le marchand avait finis de travailler.
Il était toujours suivit par ses deux grands gardes du corps, mais Tyrius et ses deux hommes l’arrêtèrent.

« Et toi là bas ! Cria le cavalier.
_Que me veux-tu ?
_Des informations !
_Et quelles informations ?
_Connais-tu un certains Khiliani ?
_Oui et non, je ne vois pas en quoi je dois te répondre.
_Parce que je n’hésiterais pas à te tuer .
_A oui, c’est ce qu’on va voir. «

Il fit signe du doigt a ses hommes qui dégainèrent et qui s’avancèrent vers l’homme du harad. Tyrius lui demanda au Mahûds d’y allez.
Le combat fut très intense, les deux gardes du corps avaient une force immense, tandis que les mahûds eux étaient plus rapide.
Les coups des pirates étaient mal donné, ils faisaient peur mais n’avaient guère l’expérience du combat ce sui donna la victoire au mahûds qui contraient ou évitaient les attaques adverses.
Le premier garde du corps tomba, un gros trou dans le cou, tandis que le second tomba, une immense plaie a l’estomac.
Le corsaire voyant qu’il était seul voulut s’enfuir, cependant les trois guerriers le rattrapèrent vite. Ils le plaquèrent contre un mur et Tyrius lui plaça sa lame sous le coup du corsaire.

« Connais-tu khiliani ?! Fit Tyrius
_Peut-être, sa dépend pour quoi.
_Réponds moi ! Ou je t’égorges !
_Oui je le connais, fit le corsaire apeuré, c’est le seigneur de la cité d’Hironeiden.
_Où est sa cité ?!
_A quelques kilomètres au sud, cependant si tu y vas tu vas en mourir.
_Sa c’est ce que tu crois, et bien merci de tes réponses…
_Tu peux me relâcher maintenant.
_Et puis quoi encore ! »

Tyrius lui trancha la gorge, le sang gicla sur le visage d’un des mahûds, puis les soldats du désert quittèrent la vile a une grande vitesse. De peur d’être poursuivis par les corsaires . Ils ne se dirigèrent pas au départ vers Hironeiden mais vers l’ancien village ou Tsalor et Bludor se trouvaient, car sans leur aide, sa serait bien plus difficile.


Bilan : ennemis détruit

3 mahûds de morts.
Revenir en haut Aller en bas
Khiliani
Le Conquérant ¤ Ennemi de l'Ouest ¤ Navigateur Hors-Pair
Le Conquérant ¤ Ennemi de l'Ouest ¤ Navigateur Hors-Pair
Khiliani


Nombre de messages : 791
Age : 35
Localisation : La Glorieuse
Date d'inscription : 10/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Fév - 20:44

Tu me cherche là, je rêve pas pirat
Revenir en haut Aller en bas
qv3me
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
Grand Guerrier ¤ Terreur du Rohan
qv3me


Nombre de messages : 802
Age : 28
Localisation : En Rohan
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Fév - 20:48

pirat Tu rêves pas! pirat
Revenir en haut Aller en bas
https://www.youtube.com/qv3me
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeVen 20 Fév - 14:31

tu peux corriger ma mission stp alego


et Khili on en avait déjà parlez de cela, je recherche un de tes corsaires et la seule informations que j'ai dessus c'est que tu le commande
Revenir en haut Aller en bas
Alegolas91
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Le Ravageur Noldri ¤ Grand guerrier
Alegolas91


Nombre de messages : 288
Age : 29
Localisation : En route pour l'Anorien
Date d'inscription : 14/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeVen 20 Fév - 18:06

Desole pour le retard, voilà ta note :
Orthographe: 6/10 (beucoup de faute de frappe et de manque d'accents)
Action: 17/20 (très bien)
Taille: 16/20 (très long)
Histoire: 17/20 (tu cherches Khiliani là pirat )
Note général:16/20 (très bien, seulement l'orthographe t'as tout fait perdre dommage...)
Voilà dit moi si il y a un probleme ! Smile
Revenir en haut Aller en bas
Khiliani
Le Conquérant ¤ Ennemi de l'Ouest ¤ Navigateur Hors-Pair
Le Conquérant ¤ Ennemi de l'Ouest ¤ Navigateur Hors-Pair
Khiliani


Nombre de messages : 791
Age : 35
Localisation : La Glorieuse
Date d'inscription : 10/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeVen 20 Fév - 18:12

Je sais, Tyrius, je sais pirat
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeSam 21 Fév - 21:01

donc je monte de grade alors mes troupes:

30 cavaliers lanciers haradrims ( lancier/épéistes)
20 mahûds sur dromadaire ( archer/épéistes)
20 lanciers haradrims
20 archers haradrims

demande une mission ( je sais mes troupes sont assez diversifiés)


Dernière édition par Tyrius le Mar 24 Fév - 15:05, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Gauthier555
Co Administrateur * Commandant de la Légion Noire ¤ L'Orphelin
Co Administrateur * Commandant de la Légion Noire ¤ L'Orphelin
Gauthier555


Nombre de messages : 1073
Age : 31
Localisation : Forteresse noire
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMar 24 Fév - 14:48

Misssion
Tu continues ta route, à la recherche de caravane à piller pour t'enrichir. Cette fois-ci tu tombes sur un groupe de marchands d'esclave, dont certaines sont très... grrrrrr. Tu décides de les libérer ou de les tuer (à toi de voir)... Attention car un des soldats, sûrement le chef, est très préparé à ce genre d'assaut, il commendra donc aux soldats...

Troupe alliée : toi tes hommes et les esclave si tu les libères.
Troupe ennemie: 100 orientaux, peu équipés mais très organisés grâce à leur chef, et les esclaves si tu les tuent lol!
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMar 24 Fév - 15:05

ok merci, je m'y m'est de suite.
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMar 10 Mar - 15:17

Misssion
Tu continues ta route, à la recherche de caravane à piller pour t'enrichir. Cette fois-ci tu tombes sur un groupe de marchands d'esclave, dont certaines sont très... grrrrrr. Tu décides de les libérer ou de les tuer (à toi de voir)... Attention car un des soldats, sûrement le chef, est très préparé à ce genre d'assaut, il commendra donc aux soldats...

Troupe alliée : toi tes hommes et les esclave si tu les libères.
Troupe ennemie: 100 orientaux, peu équipés mais très organisés grâce à leur chef, et les esclaves si tu les tuent


Tyrius et ses deux mahûds chevauchaient encore, cela faisait déjà cinq jours qu’ils étaient en mouvement, et ils allaient bientôt arriver au village ou Tsalor et Bludor se trouvent.
Le chef des cavaliers avait été poursuivis par des corsaires au début de leur course, voulant venger la mort du marchand. Ils avaient du combattre cinq cavaliers corsaires et les avaient exterminés, ne leur laissant aucune chance. Ils avaient chevauché des dizaines de jours, passant d’oasis a oasis, lorsqu’ils arrivèrent enfin au village. Celui-ci n’avait pas changé, même si deux maisons étés nouvellement construites. Les jeunes s’entraînaient toujours et un immense sourire les prit lorsqu’ils virent que Tyrius revenait. Mais arrivant par-là, cinq cavaliers haradrims interpellèrent Tyrius et ses deux soldats :

« Qui êtes vous ? Et que venez-vous faire ici ? Demanda un des cavaliers.
_Sa serait plutôt a moi de vous posez cette question, et qui vous as donnez le droit de m’empêché de rentrer chez moi ?
_Vous n’êtes plus le bienvenue et maintenant le chef de ce village est mon capitaine, fit le jeune cavalier.
_Alors fais lui savoir que Tyrius vient d’arriver et qu’il ne restera pas longtemps chef si l’ose ne pas venir à ma rencontre !
_Comment osez-vous ! Je vais vous tuer ! Fit l’un des cavaliers. »

Celui-ci fonça vers Tyrius qui évita son coup et le fit tomber en lui donnant un coup de poing dans la mâchoire. Les quatre autres cavaliers eux, hésitèrent et quand ils virent les deux mahûds dégainés, l’envie d’attaquer disparu de leurs esprits. Le jeune cavalier se releva difficilement, un peu sonner par sa chute, et il remonta à cheval, déclarant à Tyrius que celui-ci allait chercher son capitaine. Le chef des guerriers du désert décida d’envoyer les mahûds cherchés des alliés, on ne sait jamais et les deux chevaucheurs de chameaux disparurent avant que le chef ennemi arriva.
Celui-ci était entouré de vingt cavaliers haradrims armés de lances et d’épées. Il rigola en voyant Tyrius seul, courbé à cause du voyage.
Il cria :

« C’est dont toi ! L’homme qui me menace de mort ? !
_Oui ! C’est bien moi ! »

Le chef ennemi eu un immense fou rire et ses soldats aussi. Il regarda ensuite un peu partout, se demandant où étaient passé les deux autres soldats. Bientôt la question sortit de sa bouche.

« Et les deux autres hommes, ou sont-ils passé ?
_Les mahûds, je les ai envoyés chercher des amis, répondit Tyrius en toute simplicité.
_Tiens donc, fit le chef ricanant, et qui espère tu ramener ?
_Peut-être une centaine de guerrier mahûds, une cinquantaine d’haradrims. Oui… je crois que c’est tout.
_Et puis des mumaks, des serpents et autres, déclara le chef en se moquant de Tyrius.
_Je suis pas encore assez connu. »

Cela en était assez, le chef ennemi était dans une grande colère et il envoya deux de ses cavaliers s’occuper du chevalier solitaire, Tyrius réussit à éviter la lance de son premier adversaire et le fit tomber, mais il reçu un coup dans la tête qui le firent tomber de sa monture et sa tête s’écrasa contre le sol. De là, Tyrius ne se souvient de rien a part un gros trou noir, il avait perdu connaissance et le chef ennemi avait décider de l’emmener avec les autres prisonniers. Car une prison avait été construite, enfermant les hommes capables de portez les armes.
Là, il y trouva tous les guerriers du village, une bonne soixantaine d’hommes très bien entraînés, de forte carrure, il y trouva aussi Tsalor et Bludor, ils avaient tous deux des bandages un peu partout sur le corps, ils avaient été blessés lors de leurs combats contre les haradrims. Ils en avaient abattu quatre car les ennemis n’étaient pas vingt mais une bonne centaine. Sans le savoir Tyrius avait emmené les mahûds a une mort certaine. Mais le cavalier du village n’était pas désespéré, les hommes le prenaient pour leur chef, c’était le meilleur d’entre eux, et ils décidèrent de s’enfuir de cette maudite prison. Les villageois avaient chacun plusieurs armes dans leurs maisons, et alors là, ils vaincraient.
Les villageois expliquèrent leur plan a Tyrius :
Chaque soir, deux hommes venaient leur donner à mangé, ils étaient armés mais leurs armes étaient dans les fourreaux alors autant en profiter. Deux grands guerriers furent choisis pour éliminer les soldats. Ils attendirent donc jusqu’au moment tant attendu, les deux guerriers, étaient cachés à coté de la grille d’entrer, et les autres villageois devaient attirer les deux soldats vers eux pour que les deux guerriers les tuent. Lors de leurs arrivés, les deux soldas déposèrent la nourriture a l’entrée, mais Tsalor attrapa le bras d’un des deux jeunes hommes, et il le tira vers lui. Le soldat s’écrasa contre les barreaux, et fou de colère il entra avec son compagnon dans la cellule. Ils avancèrent tous deux vers Tsalor et ses compagnons lorsque les deux guerriers les attrapèrent, placèrent une main sur la bouche et les étranglèrent, puis les deux soldats s’écrasèrent au sol, mort.
Tyrius et Bludor prirent chacun une épée et se dirigèrent à l’entrée de la maison de réunion des soldats ennemis car chaque soir, tous les soldats tenaient une sorte de petit conseil dans une grande maison aménager seulement pour cela.
Les deux compagnons restèrent devant l’entrée, attendant l’arriver de leurs compagnons. Mais leur espoir fut encore plus récompenser, un des deux mahûds était allé dans l’ancien village, celui que Tyrius avait sauvé des orcs, celui-ci avait été totalement reconstruit et c’était devenu une petite place forte avec beaucoup de guerriers, si bien que vingt piquiers et vingt archers vinrent aider le chef des cavaliers respectant ainsi leur alliance. L’autre guerrier mahûd lui n’était pas encore revenu, son peuple vivait très loin. Bientôt des clameurs vinrent des maisons et les villageois nouvellement libérés et ceux encore en liberté prirent leurs armes et maintenant devant la maison du chef ennemi se tenaient plus de cent-vingt hommes en armes et avec eux une soixantaine d’adolescent entraîné par Tyrius. Celui-ci rentra dans la maison des cavaliers ennemis, suivit de près par ses deux amis de toujours et par ses deux mahûds. Les ennemis se retournèrent et là, ils virent les cinq grands guerriers devant eux, marcher fièrement. Le chef ennemi était en colère et il marcha vers Tyrius et les siens. Cependant celui-ci retourna dehors et les ennemis le suivirent. C’est la qu’il vit tous les soldats, prêt a en découdre avec eux. Le village était rempli par les soldats de celui-ci ou par les soldats alliés. Les ennemis voyant cela prirent peur et une soixantaine s’enfuient sans que l’on puisse la retenir. Le reste avec leur chef restèrent pour se battre. Tous dégainèrent leurs grandes épées et ils chargèrent, leurs cris puissants retentissent et en face d’eux venaient Tyrius, ses deux compagnons, les deux mahûds et les villageois. Ceux-ci armés de pieux principalement embrochèrent pas mal de soldats ennemis, et le sang coulait grandement, les pieux étaient de mauvaise qualité et quelques-uns un se brisèrent sur les armures haradrims. Certains organes gisaient sur le sol, soit à cause des éventrations causées par les soldats ennemis ou par Tyrius et les siens soit ceux-ci c’étaient fais planter par les pieux. Le combat ne dura pas plus de cinq minutes, la rage des villageois était immense et leur force en était quintuplée, eux qui étaient plutôt paisible avaient rencontré pour la première fois des ennemis sans pitié. Ceux-ci avaient violé quelques filles du village avant de les tuer sauvagement, ou alors ils avaient tuer sans raison cinq enfants qui s’entraînaient. Tyrius ne savait aucun de ces détails, ce qui l’empêcha peut-être de devenir un monstre. Il avait déjà tuer trois adversaires lorsque le chef ennemi arriva, il portait sa grande épée et il fonça sur Tyrius, celui-ci évita les attaques et réussit à frapper son adversaire dans le ventre, là il enfonça lentement son épée dans la petite plaie ouverte et attrapa la tête du chef ennemi. La colère montait dans les yeux de celui-ci et il mourra par la main de celui qu’il avait traité de minable.
Les trois derniers adversaires furent tuer sauvagement par les villageois mais il y avait un autre problème, certains avaient réussit à s’enfuir, peut-être y avait-il un autre groupe comme celui-ci. Alors les haradrims prirent tous ce qu’ils purent et les villageois accompagnés de la moitié des soldats partirent vers le village allié.
Tyrius ne vit pas les têtes de ses amis et des enfants lorsqu’ils virent le village, ou plutôt la ville fortifier. Elle était assez grande, permettant à plus d’un millier de personne d’y vivre, entouré d’une puissante palissade puis d’un puissant mur et avec deux grandes portes très résistantes.
Les maisons étaient grandes, d’une beauté exceptionnelle, une trentaine de rues avec des enfants, des femmes de partout mais aussi, avec une puissante armée. Il y avait bien trois cents soldats, tous bien armés, tous en armures, de vaillants hommes.
Mais Tyrius était resté avec quinze hommes dans l’autre village pour attendre l’arrivé des mahûds qui devaient encore être assez loin. Pendant plusieurs jours, ils attendirent, caché dans les maisons lorsque arrivèrent les mahûds, vingt en tous, Tyrius sortit et quand tout le monde était présent, ils partirent vers la petite cité. Ils chevauchèrent longuement a une allure assez faible vu que dix soldats a pied les suivaient mais ils arrivèrent à bout de leur chemin.
Là, ils virent enfin la cité, ils y rentrèrent facilement car on les y attendaient, et tous les citoyens furent ravis de voir des hommes se joindre à eux. On emmena Tyrius et ses deux officiers devant le grand chef, choisit pour sa puissance et pour sa sagesse, c’était lui qui avait pris les reines après la destruction du village et on peut dire qu’il a réussit. Il parla au chef des cavaliers :

« Ainsi dont c’est toi le grand Tyrius que tous le monde respecte.
_Oui c’est moi monseigneur, je vous remercie de l’aide que vous apportez à mes amis.
_Tout comme toi tu nous as sauvés il y a quelques mois de cela, tu n’as guère a me remercié.
_Puis-je rester ici ?
_Oui, comme tous les autres, vous êtres tous les bienvenue ici et vous vous entraînerez avec mes soldats.
_Merci , je vous souhaite une bonne journée, finit par dire Tyrius. »

L’homme était âgé, très farouche, d’une grande intelligence et encore capable de tuer maints ennemis, c’était un grand homme .
Tous se passa bien pour tous le monde, il y avait énormément de place, et les villageois devinrent des citoyens, mais une question trottait dans la tête de Tyrius, comment cela était possible ? Oui, comment un village détruit pouvais devenir une si grande cité ? Il fallait le savoir et pour cela, il alla voir le chef seul a seul. Il parla en premier :

« Excusez moi de posez des questions seigneur, mais comment avez vous ?
_Nous interceptons les caravanes et c’est ainsi que nous nous enrichissons, nous nous allions avec les villages alentours et nous récupérons les réfugiés, et tous ce qu’ils avaient, nous voulons être en sécurité, et ses murs nous protégerons.
_Merci, vous m’avez apporté plus de réponse que je n’en voulais.
_C’est normal, j’ai décider de te nommer mon conseiller en chef, notamment sur tous ce qui concerne la guerre.
_C’est un trop grand honneur.
_Non, car je veux être juste et tous le monde est d’accord avec moi alors tu sais. Mais tu peux disposer, je dois me reposer.
_D’accord, bonne nuit chef. »

Tyrius repartit dans ses quartiers, ses soldats avaient été placés sur les murs. La nuit se passa tranquillement et comme d’habitude, le nouveau conseiller se réveilla à l’aube, il avança dans les rues de la cité et les jeunes qui s’entraînaient habituellement dans le village avec lui l’accompagnèrent. Il y avait plusieurs endroits dans la cité qui permettait de pouvoir s’entraîner et notamment au sud de la cité. Il faisait chaud mais sa améliorait l ‘endurance des petits. Les jeunes avaient tous des épées, toujours des fausses mais quand même ils ne se donnaient pas des petits coups. Les gens étaient surpris par l’attitude de Tyrius qui les poussaient à leur maximum, n’hésitant pas à leur faire mal, son comportement fut mal vue des citoyens et au bout d’une heure après le début de l’entraînement, vingt soldats du chef vinrent le voir, l’obligeant à s’arrêter. Ce qui l’énerva fortement, même les jeunes furent en colère, personne n’avait le droit d’arrêter leur entraînement, pas sans leur accord. Les soldats de la cité eurent du mal a l’emmener devant leur chef mais ils y arrivèrent. Le guerrier du désert se présenta devant son supérieur un peu courroucé mais n’en montra aucun signe.

« Que voulez-vous seigneur ?
_Pourquoi fais-tu cela ? Pourquoi maltraite tu ces jeunes ?
_Je ne les maltraite pas ! Cria Tyrius en colère, s’il vienne c’est parce qu’ils veulent s’entraîner ! Ils vont devenir meilleurs que n’importe qui !
_Calmez-vous ! Je vous l’ordonne ! Je ne veux plus de cela dans ma cité, je ne sais pas vous pouvez me conseiller des choses vous savez alors j’attends vos paroles.
_Euh… laissez-moi quelques temps de réflexions je vous prie seigneur, je reviens dès que j’ai une idée.
_Alors va. »

Tyrius repartit voir les jeunes et leurs appris la mauvaise nouvelle, ceux-ci crièrent de colère, exprimant leurs mécontentements, mais ils eurent une magnifique idée, construire une école militaire. Voilà la solution, un camp spécial. Fais pour s’entraîner et rien d’autre.
Tyrius félicita les jeunes, leur idée était excellente et il alla revoir le grand chef.


« Excusez-moi de vous dérangez encore une fois mais j’ai trouvé l’idée.
_Bien, dit-la moi.
_Enfin ce sont plutôt les jeunes qui l’ont trouvé. C’est de crée une école de guerre, une école martiale pour apprendre aux jeunes le maniement des armes.
_Je ne sais pas, nous n’avons plus beaucoup d’or pour commander de la pierre, et beaucoup de gens seront contre.
_Pourquoi être contre, sa aideras juste a la protection de la ville.
_Je t’ai dit que je ne savais pas ! Maintenant va ! Je veux que tu aille piller quelques caravane, elles appartiennent à un chef adverse, si tu les pilles, il n’aura plus de quoi vivre.
_D’accord mon seigneur. »
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMar 10 Mar - 15:18

Tyrius repartit, excédé par le comportement de son supérieur, mais il ne fit rien, il trouva Tsalor et Bludor qui se parlait. Il leur dit d’aller chercher les soldats, qu’ils devaient partir, il ne leur donna aucune autre indication, mais ils s’exécutèrent et ses hommes se rassemblèrent sur la place centrale. Les vingt mahûds étaient ceux qui étaient arrivés en premier, les gens les trouvaient bizarre, ils étaient vêtus de simples tissus, sur des dromadaires et avec des épées fines et des petits arcs. Puis ce fut au tour des piquiers haradrims, protégé par des plaques de cuir et armés de longue et solide lances et des épées a leurs ceintures. Puis les archers arrivèrent, armés de longs arcs, de petites épées ont leurs ceintures puis vinrent enfin les cavaliers haradrim, devant se tenait Tsalor et Bludor. Tyrius les rejoint, sur son grand cheval gris, tout nouvellement offert. Ses rangs c’étaient agrandis, comptant quatre-vingt dix soldats. Les trente cavaliers haradrims et les vingt mahûds étaient à l’avant, sortant en deux longues files indiennes de la cité, puis ce fut au tour des piquiers et des archers, en rang serré. Le peuple était fier de cette force de frappe, et la victoire était assurée. Ils avancèrent tous vers la longue route commerciale, là, ils placèrent les piquiers et les archers sur les cotés, attendant des caravanes. Les cavaliers quant a eux chevauchaient autour de la route, pour découvrir des caravanes voulant être discrètes. Pendant plusieurs heures, aucune caravane ne passa, la journée continuait d’avancer, puis vint enfin une petit groupe de vingt marchands, tous sur des dromadaires, avec énormément de tissus. Tyrius et ses cavaliers les entourèrent, et sans aucun combat ils purent facilement prendre toute la marchandise. Sur la route, il y avait déjà eu deux caravanes, composé de quelques marchands, n’ayant rien d’autre que quelques épices et un avec un grand bâton forgé dans le fer noir.
Les cavaliers chevauchaient un peu partout puis l’un des leur vit au loin une grande troupe, ils ne pouvaient pas encore bien discerner le nombre et la nature, cependant ils décidèrent d’appeler les autres car le groupe arrivait vers eux. Les piquiers et les archers ne mirent que cinq minutes a arriver, maintenant, il fallait savoir où se dirigeaient les marchands et combien ils étaient. Les mahûds partirent en premier, assez discret, ils s’approchèrent un peu du convoi, là, ils virent cent orientaux, tous en armures, armés de grandes hallebardes ou de grands sabres avec de grands boucliers en or, dont vingt cavaliers en armures et un soldat devant qui devait les commander , là, leur direction fut facile a découvrir, ils se dirigeaient vers la cité adverse, pour cela ils devraient passer par la route. Une bonne chose pour Tyrius et les siens qui pourraient les prendre sur les cotés et de front. Ils attendirent donc, cachés derrière des dunes. Les cris ennemis commencèrent à s’entendre, des cris rauque d’hommes de rhun, des cris de femmes se firent entendre aussi et même des cris d’enfants. Lorsque les hommes de Tyrius regardèrent, ils virent que la troupe étaient en fait composé de cent guerrier, marchands d’esclaves et de quarante-cinq esclaves, de belles femmes pour la plupart, seul dix enfants et cinq hommes étaient avec elles. Elles allaient être vendues à prix d’or, pas besoin de connaître le métier pour le savoir. C’est ce qui donna encore plus l’envie aux jeunes soldats de les délivrés, certains avaient encore plein d’années devant eux, sortant juste de l’adolescence.
Si Tyrius n’avaient pas réussit a les calmer, sa aurais été un immense massacre. Ils décidèrent enfin de rentrer en jeu, les archers et les mahûds avaient prit leurs flèches. Les ordres furent donnés, de viser les cavaliers et de viser les soldats loin des esclaves.


Les flèches volèrent, se plantant dans les corps ennemis, les armures furent percées même si celle-ci étaient très résistante, elles ne purent rien pour sauver leur porteur. Les pointes d’acier pourfendaient la chair humaine, transperçant les organes. Cinq cavaliers tombèrent dans un fracas, leurs chevaux hennirent et s’enfuirent sur le coup. D’autres flèches tombèrent encore, mais celle-ci s’enfonçaient dans le sable ou s’écrasaient sur les puissants boucliers des orientaux. Un grand homme avec une cape rouge criait, leurs donnant des ordres que les jeunes ennemis exécutèrent assez difficilement. Puis ce fut au tour des piquiers et de la cavalerie de rentrer en jeu. Les piquiers foncèrent, leurs lances en avant, réussissant à transpercé quelques soldats surpris par leur arrivée. Ils transpercèrent aussi trois chevaux et leurs cavaliers, broyant chair, organe et os. Le sang coulait sur les lames et les manches des lanciers, puis ils réattaquèrent, toujours leurs grandes lances en avant et ils réussirent à tuer dix jeunes orientaux, les lances avaient transpercé de par en par leurs corps, des organes au bout de ces mêmes piques. Les adversaires n’eurent pas le temps de se remettre de la charge des piquiers que les cavaliers haradrims et les mahûds arrivèrent, chargeant sur les ennemis. Le bruit des sabots résonnait dans ce désert. Les adversaires semblaient perturbé, seul leur commandant était clame, il leur ordonna de foncer, hallebardes en avant sur les cavaliers et que les épéistes se protègent avec leurs boucliers, évitant ainsi les quelques archers et qu’ils devaient attaquer les lanciers haradrims. Le combat s’intensifia donc, déjà trente ennemis étaient à terre, soit plusieurs flèches dans le corps ou par les lances et les épées haradrims. Les orientaux dégainèrent, et chargèrent en criant, courant, les douze derniers cavaliers foncèrent sur les jeunes mahûds, les guerriers du sud dégainèrent, s’apprêtant a recevoir ces commandants ennemis. Lorsque les premiers arrivèrent, leurs épées rencontrèrent celle des mahûds qui se défendirent tant bien que mal. Les mouvements orientaux étaient durs à deviner et plusieurs mahûds, croyant que leurs ennemis allaient faire une attaque verticale furent tué parce que leurs ennemis faisaient autre chose. Mais quand cinq mahûds étaient déjà mort, les autres s’énervèrent et ils se battirent mieux que jamais, les deux soldats de Tyrius mirent à terre cinq des cavaliers ennemis, seul ces deux mahûds c’étaient entraînés avec Tyrius et ils savaient très bien se battre. Ils combattirent assez longtemps les vétérans orientaux, évitant ou contrant leurs attaques, essayant vainement de les attaquer puis, un des mahûds vit une faille dans la défense d’un des ennemis et en profita, il évita un coup et coupa la main à son ennemi avant de lui trancher la tête. L’autre enfonça son épée dans le second commandant de cette armée et les autres mahûds, sur de leur victoire attaquèrent sans répits et tuèrent les derniers orientaux dont certains souffrirent beaucoup. Le combat entre cavaliers s’arrêta lorsque le dernier commandant ennemi tomba, un immense trou dans la gorge. Mais ils ne restaient que douze mahûds sur les vingt de départ et sans attendre ils reprirent leurs arcs, aidant ainsi les piquiers et les archers malmenés par les adversaires car, lors de la charge des cavaliers haradrims, un mur d’hallebardes se forma, empêchant quelconque de passer et là, les lanciers attaquèrent, et il y eu un embrochement de chaque coté, tuant quinze des lanciers qui se replièrent vers les archers. Les ennemis n’étaient plus que cinquante, une douzaine étaient tombée contre les cavaliers haradrims avant que les hallebardes furent placées. La victoire était pour Tyrius qui avait encore environ soixante-dix soldats..
Puis sous l’ordre de leur commandant les orientaux chargèrent en direction des cavaliers et des piquiers restant qui s e repliait vers les archers. Quel aubaine, comme cela, les archers pourraient décimer une partie des rangs ennemis pour la dernière charge de la journée.
Quand les ennemis ne furent qu’a dix mètres, Tyrius ordonna la volée et vingt-huit flèches partirent, tuant les pauvres hallebardiers en première ligne. Puis, une seconde volée arriva, tuant les derniers hallebardiers et plusieurs épéistes. Ils ne restaient plus que vingt ennemis et leur chef lorsque Tyrius, montant son cheval chargea, suivit de ses cavaliers et de ses piquiers. Tous crièrent, et lorsqu’ils arrivèrent à porter, le choc fut extrêmement violent.
Des casques volèrent sous les coups des cavaliers, certains cheveux eurent des épées dans le corps. Tyrius était heureux, sont premier combat de la journée, il fonça sur deux orientaux, évitant leurs attaques il les tua tous les deux. Le chef ennemi fit tomber un cavalier et l’abattit, cet homme était d ’une force exceptionnelle et il fallut plusieurs hommes pour le faire tomber. Quand celui-ci tomba, ses soldats étaient désorganisés et beaucoup se rendirent. Malheureusement pour eux, Tyrius était dans une de ces périodes de rage et il ordonna à ce qu’on les égorgent. Les pertes avaient augmenté, plusieurs cavaliers étaient morts, quatre autres mahûds et un ou deux piquiers.

A la fin, presque cent-cinquante corps gisaient inerte sur le sol, des bras, des jambes, des organes et des têtes de partout. Les haradrims essayèrent vainement d’enterrer leurs compagnons, ceux-ci étaient sous des corps orientaux et le sable était presque devenu rouge à cause du sang couler. Puis, ils se tournèrent vers les esclaves, aucun n’avaient pu fuir puisqu’ils étaient attachés au niveau des pieds et des mains. Les soldats de Tyrius libérèrent donc les femmes, les hommes et les enfants. Ceux-ci les remercièrent et les soldats demandèrent aux esclaves s’ils voulaient aller avec eux dans la cité. Tous acceptèrent, suivant les derniers mahûds qui avaient eu douze pertes ils s’avancèrent dans le désert en direction de la grande citadelle. Tyrius suivit par ses deux amis était en tête de la compagnie, les jeunes nouveaux avaient appris à le respecter , que ce soit au niveau du combat ou du caractère et même sur les valeurs. Le trajet dura longtemps, de la route du harad à la porte il y avait cinquante kilomètres et quatre oasis. Ils s’arrêtèrent donc a chaque oasis, permettant ainsi aux anciens esclaves de se ressourcer et de se reposez. Même Tyrius dormit, il avait retrouver le sommeil depuis la mort du corsaire. Mais là, le cauchemar recommença, montrant encore l’assassin de sa femme, celui-ci tua encore plusieurs femmes, les jetant dans la mer, leur enfonçant son épée dans le ventre, toujours avec son sourire sadique et le cavalier haradrim se réveilla, criant de rage si fort qu ‘il réveilla tous le camp, effrayant presque tous le monde. Ils se posèrent tous des questions mais ils se rendormirent vite, Tyrius quand a lui se leva, ne pouvant plus dormir. Il avait pris son cheval et était seul, dans le désert, réfléchissant à un moyen d’arriver à Hironeiden car oui, il avait oublier Hironeiden et Khiliani. Mais il lui fallait une grande armée, des engins de sièges ce qui lui était impossible pour le moment.
Il resta donc seul, immobile sur son cheval jusqu'à ce que l’aube se lève et là il alla chercher les autres et ils repartirent tous vers la cité. Ils y arrivèrent deux jours plus tard, la porte s’ouvrit à leur arrivé, les gens leurs faisaient des éloges mais certains étaient tristes, beaucoup de beaux guerriers étaient tombés au combat.
Tyrius alla seul voir le chef de la cité, depuis qu’il avait refait son cauchemar la rage c’était de nouveau emparé de lui et personne n’osait lui parler. Les anciens esclaves eurent vite une maison et tous ce qu’il fallait et les anciennes esclaves restèrent avec les soldats de Tyrius, certaine donnaient leurs corps et heureusement que le chef haradrim ne l’appris pas car tous ceux qui auraient fais cela auraient été tuer. Tyrius ayant fini de parler du combat a son chef, il regagna sa maison et s’endormit, las.

Bilan : ennemis vaincu

Alliés : 12 mahûds de morts + 15 piquiers + 7 cavaliers soit un total de 44 soldats de tombés

Me reste : 8 mahûds+ 5 piquiers+ 20 archers + 23 cavaliers
Revenir en haut Aller en bas
Gauthier555
Co Administrateur * Commandant de la Légion Noire ¤ L'Orphelin
Co Administrateur * Commandant de la Légion Noire ¤ L'Orphelin
Gauthier555


Nombre de messages : 1073
Age : 31
Localisation : Forteresse noire
Date d'inscription : 08/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Mar - 18:34

Histoire : 16/20
Ortographe : 8/10
Taille : 17/20
Action : 18/20

Note générale 17/20... Good mission albino santa
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Mar - 19:43

merci, cela me fait 1.5 points, j'aurais pu faire mieux , puis-je avoir une autre mission?
Revenir en haut Aller en bas
SpardatheDevil
Grand Guerrier
Grand Guerrier
SpardatheDevil


Nombre de messages : 533
Age : 32
Localisation : En route vers Umbar
Date d'inscription : 12/02/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Mar - 20:11

la rumeur du massacre de marchands d'esclaves s'est répendu et des hommes pour qui ça n'arrange pas leurs affaires sont furieux. Ils veulent te voir mort et envoient des hommes pour te tuer avec tes hommes.


Objectif: débarasse toi de ces hommes

Forces ennemies: 30 combattants haradrims armés de sabre et équipé d'une armure lourde
20 archers haradrims
40 mercenaires (armés de sabre, de masses, de hache, de lance, etc...) bagarreur mais pas courageux.

Forces alliées: Toi et tes hommes
Revenir en haut Aller en bas
Tyrius
Capitaine Haradrim
Capitaine Haradrim
Tyrius


Nombre de messages : 48
Localisation : quelques par en harad
Date d'inscription : 11/01/2009

Feuille de Personnage
Equipement:
Armée:

Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitimeMer 11 Mar - 21:34

merci je la commence.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Tyrius : l' haradrim corrompu
Revenir en haut 
Page 2 sur 3Aller à la page : Précédent  1, 2, 3  Suivant
 Sujets similaires
-
» Tyrius, l'haradrim
» Mâhild, l'elfe corrompu.
» Un nouvel Haradrim
» L'haradrim rebelle

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Guerres de la Terre du Milieu :: Le jeu :: Histoire-
Sauter vers: