Les Guerres de la Terre du Milieu
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La reprise du jeu de rôle créer sur le forum Le Seigneur des Anneaux : l'âge des conquêtes
 
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 Tyrius : l' haradrim corrompu

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Tyrius
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Tyrius
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Mar - 17:52

j'ai fais mieux et je suis désoler pour mon texte car j'ai pas eu trop de temps et les idées me manquaient.


la rumeur du massacre de marchands d'esclaves s'est répendu et des hommes pour qui ça n'arrange pas leurs affaires sont furieux. Ils veulent te voir mort et envoient des hommes pour te tuer avec tes hommes.
Objectif: débarasse toi de ces hommes
Forces ennemies: 30 combattants haradrims armés de sabre et équipé d'une armure lourde
20 archers haradrims
40 mercenaires (armés de sabre, de masses, de hache, de lance, etc...) bagarreur mais pas courageux.
Forces alliées: Toi et tes hommes

Tyrius venait de se réveillé , il avait des crampes, ce fut la toute première fois de sa courte vie qu’il était exténué a ce point. La mémoire de sa femme, tous ses combats, toutes ses souffrances. Les douleurs des jours passés vinrent ce jours là, et il éclata en sanglot, il avait tenu longtemps, depuis ses treize ans il n’avait jamais pleurer, ne c’était jamais lamenter et de toute façon qui le consolerait. C’était un soldat solitaire désormais suivit par ses guerriers et jamais plus ils ne serraient sous le commandement de Sauron ou du Gondor. Il voulait crée son propre pays, sa propre cité, imprenable et d’une grande beauté. Cependant avec seulement cinquante-six soldats, là tache sera d’autant plus dur. Mais il ne désespérait pas, cette cité pouvait être la sienne prochainement, les habitants l’aimaient, le respectait et les anciens lui auraient donner des bons conseils. Il était dans ses quartiers, petite pièce dans l’immense auberge où on l’avait logé . Ses deux amis se trouvaient eux, dans une maison donner pour leur famille. Les autres profitaient de chambres à peu près similaires à celle du chef et grâce aux esclaves nouvellement libérer, ils avaient la possibilité de s’amuser avec. L’ancien soldat du Gondor n’essaya pas d’imaginer ce que ces soldats faisaient, conduite impardonnable pour lui. Personne n’a le droit de profiter de la faiblesse des gens puis de la grande admiration qu’elles ont après leur liberté nouvellement retrouvé. Ce que faisaient ses soldats étaient malsains, cependant tous le faisaient. Où trouverai-t-il des troupes lui ressemblant ? Où trouverait-il des hommes qui étaient digne de confiance ? Des hommes qui le suivraient jusque devant Sauron près à ce battre contre le seigneur ténébreux. Cela était impossible et il le savait. Il décida donc et ce jusqu'à la fin de sa vie de devenir un ermite, un solitaire, une personne qui rejoindrais les peuples qui lui sembleraient les mieux et cela jusqu'à que la mort le prenne. Pour l’instant, il était avec la cité , pour l’instant…
En attendant ce beau jours où il retrouverais enfin sa liberté. Le chef l’avait fais mandé pour qu’il soit à midi dans la place centrale. Il mit son armure rouillé, prit son épée un peu ébréché à cause de ses nombreux combats puis, regardant la teinte argenté que prenait la lame au soleil, il la mit dans son fourreau et le mit à sa ceinture. Il prit ensuite sa lance, le manche toujours aussi solide malgré les deux coups qu’il avait subi, le bout de la lance était quand à lui avait perdu de sa qualité, des morceaux entier d’acier étaient partis, limitant la puissance de cette arme. Devant cela, Tyrius décida de prendre une nouvelle lance, malgré que celle-ci l’accompagne depuis toujours il ne pouvait la garder sous cause de perdre un combat. Il empoigna le manche , ouvrit la porte de sa chambre, descendit les escaliers de l’auberge et vit ses hommes dont la plupart dormaient. Ils avaient tous bu et certains s’étaient endormis sur des mares de vomis puantes. D’autres avaient des femmes dans leurs bras et s’ils auraient vu l’expression de haine qui se dessina sur le visage de Tyrius, ils les auraient lâché. Le capitaine haradrim sortis donc de l’auberge et dehors il pu enfin respirer. La ville était calme ce matin là, quelques soldats s’attardaient dans les rues avant soi d’aller aux tours de guet ou alors allez dormir. De gros nuage gris se dessinaient au loin, amenant avec eux la pluie donc l’eau dont les agriculteurs avaient besoin. Puis, il avança vers la grande place et il y vit quarante guerriers. Ce n’étaient pas des soldats ordinaires, de simples recrues, non. Ces hommes avaient vu autant de combat que Tyrius , ils étaient encore plus doué que lui au combat car ils faisaient partis de la garde personnel du chef. La garde grise du au faites que presque tous avaient leurs chevaux et leurs barbes qui devenait grises. Même s’ils étaient vieux, Tyrius n’exprimait pas le profond respect qu’il avait pour eux et préférait faire celui qui les méprisais. Il allait parler lorsque le chef apparu devant ses gardes du corps sur un grand cheval marron. Il se tenait droit pour une fois ce qui montrait son imposante carrure et sa grande taille. Le visage droit , les yeux rivés sur Tyrius et son épée dans sa main droite, il s’avança, suivit par ses vétérans. Tous marchait en ordre, sur la cadence d’un petit battement de tambour et ils dégainèrent tous en même temps. Une vague de terreur envahit le capitaine haradrim, il devint aussi blanc qu’une feuille de papier, et resserra en tremblant le manche de sa lance. Il n’avait aucune chance, mais bizarrement le supérieur leva le bras et les gardes remirent leurs épées aux fourreaux. Etranges manières pour saluer ou autre, en tous cas le chef avait un grand sourire, maintenant il savait que Tyrius avait peur de sa garde donc peur de lui et il ne redoutait plus aucune trahison. Soulagé, le capitaine des cavaliers repris des couleurs. Là, le chef s’approcha jusqu'à être à trente centimètres de l’ancien rodeur. Il déclara :

« Bien le bonjour cher conseiller.
_Bonjour chef.
_Voilà ce qui pourrait t’arriver si tu me trahis, mes gardes plus d’autres soldats t’attaqueront et de détruirons .
_Je m’en suis aperçu, pas besoin de me le rappeler.
_En attendant je viens te dire que la nouvelle école militaire viens d’ouvrir ses portes. Je veux que tu devienne le professer d’un des douze ateliers.
_D’accord, mais qui d’autres que moi y aura t-il ?
_Bludor pour les exercice a main nue, deux de tes mahûds pour le maniement de l’arc et de la sarbacane et c’est tout.
_Merci pour ces informations.
_Il n’y a pas de quoi, tu es mon conseiller militaire donc certaines choses doivent t’être connu. »

Le chef partit en direction de son château suivit par ses gardes. Le capitaine du harad était encore sous le choc, comment étais-ce possible ? Comment le chef savait-il ses projets ? Tant de question sans réponse. Il essaya de ne pas y penser et se dirigea vers l’une des nombreuses forges, mais il se dirigea vers la soit-disant meilleure. Il e vit personne dans la rue et lorsqu’il arriva devant le forgeron, un bruit sourd se faisait entendre derrière lui. Un bruit de métal, l’acier frappé par les marteaux de fer. Il cira au forgeron pour être sur que celui-ci le comprenne :

« Je viens pour réparer ma lance ! Regardez la pointe ! En montrant du doigt son l’acier ébréché.
_Laissez la moi ! Je vous la rend en parfaite état ce soir !
_Merci ! »

Tyrius heureux se dirigea vers l’école martiale. Nouveau bâtiment de la cité et un édifice des plus important. De l’extérieur cela avait l’un d’un palais, immensément grand. De partout des jeunes et leurs parents, des paysans et même certaines veuves entraient, bousculant le capitaine haradrim. Celui-ci suivit les jeunes et entra donc dans l’école pour laquelle il c’était battu. A l’intérieur cela changeait, aucune richesse mais des grandes salles vides et des chambres pour ceux qui décideraient de dormir jusqu'à la fin de leur formation. Dans ces grandes salles ils y avaient des tapis, des bottes de foin, des gros morceaux de bois et surtout des armes et des armures. Et à chaque salle il y avait un maître. Et si vous avez suivit mon texte alors vous saurez qu’il y a douze salles et trois des hommes de Tyrius y sont professeur.
Le capitaine se dirigea vers la seule salle vide, la sienne ou l’attendait vingt jeunes fausses épées à la main. L’ancien gondorien entra donc, le silence y régnait et lorsqu’il dégaina, posa son épée sur le support prévu et qu’il prit une épée en bois. Il cria :

« En rang ! J’en veux deux bien droit ! Et je veux que les épées soit levée ! »

Les adolescents qui étaient pour la plupart habitués aux entraînement de celui qui prenait pour leur mentor. Ils firent ce que leur avait demander Tyrius et attendaient tandis que celui-ci regardait les rangs.
Il fixa longuement cinq petits qui bougeaient un peu trop. Et la punition ne tarda pas :

« Vous cinq ! Oui vous ! Lâchez ces épées et faites moi quarante tours de la salle ! Et plus vite que sa ! Sinon je vais vous courir après. »

Les pré-ados mirent les épées en bois dans le bac et coururent à une vitesse élevé et il n’avait guère le droit de baisser l’allure ou de s’arrêter sinon ils avaient quarante autres tours.
Les autres restèrent bien droit, enfin jusqu'à à ce que leur entraîneur décide de les faire combattre. Il plaça un tas d’obstacle, des poutres de bois, des bottes de fois partout dans la salle et il y envoya les jeunes, grâce aux obstacles la salle ressemblait à un champ de bataille, enfin essayait de ressembler et la difficulté serait d’autant plus grande. Si les jeunes n’avaient eu aucune leçon, Tyrius leurs auraient appris le maniement cependant sur les vingt présents, seul les cinq qui couraient n’avaient aucune expérience.
Il regarda attentivement tous les mouvements des jeunes qui apprenaient avec toutes les difficultés que cela apportait à ce battre sur un terrain parsemé d’embûches.
Ils se débrouillaient bien, leur attention était plus porter vers tout ce qui les entouraient plutôt que par leur combat en un contre un. Comme cela avec assez d’entraînement ils pourraient voir si un ennemi arriverait par derrière. Très efficace contre les orcs, monstres lâches que Tyrius sous les ordres de Sauron avait du côtoyer. Le cavalier du désert allait ordonner quelque chose lorsque deux des soldats de la grade du chef l’appelèrent.
L’entraîneur décida de faire stopper ses élèves et leur demanda d’aller voir Bludor et de le prévenir car il avait vu une expression qu’il n’aimait guère chez les hommes du chef.
Les élèves se dirigèrent donc vers la neuvième salle tandis que Tyrius suivait les gardes qui l’emmenait devant le grand chef. Celui-ci était assis sur son trône , courbé comme à son habitude et devant lui se tenait trois grands et riches marchands guerriers qui regardèrent le « massacreur » qu’ils recherchaient. Les guerriers voulurent sortir leurs épées mais entouré par tous les gardes d’élites ils n’auraient pas survécu. Ils attendirent donc que Tyrius soit assis sur son siège de conseiller pour déclarer :

« Bonjour seigneur de cette cité, nous venons en paix mais avec une immense colère envers l’un d’entre vous.
_Bonjour grand marchands de l’est. Qui donc est-cet personne ?
_C’est votre conseiller qui vient d’entrer cher seigneur.
_Quoi ? Vous voulez vous en prendre à un de mes chefs de guerre ?
_Oui et nous en sommes désoler cependant il a massacrer cent des nôtres et nous as fais perdre une immense marchandise.
_Et qui donc êtes vous pour réclamer cette marchandises et avez vous des témoins.
_Oui , moi, fit un des trois guerriers, j’étais caché lorsque cet homme, en montrant Tyrius des doigts , a ordonner à ce qu’on les égorgent sans raison apparente. »
Un long silence envahit la salle de conseil avant que le chef ne parle :

« Est-ce vrai ? Tyrius as-tu fais cela ?
_Oui, et j’en prend la responsabilité, et je ne veux en aucun cas que la cité soit affecter par la négociation qui va suivre car je pense que nous allons négocier. N’est-ce pas ? Demanda le capitaine.
_Vous connaissez bien les manières des marchands du Mordor, comment cela ….
_Je les ai combattu pendant cinq ans avant de venir ici , voilà pourquoi, répondit Tyrius en ne laissant pas le marchand finir sa phrase. Je suis sur que des mercenaire de khand sont avec vous et que des soldats de l’est aussi.
_C’est exact.
_Alors commençons les négociations, fit le chef.
_Nous n’avons que deux choses à demander. Vous nous donnez les femmes esclaves et vous nous laissez Tyrius en prisonnier »

Sur les derniers mots, le capitaine haradrim dégaina et était près les massacrer lorsque le chef reparla :

« Cessez de suite ! Vous ne pouvez oser dire te tel paroles ici, ce n’est pas comme si vous vous en preniez à un faible ou autre, vous vous en premier à un capitaine de guerre et à mon conseiller. Les hommes le suivront jusqu'à la mort et les citoyens de même. Et pour ce qui est des esclaves, c’est non ! Ici c’est une ville d’accueil et ils y resteront en paix jusqu'à leur mort.
_Une grave erreur ! Déclara le troisième marchand, on s’en fiche de votre cité, nous voulons réparation et nos soldats campent non loin !
_C’est une menace !
_Non, bien sur que non, reprit un autre marchand, mais sachez que nous pouvons facilement engager la guerre.
_Et j’aurais de quoi résister, Tyrius donné les effectifs à ces marchands.
_Oui chef. Alors, sur nos murs nous avons en permanence deux cent cinquante archer qui tireront sur tout ennemi probable. Auquel nous pouvons ajouter les garnisons d’épéistes qui se joignent à eux ce qui nous fais un total de cinq-cents soldats sur les murs. Puis nous avons deux cent-cinquante lanciers qui attendront les ennemis pour les embrocher et cinq cent cavaliers qui chargeront ensuite. Soit mille deux cent cinquante guerriers en arme présent tout le temps. Et ce n’est pas tout, les garnisons changent toutes les douze heures ce qui nous fais un total de deux-mille cinq cents soldats. Voulez vous battre contre sa ? »

Les marchands commencèrent à trembler, ils n’avaient aucune chance mais une aide inattendu arriva :

« Je suis désoler Tyrius mais ce n’est pas à la cité de t’aider, tu nous as causé des ennuis et nous n’en voulons pas, tu seras banni , d’ailleurs tu es banni dès maintenant., déclara le chef.
_Quoi ! Pourquoi ! Vous n’êtes qu’un lâche, et vous regretterez votre action, fit le capitaine désabusé en quittant la salle du conseil.
_Merci seigneur, firent les trois marchands, vous verrez notre combat de vos murs et ainsi vous verrez la puissance des sujets de Sauron.
_Si vous le dites. »

Les trois marchands prirent congé du chef et quittèrent la ville sur leur chevaux paré d’or. Quand à Tyrius, sa colère était immense, comment pouvait-il être trahi ainsi ? En tout cas il jura sur une chose. Qu’il reviendrai en ennemi prendre cette cité, cette cité qui l’aime et que lui aime. Personne n’avait le droit de le traiter de la sorte, sa mort était assuré et aucun de ses hommes à part les mahûds ne l’auraient suivit. Il rentra dans sa chambre à l’auberge. Attendant, réfléchissant sur son destin. A neuf contre un nombre inconnu, aurait-il la vaillance requise et la puissance nécessaire. Sans qu’il ne le sache, la rumeur de sa peine d’exil traversa la ville, de bouche à oreille elle se répandit très vite même jusqu’au deux officiers de Tyrius qui vinrent frapper à la porte de celui-ci avec les huit mahûds derrière.
Le cavalier les accueillit d’un bref signe de la main. Ceux-ci parlèrent :
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Mar - 17:52

« Chef, que faisons nous ?
_Ce que vous voulez, vous pouvez rester même si je pense que vous les mahûds resterez avec moi.
_Oui , nous vous suivrons, firent les huit guerriers du sud.
_Alors mes deux amis, que faites-vous ?
_Moi je te suit, la vie n’est pas assez dangereuse à mon goût en restant ici, répondit Tsalor.
_Et moi de même, nous avons juré de te suivre, tu nous as épauler, tu nous as sauvé, nous te devons bien sa, surenchérit Bludor.
_Alors nous serons onze contre un nombre encore inconnu. Car les ennemis nous attendent, ils veulent montrez au chef la puissance de Sauron, et je suis sur qu’ensemble, nous les vaincrons.
_Jusqu'à la mort ! Firent tous les guerriers. »

Puis ils se séparèrent, préparant leurs affaires, ou plutôt leurs armes et leurs armures et leurs chevaux. D’ailleurs le capitaine partit à la forge, il avait une lance à récupérez. Mais quand il arriva, un soldat l’empêcha de récupérez son bien.

« Je suis désoler mais le chef ne veut pas. Fit-il d’une voix assez faible. »

L’ancien gondorien en avait assez, il dégaina son épée et la plaça sous le coup du jeune soldat qui ne put rien faire et le montra au forgeron.

« Passe moi ma lance ou je l’égorges et je te tue après. Cette lance est aussi importante que ma chair, sans elle je ne suis rien alors dépêche toi ! »

L’homme courut la chercher et quand il revint, il la teint devant Tyrius, lui montrant ainsi la qualité de son travail. Mais quel qualité ! La lame étais certes sans aucun défaut cependant l’acier n’avait pas était assez travailler et elle n’était plus aussi meurtrière. Le cavalier savait qu’il trouverais des bons forgerons à Hironeiden ou encore à Umbar. Il remercia quand même le forgeron et partit, lâchant en même temps le soldat qu’il jeta contre un mur. Il n’avait plus le temps, et maintenant qu’il était armé, qu’il portait son armure et qu’il avait des provisions pour deux jours, il ne lui restait plus qu’apprendre son cheval. Quand il arriva à l’écurie, il vit ses cavaliers devant, tous en arme, tous près de leurs chevaux, attendant leur chef et tous déclarèrent :

« Nous avons appris chef, nous allons vous suivre. »

Le chef heureux leur fit un signe de la tête et alla cherche son cheval qu’il avait nommé bucéphale. Grand cheval noir et très puissant. ( désoler référence à Alexandre le grand mais j’en suis loin) Il monta dessus et ses hommes firent de même, là il se dirigea vers la porte central ou les mahûds et ses officiers l’attendaient. Autour et sur les murs, des civils c’étaient joints aux soldats et regardaient tristement ou pas le capitaine haradrim qui sans allait dignement. Avant que les portes ne s’ouvrent, les vingt archers et les piquiers et les archers arrivèrent en courant. Leur représentant parla , un peu essoufflé :

« Chef, comptiez vous partir sans nous ?
_Et bien oui, mais je suis heureux de vous voir. Monter derrière les cavaliers et les mahûds. La rapidité est la clé.
_Oui chef ! »

Les citoyens étaient abasourdis, comment tous ses soldats pouvaient désobéir aux ordres du chef, surtout pour suivre ce cavalier. Un grand bruit sourd stoppa les paroles de certains tandis que la porte s’ouvrait. De là, les cavaliers défilèrent à toute vitesse , mais comme Tyrius le craignait, les ennemis se trouvaient à quelques centaines de mètres. C’était un terrain plat avec de la terre et du sable. Terrain parfait pour la charge de cavalerie, heureusement. Des murs, les citoyens pouvaient tous voir, même les derniers rangs ennemis. Ceux-ci étaient composé d’archers haradrims , de guerriers haradrims et de mercenaires. Et encore la chance sourit à Tyrius, il n’y avait que dix piquiers dans les rangs et les dix au premier rang. C’étaient des variags, peu courageux et une faille à utiliser chez l’ennemi. Le capitaine haradrim suivit de tous ses cavaliers qui portaient en fardeau soit un archer ou un piquier. Seul les huit mahûds étaient seul et même Tyrius avait un piquier derrière lui. Un seul piquier était à pied mais celui-ci décida au dernier moment à rentrer chez lui. Quel faible ! Alors le capitaine se dirigea vers ses ennemis, serein malgré le nombre d’adversaires largement supérieur. Ils devaient être quatre-vingt-dix alors que Tyrius et les siens n’étaient que cinquante-six, presque la moitié moins. Mais il s’en fichait, la main serré autour du manche de sa lance, celle-ci dirigé vers l’ennemi qui déjà se mettait en marche. Leurs rangs désordonné laissaient des grands espaces sans piquiers et ainsi le champ libre aux cavaliers qui même avec des archers sur le dos étaient toujours aussi meurtrier et même plus. N’oublions pas que lorsque le cavalier attaque avec sa lance l’archer peut éliminer un adversaire oublier ou loin. Confiant et peut-être même trop, Tyrius décida de lancer la charge, ils devraient former une ligne , chargeraient sur l’ennemi se dirigeant surtout vers les points les plus faibles tandis que les archers abattraient le plus d’ennemis possible. Il cria, si fort que même le chef dans son château l’entendit, criant de rage et fonça, ne craignant pas la mort et ses soldats firent de même. Jamais on n’avait un spectacle pareil, enfin on avait jamais vu cela ici car dans les terres des Numénoréens , les terres jadis Elfique plus d’un exploits avaient été fait et personne au monde ne fera mieux sauf peut-être le nouveau roi. Le bruit des sabot résonna dans la plaine et dans la cité car tout le monde s’étaient tut, regardant en respectant les hommes partis. Puis lorsque les cavaliers furent à quarante mètres des ennemis, une volée de flèches s’abattit sur eux, faisant tomber trois chevaux et six soldats. Et de nouveau un cri de rage sortis de Tyrius et une douzaine de flèches volèrent vers les ennemis et de nouveau les soldats crièrent. Les ennemis chargèrent à leur tour, n’attendant pas d’autre volée de leurs archers qui prirent leurs épées. Quel erreur stratégique, les chefs ennemis étaient vraiment des minable, choisir un tel champ contre des cavaliers, choisir une telle technique, Quelle folie ! Enfin, lorsque le choc eu lieu, le bruit métallique de l’acier contre l’acier résonna, les hennissements des chevaux, les cris humains. Certaines femmes de la cité pleurèrent, surtout les esclaves libéré qui devait à Tyrius la vie, enfin surtout une vie libre. Le piquier qui était revenu c’était replier chez lui, les jeunes lui jetaient des cailloux et un groupe de soldats lui tapaient dessus. Même si les guerriers n’étaient pas loin de la cité, aucune personne ne put voir les horreurs commises car il y en eut. La folie qui consumait le jeune guerrier l’envahit une fois de plus et il massacra tous sur son passage. Les effectifs du capitaine avait été diminué de six cavaliers, ils virent les piquiers ennemis mettre genoux à terre et ne se doutant pas que les archers de Tyrius les visaient . La volée ne tarda pas et elle s’abattit sur eux, les tuant tous . Là, le chef seul devant fonça sur un des épéistes haradrim qui ne put l’éviter et qui se prit bucéphale tombant raide mort sur le coup. La lance du jeune capitaine transperça les corps , tellement qu’il ne les compta pas, prit dans sa folie sa vision devint flou, perdu dans les lignes ennemis qu’il décimait sans aucune pitié. Lors de sa course, il avait fauché avec l’aide de bucéphale sept guerriers et quatre archers. Les écrasant et les embrochant, d’ailleurs sa lance était souillé de sang. Il était aidé par dix cavaliers qui avaient été assez rapide pour le suivre. Tyrius savait que le point fort des cavaliers c’étaient la rapidité des mouvements, et si jamais il s’arrêtait, il se ferait massacrer. Ils chargeaient toujours, et ils arrivaient vers les dix gardes des trois marchands qui as cheval les attendaient. Ils crièrent et chargèrent sur Tyrius, eux avec l’envie de vengeance et le capitaine avec la rage de sa folie.
Lorsque les deux groupes se rentrèrent dedans , le sang gicla de partout, des casques, des organes et tant d’autres. Tyrius empala un adversaire qui en tomba de sa monture, emportant la lance du chef haradrim qui dégaina rapidement car un autre cavalier arrivait. Il se souvint en voyant le soldat ennemi transpercé qu’un piquier était derrière lui, il allait le remercie quand celui-ci se fit couper la tête par un adversaire. Le capitaine haradrim poursuivit le cavalier épéiste et il le tua d’un bon coup de sabre dans le torse. Quand Tyrius regarda autour de lui, il vit ses ennemis s’enfuir , la victoire revenait aux cavaliers, et le massacre commença. A cause de ces chiens de Sauron tous avaient été banni et cela méritait une grande punition.
Les cavaliers fauchèrent maints ennemis, les transperçant( de leurs lames , les derniers piquiers transpercèrent les ennemis, les bouts des lances regorgeaient d’organes en tous genre. Il était heureux, Tyrius était heureux d’avoir triompher et ses hommes aussi. Il vit arriver Tsalor et Bludor, leur lames ruisselantes de sang. Ils déclarèrent :

« Chef, la victoire est à nous et comme tu le constate nous les massacrons, cependant les pertes sont plus grandes que prévu et pour nous qui nous trouvions derrière la difficulté à été un peux plus grande. Les épéistes et les archers ont sauté sur les cavaliers et plein n’ont pas eu le temps de se défendre. Beaucoup de nos archers sont tombés même si leurs flèches furent importantes, ils n’auraient pas fallut les emmenés. La charge aurait été aussi efficace. Cependant si je pense juste tu as eu raison, car la plupart serait partis avec l’ennemi.
_Tu pense toujours aussi juste Tsalor, mais dites moi vous deux, quels sont les pertes ?
_Nous ne sommes plus que vingt-neuf, beaucoup de nos cavaliers sont tombés , presque la moitié de nos archers. Et nos derniers piquiers.
_D’accord, nous allons enterrer nos alliés, finirent de tuer ces sales chiens et nous allons aller à la cité.
_Oui chef. »

Pendant encore une bonne heure, les mercenaires ennemis furent massacrés jusqu’au dernier , pour les trois chefs, on plaça leurs têtes sur des piques en plein milieu du champ de bataille.
Et ce terrain était de couleur rouge, le sang qui avait coulé immensément , des membres gisaient sur le sol, une centaine de corps inertes. La victoire restera dans la mémoire des citoyens, au moins quand Tyrius reviendra ils auront peur de lui.

Tyrius était heureux, il avait montrer au chef de la cité sa valeur, montrer que même en sous-effectif il vaincrais, montrer que sa rage était immense, montrer qu’il n’avait peur de rien et encore moins des chiens de Sauron. Il se dirigea suivit par tous ses hommes qu’ils soit blessé ou pas et il leva sa lance devant les murs, et cria, insultant le chef et il s’arrêta devant la porte et hurla :

« J’espère que tu m’entends toi la haut qui se dit le chef ! Sache que je reviendrais ! Et à ce moment les portes devront mettre ouverte ! Je n’hésiterais pas à tout détruire juste pour te trouver toi le soi-disant chef qui est sage ! Et je te tuerais ! Je le jure ! »

Il se retourna et recria en levant son arme. Tous ses soldats lâchèrent un cri de guerre et levèrent aussi leurs armes avant de partir, s’éloigner de la cité et essayer d’éviter le champ de bataille ou beaucoup étaient tombé. Maintenant Tyrius conduira ses soldats à Hironeiden, il sait où elle se situe et il s’attaquera au corsaire de Khiliani car il l’avait promis, promis à sa femme. Promis de la vengée.



Bilan : ennemi détruit, banni de la cité et en voyage pour Hironeiden.
Alliés : 2 mahûds de morts, 12 archers+ 3 piquiers+ 10 cavaliers .


Me reste : 8 archers + 13 cavaliers + 6 mahûds + 2 piquiers
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SpardatheDevil
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Mar - 19:19

Voilà, j'ai lu ton texte et voilà mon verdict:

Longueur: 13/20 (un peu court)
Histoire: 16/20 (très bien pensé l'histoire de la trahison)
Orthographe: 5/10 (fait attention, là j'ai été gentil)
Action: 13/20 (dès fois c'est un peu confus, mais très gore avec pas mal de détails)

Général: 13,4/20 (bonne mission mais quelque peu confus dans l'action, et méfie toi avec les fautes d'orthographes)
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Mar - 20:38

Je trouve que le "un peu court" fait un peu tâche... perso j'aurais mis 15, c'est un texte tout à fait honorable, tout le monde fait pas 15 pages par mission...
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeDim 29 Mar - 21:11

j'avais oublié d'enlever le un peu court après avoir noté, mais sinon je pense qu'il faut garder 13, enfin moi je fais comme ça, j'aime les textes longs, mais après tout le monde peut ne pas être de mon avis. De plus, ce 15 n'aurait changé sa note général que d'1 point, et ça n'aurait pas changé le nombre de point qu'il gagne après. Mais sinon, voilà la mission de tyrius:

Après avoir été exilé de ta ville, tu es obligé de partir dans le désert pour te faire oublier de Sauron et de ses acolytes. Mais au bout d'une semaine, tes réserves d'eau s'épuisent et tu doit te ravitailler. Mais voilà, la seule oasis à proximité est gardée par une garnison d'homme à la botte du seigneur des ténèbres. Ils seront chargés de ramener ta tête au seigneur le plus proche, ils ne montreront aucune pitié !

Objectif: Tu dois vaincre les guerriers suderons et détruire leur garnison
Te ravitailler en eau et en nourriture si possible.

Forces ennemies: 40 guerriers suderons armés d'épées à deux mains de mauvaise qualité

Forces alliées: toi et tes hommes
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeLun 30 Mar - 20:46

Je ne demandais pas le changement de note (de toute façon j'aurais voulu changer la note j'aurais demander l'avais de personne...) je faisait juste une remarque, n'oublions pas que la règle c'est le donneur qui note, mais nous somme là pour nous amélioré donc les remarques sont les bienvenus...
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeLun 30 Mar - 20:54

C'est noté nico Very Happy
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeLun 30 Mar - 21:24

ok merci sparda, la mission la elle était baclée, donc le résultat est normal, je vais essayer de ne pas bacler celle la^^
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeMar 30 Juin - 13:21

la mission de tyrius devrait arriver dans la fin de la semaine ou alors la fin de la semaine prochaine, je viens de la commencer.
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeJeu 2 Juil - 21:41

J'ai fais beaucoup mieux. Cette mission ne sert qu'a expliquer pourquoi Tyrius fais la Gb



La petite troupe cavalait toujours dans le désert, les dunes se voyaient a pertes de vue, le soleil frappait fort et nombres d’hommes eurent des malaises. Heureusement pour Tyrius, aucun ne tomba. La volonté avec laquelle il avançait se transmettait dans ses hommes qui l’aimait en temps que chef de guerre. Le cavalier n’avait jamais perdu un seul combat, victorieux dans n’importe quel cas de figure car il était porté par une rage, celle de retrouver sa femme et tous les ennemis qui s’avançaient n’avait pour lui qu’un seul but. Le tuer avant qu’il ne puisse se venger ! Malgré cette haine, il c’était toujours combattu avec honneur, n’avait jamais violé les femmes qu’ils avaient trouvé, n’avait jamais tué par derrière. « C’était un fou respectable » comme disait les hommes de la cité qui a présent était loin derrière. Tyrius continuait d’avançait, son cheval ruisselait de sueur et l’eau s’amenuisaient à chaque kilomètres parcourus.
Il décida donc de s’arrêter, de se reposer pendant une nuit, les nuits froides qu’offrait le désert.
Les hommes ne se firent pas prier pour arrêter leurs montures et monter un camp, et la, ils dormirent sauf pour les mahûds qui décidèrent de garder le camp et pour Tsalor et Buldor qui parlèrent avec leur capitaine :

« Chef, nous savons où aller, mais croyez-vous sincèrement que nous pourrons vaincre les hommes d’Hironeiden ?
_Oui, ils sont beaucoup plus nombreux que nous, fit Tsalor.
_Je le sais parfaitement, mais je ne vous oblige pas à me suivre jusque devant les portes de Khiliani, devant la cité, vous pourrez partir.
_Mais...Chef, on ne va pas vous abandonner, firent les deux officiers.
_Ce n’est pas le moment d’en parler, mais vous prendrez cela comme mon dernier ordre, le plus grand de tous. Excusez-moi, il faut que j’aille monter la garde, je veux que vous dormiez comme les autres. Vous valez tous une dizaine de corsaires, finit-il par lâchez. »

Les deux officiers sortirent de la tente du chef et rentrèrent dans la leur, tandis que ce dernier prit sa lance, son épée et sortit dehors. Il s’avança vers un de ses mahûds, lui dit gentiment a celui-ci d’allez dormir. Il prit sa place et s’assit sur une petite dune, dominant ainsi tous les environs. Aucun bruit ne se faisait entendre, le silence était prenant. Les cinq autres mahûds commençaient à avoir sommeil, et ils furent vite remplacés par les archers qui avaient pris un peu de repos. Tyrius se tenait droit a présent, tenant fortement sa lance et le poing serrés car il avait cru voir une forme sombre au loin. Mais il était fatigué et ses yeux se fermaient sans que lui ne le veuille. Il faillit s’écrouler de sommeil mais en se relevant et en regardant les dunes, il vit une trentaine de torches s’avancer vers eux. En un mouvement désordonné et lent. Il devina donc que c’était des orcs.
« Alerte !! Les orcs sont ici ! »
A ce cri, les hommes sortirent de leurs tentes, les archers prirent leurs flèches dans leurs carquois et visaient les torches. Les piquiers se mirent devant les archers, les deux piques en avant, prêt a embrocher la chair perfide des maudits orcs. Les mahûds prirent leurs arcs et se mirent sur leurs chameaux. Tandis que les cavaliers, serrant forts leurs lances étaient déjà prêts à charger. Tyrius se mit sur son cheval blanc, attendant le moment propice. Malgré la nuit, les formes des orcs étaient facilement perceptibles, ils hurlèrent et chargèrent, ne sachant sûrement pas a qui ils avaient à faire. De toutes les créatures de la Terre du milieu, les orcs, les Uruks, et tous les monstres de Sauron, pour eux, Tyrius n’avaient aucune pitié. Il attendit encore, attendit jusqu'à ce que les orcs soient à porter, et la :

« Archers, tirez ! Videz vos carquois ! »

Et c’est ce qu’ils firent, les flèches pleuvaient dru, tombant dans les rangs clairsemés des orcs ou se fichant dans le sable. Les cris ennemis se firent entendre. Le sang coulait déjà, nombres d’orcs furent tués. Certaines ne touchaient que les bras ou les cuisses, d’autres touchaient le torse et les organes vitaux. Il fallut dix minutes pour que toutes les flèches furent lâcher sur l’ennemi, dix minutes pour faire passer leur troupe d’une trentaine à une dizaine dont tous étaient percés. Alors la, Tyrius chargea, hurlant de rage et il fonça sur les derniers orcs dont certains commençaient déjà à fuir. Il arriva sur les talons d’un grand orc, vêtu de noir et armés d’une grande hallebarde, il essaya de percé l’haradrim mais celui-ci avait déjà vu le coup venir et c’était pencher frappant en même temps le plexus de son ennemi avec le manche de sa lance.
Il fit demi tour avec son cheval et tua son adversaire, plongeant la lance dans le crane de son ennemi. Autour de lui, les orcs étaient massacrés, les têtes volaient et le sang coulaient à flots. Il ne fallut pas longtemps pour que les immondices de Sauron fussent tous exterminés. Le soleil apparut deux heures après la fin des combats, il n’y avait aucune pertes pour les haradrims, seulement trois blessés, de petites coupures sans grandes conséquences. Un cheval avait lui aussi une blessure sur la patte avant droite, mais elle non plus elle n’était que superficielle. La lumière du jour leur avait enfin montrer le nombre exact de leurs adversaires, ceci étaient au nombre de trente-cinq, commandés par le grand orc noir probablement qui ressemblait plus à un Uruk qu’a un petit et chétif orc. Soixante-dix flèches gisaient sur le sol ou sur les corps des créatures de Morgoth. Par chance, aucune ne fut casser.
Les hommes du désert se dépêchèrent de reprendre leurs flèches, les placèrent dans leurs carquois, se mirent sur leurs montures. Tous les soldats étaient présents alors Tyrius partit en direction d’Hironeiden et tous le suivirent. Ils chevauchèrent pendant deux longs jours, l’eau se faisait rare désormais et ils avaient du éviter deux groupes de cavaliers haradrims qui devaient probablement les chercher à cause des orcs mais aussi de l’affrontement devant la cité. Le capitaine le savait, sa tête était mise à prix, il était en danger sauf dans le désert ou ses hommes l’emporteraient sur toutes les créatures et sur les soldats à Sauron. Mais le plus gros risque, c’est le manque d’eau, il fallait y remédier. Les mahûds connaissaient tous les oasis de la région, aucun ne leur était inconnu et heureusement, sinon ils seraient tous mort. Les habitants du sud avancèrent jusqu'à une grande dune ou l’on pouvait voir l’oasis, là, ils s’arrêtèrent et appelèrent Tyrius :

« Chef , venez-voir.
_Que ce passe t-il ?
_Là bas, des ennemis. Ils ne sont qu’a une cinquantaine de mètres, nous ne voyons aucun piquiers, cependant ils ont tous de grandes épées et doivent sûrement être en pleine forme alors que nous…
_Et que proposes-tu ?
_D’attendre la nuit, moi et deux des miens nous remplissons les gourdes, on revient et demain matin on charge.
_Tu sais que tu es très intelligent toi. Fit Tyrius avec un sourire, j’aime bien ton plan et sa me paraît le plus raisonnable, crois-tu que ces hommes viendraient par ici ce soir ?
_Sûrement, enfin, si les archers sont ici les quelques gardes ne pourront guère donner l’alerte.
_Alors j’ai une meilleure idée, déclara un second Mahûds, puisse que nous sommes sûrs de pouvoir aller chercher de l’eau nous irons, tandis que les miens seront la bas, les archers élimineront leurs deux ou trois gardes, ainsi on n’attaquera revigorés mais en surplus nous attaquerons par surprise alors que nos ennemis dorment.
_Je ne suis pas un lâche ! Cria Tyrius, je les attaquerais de face, en plein soleil ! Et ainsi soit-il ! »

Les mahûds ne discutèrent pas, les soldats descendirent enfin des chevaux qui n’en pouvaient plus. Les trois quarts de l’eau restante fut données aux chevaux, principales facteurs de leurs victoires et leur plus grand atout. Les tentes furent montées et tous dormirent à part Tyrius , ses officiers et les deux piquiers. Le soleil n’était même pas coucher mais ils avaient tous besoin de dormir. Les deux piquiers se tinrent à l’écart, allongés dans le sable et scrutant la troupe ennemie. Les trois amis discutèrent :

« Tu sais à quel point nous te sommes loyaux, firent les deux officiers, les mahûds et les vétérans aussi, mais certains de ceux que tu as comme soldats ne partagent pas les mêmes sentiments que nous. Ils n’ont pas connu assez de batailles et ont encore peur de Sauron.
_Oui, fit Tsalor, nous avons peur qu’ils se rebellent ou qu’ils préviennent les soldats du Grand œil.
_Oui, mais ce soir ils ne le feront pas, ni demain, nous envisagerons après car la, je suis exténuée comme vous et j’ai mal à la tête. Une bonne baignade me ferait du bien. »

En disant cela, il se rappela de ses baignades dans l’anduin avec sa femme, les beaux moments, la beauté de l’eau et les cris joyeux qu’ils avaient. Il se retint de pleurer et finit par dire :
« En fin de compte , je ne veux pas de baignade »
Et tous rit même si ce qu’il disait n’était pas si drôle que sa, mais la fatigue se ressentait fortement. Les gardes tinrent quand même trois heures, trois heures sans sombrer dans le sommeil. A ce moment là, il faisait noir et c’était dur de percevoir des mouvements. Alors les mahûds partirent, avec les gourdes. Ils s’avancèrent lentement et sans bruit, et arrivèrent à coté du petit lac. Ils remplirent les gourdes et repartirent toujours sans bruit au campement. Les gardes épuisés partirent dans leurs tentes dormirent tous comme les mahûds et les officiers, tandis que les archers et quelques cavaliers s’étaient reveillés et montaient la garde. Tout se passa normalement et a l’aube, tous se réveillèrent. Ils burent à grande gorgée, donnèrent de l’eau aux chevaux et se préparèrent à charger. Les haradrims se dressaient grands et fier sur leurs montures, leurs grandes lances en main, derrière certains, un des deux piquiers qui attendaient la charge et le moment ou les cavaliers serrait presque immobile pour ainsi descendre et embrocher leurs adversaires. Les archers eux aussi furent mis sur les chevaux, tandis que les mahûds, arc à la main sur leurs chameaux formaient la garde de Tyrius qui s’avançait désormais, sur son grand cheval blanc, son armure souillé et pleine de sable, sa lance dont le bout était toujours rempli de sang. Il alla vers la dune et cria en direction des suderons :

« Vous ! Petits esclaves de Sauron, venez-vous battre contre moi ! »

Les ennemis répondirent vite a son appel, et tous prirent leurs longues épées et s’avancèrent, montant la dune assez difficilement. La, Tyrius leva la main et les cavaliers se mirent à son niveau. Les soldats de Sauron prirent peur car il n’avait absolument aucune chance. Puis, le capitaine haradrim baissa la main et une volée de flèches s’abattit sur les suderons. Celle-ci volèrent et plongèrent dans la chair humaine. Le sang gicla, les corps tombèrent car les mahûds étaient expérimentés et peu de leurs flèches ne trouvaient pas l’ennemi. Cinq adversaires furent tués quand Tyrius chargea, l’état de folie dans lequel il se trouvait à chaque bataille s’empara de nouveau de lui et il fonça tête baissée vers les suderons qui resserrèrent la prise sur leurs épées, qui étaient grandes, longues, très abîmés mais qui pouvaient encore faire de gros dégâts. Les haradrims crièrent et suivirent leurs chefs, certains lancèrent leurs lances qui transpercèrent deux suderons trop imprudent et qui riait. Puis, le cheval de Tyrius rentra dans un suderons, l’écrasant en même temps. Son cavalier lança sa lance qui transperça le mollet du soldat ennemi le plus proche, il dégaina son épée et décapita le guerrier qui à genoux essayait vainement de retirer la lance. Les autres haradrims arrivèrent au moment la, faisant tomber une dizaine de suderons qui ne purent que se faire piétiner et transpercer par les lances des guerriers du sud. Le sang ruisselait sur les lames et les lances des guerriers du désert mais il restait encore une trentaine, les suderons resserrèrent les rangs, autour de leur capitaine qui arrivait à réchauffer leur ardeur, puis d’un coup ceux-ci chargèrent. Ils se faufilèrent en les quelques cavaliers qui étaient en avant et tranchèrent les pattes des chevaux. Le sang gicla, les chevaux hennirent et s’écroulèrent, emportant leurs cavaliers qui furent découpés par les grandes épées. La rage des haradrims redoubla, et ils chargèrent encore, bousculant les dix suderons qui venaient de tuer leurs six compagnons. Une lance rentra dans le corps d’un suderons et sortit par la bouche de celui-ci. Les ennemis furent tous massacrés, sans aucune pitié mais encore une fois, le petit groupe résistait, les épées vers l’avant, en un petit cercle et criant. Les chevaux prirent peur mais les suderons étaient assez peu intelligent. Tyrius ordonna aux mahûds et aux cavaliers qui portaient des archers de les entourer, de former un cercle autour d’eux et de lâcher leurs flèches. Les autres cavaliers mirent pied à terre, lance ou épées pointés sur l’ennemi. Ils se placèrent juste devant le cercle de cavaliers archers. Les deux derniers piquiers mirent un genou à terre et sourirent. Ils attendaient que les ennemis chargent et ainsi remplirent leurs lances du sang de leurs ennemis. Tyrius lui aussi descendit de son cheval, et il parla au capitaine ennemi :
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeJeu 2 Juil - 21:41

« Que fais-tu ici ?
_Nous avons reçu l’ordre de ramener ta tête à notre seigneur, mais il vous on surestimé.
Les haradrims rirent, se moquant des paroles du fou de suderon.
_Vous croyez vraiment qu’ils mont surestimé ? Ne voyez-vous pas que vous êtes condamnés.
_Sauron nous vengera.
Les rires redoublèrent.
_Sauron ? Ils n’en as que faire de vous, il a des millions de soldats à ses ordres alors pour quarante. Mais je vous propose ceci : Tous ceux qui veulent rejoindre nos rangs le peuvent et laisseront leurs armes dans ce cercle et s’écarteront. Les autres, et bien vous vous battrez contre nous, finit-il par dire avec un sourire.
_Je préfère mourir plutôt que de faire ce que tu dis.
_Alors bas-toi contre moi. Laissez le passez, nous allons nous battre dans un combat singulier, toi contre moi. »

Tyrius resserra sa main sur son épée et attendit que son ennemi l’attaque. Cela ne dura pas longtemps car celui-ci chargea, il cria et abattit son immense épée sur celle de l’haradrim qui eut du mal a résister au choc. Tyrius écarta la lame ennemie, fit une roulade sur le coté et fit un rapide coup sur le coté, essayant de toucher la jambe droite du suderon. Son adversaire réussit à contrer son attaque et contre attaqua, il donna un coup de poing et un violent coup de genou a Tyrius qui s’écroula dans le sable. Le suderon allait frapper. 3,2 ,1… Le capitaine haradrim roula sur le coté et se releva au moment ou la lame pénétra dans le sable. Tyrius qui avait perdu son épée donna un coup de boule dans le suderon, lui cassant le nez, et il enchaîna en lui donnant plusieurs coups de poings. Son adversaire réussit à contrer deux coups de poings et lui-même donna un coup de genoux dans le ventre de Tyrius. Les deux guerriers saignaient mais aucun ne voulaient perdre. Le combat dura ainsi encore deux minutes, puis chacun s’écarta et récupéra son épée. Tyrius n’attendit pas de recouvrer ses forces, il courut, sauta en l’air et frappa la gorge de son adversaire qui n’avait pas vu le coup venir. La lame pénétra dans le coup, coupant la carotide et elle y resta planté. Le capitaine ennemi tomba à terre, le sang coulant de tous les orifices. Tyrius s’avança, retira son épée et s’avança dans le cercle des piquiers lui-même entouré par le cercle des cavaliers archers. Dix suderons laissèrent leurs armes tombées et se mirent à genoux tandis que les autres, brandissant haut leurs armes crièrent et chargèrent. Les flèches volèrent, touchant les corps des suderons qui pour la moitié s’écroulèrent. Les autres furent embrochés par les piquiers et les cavaliers. Les dix suderon restant se levèrent et Tsalor déclara :

« Voyez, nous vous laissons la vie seulement si vous rejoignez nos rangs et que si vous jurez de ne jamais nous trahir.
_Nous le jurons !
_Bien, fit Tyrius, reprenez vos armes et suivez-nous. »

Le capitaine haradrim croyait fortement en la parole des suderons mais ceux-ci n’étaient que des esclaves, des poules mouillés, des faibles. Ils attaquèrent dès que les officiers eurent le dos tourner, tuant ainsi deux mahûds, et six cavaliers. Les haradrims ne furent que plus barbares. Ils attaquèrent, leurs lances embrochèrent les corps des suderons et les épées décapitèrent ceux-ci. Bludor découpa la tête d’un suderon, sa rage pas encore apaisée. Tyrius réussit à calmer ses hommes, tous s’occupèrent à prendre les armes de leur défunt compagnons pour remplacés la leur détruite ou abîmés. Les gourdes furent remplient, les chevaux burent et les corps furent enterrés. Les pertes étaient aux nombres de onze hommes. Deux mahûds, un archer, un piquier et sept cavaliers. Leur victoire avait été facile mais la trahison leur avait fais perdre beaucoup d’hommes. Leur groupe n’était plus que de dix-huit soldats. Comment pourrait-il vaincre Khiliani ?
Les cavaliers se mirent quand même en route, ils étaient en forme et avaient de grande réserve d’eau.
Ils chevauchaient rapidement, en évitant tous de même toutes formes d’ennemi car ils étaient vraiment trop affaiblis. Ils avaient chevauché pendant trois jours quand, à l’aube, ils virent une grande fumée.
« Non ! Cria Tyrius. »
Il savait qu’Hironeiden se trouvait ou la fumée s’échappait. Et ils accélérèrent l’allure, a la mi-journée, ils étaient aux portes de la cité. Ils y avaient du avoir une affreuse bataille, des flaques de sang s’y trouvaient encore mais les corps avaient été traînés dans la cité. Ils avancèrent au pas, certains baissant les yeux face à l’horreur présente. Des centaines de corps avaient du joncher sur le sol, des traces de sol avaient été former et toutes se dirigeaient vers le centre de la ville. Trois formes humaines étaient pendus, elles avaient été dévorées par les corbeaux. Les cadavres des soldats avaient été entassés et même ceux des femmes et des enfants massacrés. Au milieu de tout ce vacarme, se trouvait une bande d’orc et un troll. Ils avaient la bouche en sang, ils mangeaient les corps, se goinfraient devant Tyrius et ses hommes qui hurlèrent de rage. Ils n’avaient que peu de chance contre un troll en armure mais leur rapidité étaient leurs meilleurs atouts. Tyrius fonça tête baissée, la vraiment, ils étaient dans une colère qui feraient même fuir ce lâche de Sauron. Il lança sa lance qui ne fit qu’une petite éraflure sur l’armure du Troll. Les mahûds prirent leurs épées et suivirent leur capitaine, fonçant sur les orcs et ainsi évitant l’immense monstre qui brandissait son immense main pour attraper les cavaliers. Les archers se descendirent des cheveux et tirèrent sur la créature du mal. Le dernier piquier chargea sur celui-ci, essayent de l’embrocher. Il ne réussit cas enfoncer une petite plaque de fer avant d’être attraper et manger par le troll. Les autres cavaliers avaient chargé et les orcs avaient tous été éliminés. Sans aucune pitié, les organes vitaux gisaient sur le sol car les haradrims tranchaient ce qu’ils pouvaient. Mais le Troll tenait toujours. Malgré les dizaines de flèches qui le piquaient. Il ramassa par terre un corps d’une femme, enfin probablement car elle avait le visage déchiqueté, il la lança sur Tyrius qui tomba à dix mètres de la zone du combat et qui s’évanouit.
Un mal de tête horrible. Il crache du sang, se lève difficilement. Toutes ses choses n’en prouvaient que deux. Soit le Troll était trop occupé a manger ses compagnons, soit il était mort.
Il regarda autour de lui. Au début, il voyait flou mais plus sa vue lui revenait, plus cela l’attristait. Un grand nombre de chevaux et la moitié de ses hommes gisaient morts sur le sol. Ecrasés par leur redoutable ennemi. Les derniers rescapés étaient tous penchés sur un corps, le regardant avec tristesse. Tyrius s’approcha en silence, regarda qui cela pouvait-il être. Et il cria d’effroi. C’était Tsalor, lui qui l’avait si bien servit, son meilleur ami. Il avait le torse démolit, il avait du recevoir un coup de poing du troll. Les hommes lui racontèrent ce qui c’était passer.

« Quand nous vous avons vu vous écrasez au loin, nous avons pris peur mais Tsalor lui nous as demandé de continuer le combat. Il voulait vous venger. Les archers tirèrent jusqu'à leurs dernières flèches, mais rien n’y fait, puis les cavaliers attaquèrent, blessant cette fois-ci le troll qui devint fou. Il frappait dans tous les sens, avec les mains, les pied. Il écrasa deux chevaux et leurs cavaliers avant de tuer tous les archers qui ne purent que mourir. Puis Bludor lui enfonça sa lance dans la jambe, lui infligeant une grave blessure. Tsalor en profita et attaqua, lance en avant, et réussit à toucher le coup du troll qui le frappa au torse en échange. Les derniers cavaliers et les mahûds finirent par tuer le troll qui en tua encore trois ou quatre. Tsalor vous aimait, il vous a venger et était heureux, il espérait vous rejoindre dans le royaume des morts.
_Ce fut un honneur de combattre à ses coté, fit Tyrius en touchant la poitrine de son compagnon défunt. »

Les derniers soldats reprirent leurs armes, certains les lavèrent, et ils se mirent en selle. Il ne restait que quatre mahûds et cinq cavaliers. Leur capitaine regardait l’immense tas de cadavre emmener par les orc, et il découvrit enfin ce qu’il cherchait. Le meurtrier de sa femme. Il était la, mort mais il était-la. L’haradrim cracha sur son corps et murmura :
« Dommage que tu aies été tué avant que je n’arrive. »

Son cheval avait était tuer, sa lance brisée en deux. Alors il prit le cheval de Tsalor, retirant la lance de son meilleur ami du Troll et la planta dans le sol. Il prit une autre lance a terre et partit au galop, suivis par les siens. Il n’avait plus aucun but a part de survivre, ce ne sera pas facile car il avait massacrer trop de troupes de Sauron. Son but était de retourner dans l’ancienne cité ou il fut exilé, rentrer de nuit dedans et en devenir le maître. Cela ne sera pas facile mais dès qu’il aura tuer le maître, il sera à son tour le chef de la citadelle. Mais ce n’était guère le moment. Car un groupe de cavalier les entoura, c’était des soldats de Saladin, lui-même vassal du seigneur ténébreux. Ils étaient une bonne centaine et ils déclarèrent :

« Le seigneur des ténèbres est très clément, il te donne une dernière chance a toi Tyrius et a tes hommes. Il a une grande bataille a mené pour récupérer une de ses forteresses. Il a besoin de tes services et tu devrais accepter. »
Les haradrim se concertèrent et tous s’accordèrent sur le même point, alors Tyrius répondit :
« Nous acceptons car nous n’avons probablement pas le choix, mais où devons nous allez et quand devons nous partir ?
_Dès aujourd’hui. Suivez-nous et ne tentez rien sinon nous vous tuerons. »




Je ne veux pas d'autre mission car pour l'instant il y a la Gb
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeVen 10 Juil - 22:19

tiens sparda peux tu me la noter^^ je men fou de la note quelqu'elle soit mais tant qu'elle est noter.
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeJeu 23 Juil - 14:27

bon ba sparda est partie, quelqu'un d'autre peut me mettre une petite note quelle soit de 10 ou moins tant que j'ai une note^^
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeJeu 23 Juil - 14:41

je la lis et je te la note, pas de problème.
Par contre faut que je mange avant geek
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitimeJeu 23 Juil - 20:33

Note pour ar-pharazon

Longueur: 11/20 (un peu court, toutefois le contenu est très bien)
Histoire: 14/20 (le coup de la dernière chance pour se racheter est sympa, mais oublies pas que c'est pas Saladin mais Suladan (et Tolkien n'en fait pas mention, mais ça, ça passe).
Action: 15/20 (là il n'y a pas à se plaindre, du combat en-veux-tu-en-voilà, bien décrit)
Orthographe: 6/10 (il y a pas mal de fautes, ça gêne pas trop la lecture, mais fais attention pour les prochaines fois)

Note: 13/20 Bonne mission, courte mais intense comme dit l'expression.

Au moins on sait pourquoi tu fais la GB ^^
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MessageSujet: Re: Tyrius : l' haradrim corrompu   Tyrius : l' haradrim corrompu - Page 3 Icon_minitime

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Tyrius : l' haradrim corrompu
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